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25 avril 2024

La grandiloquente Taubira se déchaîne [n’est pas Malraux qui veut] : Dieudo les rend tous dingues…


Dans les temps pas très lointain elle défilait avec nous, avec Dieudonné pour la reconnaissance de l’esclavage. Il est vrai qu’elle n’a jamais demandé, contrairement à nous, des réparations pour ce génocide-là. Elle préparait déjà sa place.
Ginette

La grandiloquente Taubira se déchaîne [n’est pas Malraux qui veut] : Dieudo les rend tous dingues…

Dieudonné: organiser son insolvabilité est un délit, souligne Taubira

PARIS, 03 jan 2014 (AFP) – « L’organisation frauduleuse d’insolvabilité est punie par la loi », a rappelé vendredi Christiane Taubira à propos des condamnations de Dieudonné, tout en estimant que la sanction judiciaire « ne suffira pas ».

Si l’organisation d’insolvabilité, passible de trois ans d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende, « est avérée, elle doit faire l’objet des diligences nécessaires », juge la garde des Sceaux dans une tribune publiée par le site Huffington Post.

« Au titre de l’unité de l’Etat, le Trésor public doit être en mesure de procéder, par tous moyens de droit, au recouvrement des sommes dues au regard des décisions de justice », poursuit-elle.

Condamné à huit reprises et relaxé plusieurs fois, notamment pour antisémitisme ou injure raciale, Dieudonné n’a pour l’instant acquitté le montant d’aucune amende, dont le total cumulé s’élève à plus de 65.000 euros, dont plus de 37.000 en condamnations définitives, selon des sources judiciaires.

Plus tôt vendredi, le ministre de l’Intérieur Manuel Valls avait estimé sur Europe 1 qu’il fallait « mobiliser l’ensemble des services de l’Etat pour que M. Dieudonné M’bala M’bala, qui tente d’organiser son insolvabilité, de ne pas payer ses amendes, soit obligé de payer ses amendes ».

A la chancellerie, on soulignait que le Trésor public, et donc Bercy, a en charge le recouvrement de ces amendes, mais « se heurte à l’insolvabilité » de Dieudonné. En cas d’impossibilité persistante, Bercy peut saisir le parquet pour engager une procédure de « contrainte judiciaire » prévue par le code de procédure pénale et pouvant éventuellement déboucher sur un emprisonnement (en l’occurrence d’un maximum de trois mois).

De son côté, Mme Taubira estime dans sa tribune que « sanctionner avec efficacité est indispensable mais ne suffira pas. Pas lorsqu’un pitoyable bouffon spécule davantage sur les dividendes d’un scandale que sur les risques judiciaires ».

« Ces provocations putrides testent la société, sa santé mentale *, sa solidité éthique, sa vigilance. Il nous faut y répondre, car la démocratie ne peut se découvrir impuissante face à des périls qui la menacent intrinsèquement. Il faut donc descendre dans l’arène, disputer pied à pied, pouce par pouce l’espace de vie commune, faire reculer cette barbarie ricanante, la refouler, occuper le terrain par l’exigence et la convivialité », écrit la ministre.

(Qu’est-ce qu’elle a fumé ? De la peau de banane ??) (que fait-elle des « déchets », une fois qu’elle a reconquis son espace de vie commune, elle les satellise ou elle fait construire des fours ??)

* la santé mentale de la société : une notion néo-freudienne extrêmement intéressante à psychanalyser… (mort de rire !! J J J)

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