Aller à…
RSS Feed

25 avril 2024

Le petit journal de Karim


ET LA PALESTINE GAZA ISRAËL A SA PERTE!- (9)

20/08/2014

Le massacre de Gaza dénoncé dans un clip de rap brésilien (vidéo)

[https://www.youtube.com/watch?v=8PEbUbADIOs]

ZaZo – Palestina- ISRAËL ASSEZ DE MASSACRES,ASSEZ D’ASSASSINATS SUR LAPALESTINE !!!

Gaza: Netanyahu a retourné les négociations au point de départ 18/08/2014

Gaza: Netanyahu a retourné les négociations au point de départ

Dr. Moussa Abou Marzouk, le membre du Bureau politique du mouvement du Hamas et le membre de la délégation palestinienne aux négociations du Caire, a confirmé que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a refusé l’initiative palestinienne et a retourné les négociations au point de départ.

Dans ses déclarations publiées sur sa page Facebook, Abou Marzouk a déclaré le lundi à l’aube 18/8, que Netanyahu est devenu fasciné par les contradictions internes, parce qu’il a perdu l’agression, à la fois aérienne et terrestre, et n’a pas atteint ses objectifs fixés par lui-même.

Il a souligné que la délégation palestinienne a fini ses consultations et l’étude du document égyptien et est retournée au Caire, où il rencontrera le médiateur égyptien aujourd’hui.

Dans un contexte similaire, Abou Marzouk a attiré l’attention sur le fait que le reste de la trêve convenue est de 24 heures, qu’elle ne pourrait pas être renouvelée de nouveau, et que la délégation palestinienne ne renoncera pas aux droits du peuple palestinien.
http://www.palestine-info.cc

Gaza : « Aucune avancée n’a été réalisée au Caire » (Azzam al-Ahmed)

ImprimerEnvoyer
Publié le Lundi 18 Août 2014
Azzam al-AhmedAzzam al-Ahmed, chef de la délégation palestinienne au Caire, vient d’annoncer, dans une déclaration retransmise par les chaînes satellitaires, qu’aucune avancée n’a été réalisée lors des négociations en cours au Caire sur n’importe quelle clause à l’ordre du jour, ajoutant que la prolongation de la trêve a été décidée, à la demande du Caire.

Al-Ahmed a fait état d’atermoiements de la partie israélienne, qui émet des réserves sur chaque point en discussion jusqu’à le vider de sa substance.

Le négociateur palestinien à la capitale égyptienne a mis en garde contre la poursuite de la spirale de la violence, si les prochaines  24 heures ne sont pas exploitées pour parvenir à un accord sur les revendications du peuple palestinien.

Même position d’Ezet el-Rechek, membre dirigeant de Hamas, qui a exclu toute avancée dans les pourparlers, fustigeant les procrastinations de la partie israélienne. La trêve de 24 heures a été décidée à la demande du Caire pour donner une occasion supplémentaire aux négociations, a-t-il dit.

Le leader de Hamas a démenti les informations relayées par al-Jazeera et d’autres chaînes qui comportent, a-t-il dit,  confusion et amalgames.

La chaîne qatarie avait annoncé que les deux parties ont convenu d’une plateforme d’accord, et en a énuméré les principales clauses.

Agression israélienne contre Ghaza

L’impasse

Publié le 18 août 2014

A moins qu’un « miracle » se produise pour mettre fin à l’impasse dans les négociations en cours au Caire entre Palestiniens et Israéliens pour un accord assorti d’une trêve durable, la bande de Ghaza devrait renouer avec les crimes de l’armée israélienne, suite à l’expiration, hier, à minuit, du cessez-le-feu en vigueur depuis cinq jours. La raison ? Les deux parties sont restées extrêmement fermes sur leurs positions. Aucune n’a accepté de faire des concessions majeures, notamment du côté israélien. Le Premier ministre Benyamin Netanyahu a fixé les lignes rouges « sécuritaires » de sa plate-forme. « Les désaccords sont immenses et les chances de parvenir à un accord ne sont pas grandes », a indiqué, hier, son ministre des Sciences, Yaakov Peri. Un « avis » partagé par la résistance palestinienne. « Pour obtenir la sécurité, il faut avant toute chose lever le blocus imposé depuis 2006 sur Ghaza », a martelé le porte-parole du Hamas, Sami Abou Zouhri. Le numéro deux du mouvement palestinien, Moussa Abou Marzouk, renvoie, lui, la balle à l’autre camp. « Ils ont proposé des amendements du plan égyptien, lesquels renvoient les négociations à la case départ », a-t-il souligné. Sur fond de ce dialogue de sourds, le président palestinien, Mahmoud Abbas, devrait rencontrer, aujourd’hui, à Doha, le chef du Hamas, Khaled Machaâl, et l’émir du Qatar, Cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani. Probablement pour leur demander de « sauver » les tractations. Selon des responsables palestiniens, le chef des négociations, Saeb Arikat, s’était, auparavant, rendu dans la capitale qatarie pour remettre à Machaâl une lettre d’Abbas. Après Doha, le chef d’Etat palestinien (qui soutient le projet de cessez-le-feu élaboré par l’Égypte) se rendra ce vendredi au Caire pour discuter avec le président Abdelfattah al-Sissi, d’une prolongation de la trêve, même dépourvue d’accord. Les deux dirigeants aborderont également l’autre casse-tête : la reconstruction de la bande dévastée par l’armée israélienne. Le chef de la diplomatie norvégienne, Boerge Brende, dont le pays préside le Comité de coordination de l’aide internationale aux Palestiniens, a fait savoir qu’un accord entre Palestiniens et Israéliens permettrait aux donateurs internationaux de se réunir, dès le début du mois prochain, au Caire, en vue de financer la reconstruction de Ghaza.http://www.horizons-dz.com/?L-impasse,49593

Amine Goutali

Un ex-soldat israélien à Algeriepatriotique : «Les juifs doivent dénoncer ce qu’Israël fait en leur nom»

Article | 5. août 2014 – 18:20
La cruauté de l'armée israélienne est sans égale. D. R.

La cruauté de l’armée israélienne est sans égale. D. R.

Algeriepatriotique : Vous rentrez de la frontière avec Ghaza où vous avez discuté avec des soldats israéliens. Que pensent-ils de cette guerre asymétrique ? Un soldat est formé pour affronter un autre soldat. Or, à Ghaza, ce sont des enfants qui sont tués chaque jour. Les soldats israéliens sont-ils conscients qu’ils sont en train de commettre des crimes de guerre ?

———- Message transféré ———-
De :manga cobra <mangacobra@gmail.com>
Date : 18 août 2014
Objet : « Pas en mon nom »

« Pas en mon nom »
des survivants de la Shoah condamnent les massacres israéliens

18-08-2014

Je suis fière de me joindre à plus de 250 survivants et descendants de survivants de la Shoah pour condamner « le massacre des Palestiniens à Gaza » et « le génocide en cours contre le peuple palestinien ». Notre déclaration de solidarité appelle à « une cessation immédiate du siège et du blocus contre Gaza » et à un « boycott économique, culturel et académique total à l’encontre d’Israël ».

Nous ne pensons que « plus jamais », la leçon, maintes fois répétée, issue de l’Holocauste d’ Hitler, «doit signifier plus jamais pour qui que ce soit!» – surtout les Palestiniens.

Nous protestons également contre la publicité en pleine page dans le New York Times et ailleurs du Sioniste Elie Wiesel qui maintient que les Palestiniens sont responsables des morts des centaines d’enfants palestiniens de Gaza tués par des bombes israéliennes.
« Rien ne peut justifier de bombarder des refuges de l’ONU, des maisons, des hôpitaux et des universités, » disons-nous.

Wiesel, un lauréat du prix Nobel et survivant de la Shoah, accuse le groupe de résistance palestinienne Hamas d’avoir prétendument rejoint un « culte morbide » de « sacrifice d’enfants » parce que le Hamas a tiré des roquettes vers Israël.

En réalité, c’est Israël qui a délibérément bombardé des zones résidentielles densément peuplées, affirme Raji Sourani, directeur du Centre Palestinien pour les Droits de l’Homme. Parmi les cibles israéliennes se trouvait une école de l’ONU à Rafah qui servait de refuge – une attaque que même le State Department US a qualifiée comme « horrible » et « honteuse ».

La ‘Doctrine de Gaza’

Sourani parle des actions d’Israël comme de la « Doctrine de Gaza » – une « politique de punition collective » dans laquelle « la force disproportionnée est utilisée pour provoquer la terreur chez la population civile afin d’exercer une pression politique » sur leur gouvernement. « Bombarder les résidences densément peuplées de Gaza est un crime de guerre », dit-il.

Une telle punition collective était la réponse standard des Nazis aux actes de résistance à leur règne génocidaire durant la Seconde Guerre Mondiale. Quand des résistants tchèques ont assassiné Reinhard Heydrich, l’un des principaux architectes de la Shoah juive, les Nazis ont massacré plus de 1300 personnes en représailles.

Les Nazis se sont livrés à de tels actes en France où je vivais alors, enfant. En juin 1944, le village d’Oradour-sur-Glane, à quelques 150 kilomètres du lieu où j’étais cachée à l’époque, fut attaqué par un détachement de Waffen-SS allemands sur les bases de fausses informations selon quoi un officier allemand y était retenu captif. En l’espace de quelques heures, 600 civils furent tués.

Les combattants juifs étaient une force en pointe de la résistance armée en France, comme ils l’ont été dans d’autres pays à travers l’Europe. Et même quand les Juifs étaient isolés dans des ghettos et dans des camps de concentration, ils ont malgré tout trouvé des moyens de combattre.

Dans la fameuse révolte du Ghetto de Varsovie en 1943, seulement 750 combattants, munis d’armes primitives introduites avec de la nourriture le long de tunnels creusés à la main, ont tenu pendant un mois, avant que les Nazis lourdement armés n’anéantissent la résistance, bombardant et rasant le ghetto jusqu’au sol.

Il y a eu des représailles nazies à travers l’Europe. Ils ont tué 205 enfants à Oradour – mais personne n’a jamais accusé les résistants héroïques d’être un « culte morbide de sacrifices d’enfants ».

La solidarité face à la plus grande adversité

À l’époque de ces événements, j’ai été marquée à vie par les Nazis. Mon histoire est un exemple de l’établissement de la solidarité face à la plus grande adversité.

En 1942, la police française a commencé à rassembler les résidents juifs par dizaines de milliers – hommes, femmes et enfants – et à les livrer aux Nazis pour être tués à Auschwitz, le camp de la mort en Pologne. Parmi les victimes s’est trouvée ma mère, qui est morte à Auschwitz en 1943. L’objectif des Nazis était de rassembler, déporter et tuer tous les Juifs de France – comme se faisait à travers l’Europe. Mais au sein de cet abominable massacre, une vague de dégoût est montée en France contre les attaques sur les Juifs. Par le biais des efforts d’organisations sociales comme d’initiatives individuelles, des milliers de Juifs ont été cachés. En tout, les trois-quarts des Juifs français ont échappé à la Shoah.

Le premier grand raid de 1942 a pris les organisations juives de France par surprise. Ce n’est qu’alors que la population juive a réalisé que ses enfants devaient être cachés. Ils ont embrassé le slogan, « Sauvez les enfants en les dispersant ». Des recherches ont été initiées pour trouver des havres sûrs, des faux papiers ont été fabriqués, et le transport a été organisé dans une atmosphère d’urgence et de désespoir. Plus de 10000 enfants juifs ont été soustraits à leurs familles et cachés. J’étais parmi eux. En 1943, quand j’avais 2 ans, une organisation de la Résistance m’a prise en charge et placée dans une famille de paysans en Auvergne, une région agricole du centre-sud de la France.

Récemment, je suis retournée en Auvergne avec mon compagnon, John Riddell, pour apprendre comment j’avais été sauvée. J’ai parlé à des personnes en Auvergne qui se souvenaient de ces années. Les enfants juifs étaient placés discrètement, loin des villes et parfois dans des hameaux reculés. Pourtant ils vivaient ouvertement, allant à l’école et à l’église.

Pourquoi n’ont-ils pas été trahis par la police? Les villageois les ont protégés, mettant ainsi leurs propres vies et celles de leurs familles en danger. Malgré ces dangers, les paysans ont recueilli les enfants avec amour au sein de leurs communautés tissées de liens solides.

Les enfants ont été sauvés, dans la plupart des cas, par les actes non pas de héros individuels mais de communautés entières, qui les ont cachés non pas dans des caves mais en plein jour. Ils ont été sauvés par une résistance qui embrassait non seulement les combattants du maquis, mais ceux qui mettaient en place des réseaux civils pour défier des décrets anti-juifs, et, d’une autre manière, par ceux qui ont détourné le regard, qui n’ont pas posé de questions, et qui – même si hostiles à la présence de Juifs – ne les ont pas trahis.

La Résistance accueillait les Français et les immigrés; les Chrétiens, les Juifs et les Musulmans; et les réfugiés d’Espagne, d’Italie et des territoires occupés par les Allemands. C’était une solidarité issue de l’expérience sociale commune de fermiers, de travailleurs et de ceux qu’ils influençaient.

Cessez le blocus de Gaza

La situation à Gaza n’est pas comme celle qu’ont connue les Juifs d’Europe sous Hitler. Le gouvernement israélien a converti le territoire en plus grand camp de concentration au monde, aux issues scellées et soumis à un bombardement régulier et meurtrier. Pour le peuple de Gaza, il n’y a pas d’endroit où mettre leurs enfants à l’abri; pas de campagne accueillante où ils pourraient trouver refuge.

Pas étonnant qu’à Gaza, selon les termes de Raji Sourani, « un cessez-le-feu ne suffit pas. Nous réclamons la justice. Nous réclamons d’être traités comme des êtres humains. Nous réclamons la fin de la fermeture de la bande de Gaza. »

Et dans les termes de l’auteur et journaliste londonien Tariq Ali, nos politiciens « doivent comprendre qu’il n’y a pas d’équivalence entre la résistance palestinienne et l’occupation israélienne. Quand un pays est occupé, une résistance émerge. Si vous voulez qu’il n’y ait plus de tirs de roquettes, plus de tunnels qui soient creusés, sortez de Gaza. »

Mais le peuple de Gaza n’est pas tout seul. Pour citer Barnaby Raine, organisateur étudiant d’un Bloc Juif contre le Sionisme s’adressant à un rassemblement de solidarité à Londres le 9 août, « Des gens de toutes origines, de tous horizons, tout autour du monde, nous nous rassemblons et disons par nos milliers, Nous sommes tous des Palestiniens. »

Aujourd’hui, les peuples du monde s’expriment sans équivoque dans leur dénonciation de l’apartheid et du massacre israélien. Ils expriment ceci lors de manifestations géantes répétées arborant des pancartes et des banderoles appelant à: Cessez le massacre à Gaza, levez le siège de Gaza, liberté pour la Palestine.
Plusieurs gouvernements – Bolivie, Brésil, Chili, Cuba, Salvador, Nicaragua, Pérou et Venezuela – ont pris des mesures contre l’assaut israélien, comprenant un boycott et des sanctions.

Aujourd’hui, notre dignité humaine est mise au défi par la cruauté d’Israël envers les Palestiniens. Les Palestiniens appellent à un mouvement mondial de solidarité. Nous devons prendre la parole pour leur droit à défendre leurs vies et leur patrie. Nous soutenons leur appel à susciter une pression économique sur Israël avec une campagne de Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS).

Les doléances de cette campagne sont: Pour le droit des Palestiniens à rentrer dans leur patrie, l’égalité des droits pour les Palestiniens en Israël et la fin de l’occupation israélienne. Aujourd’hui la campagne de boycott engrange un soutien croissant sur plusieurs continents.

Redoublons nos efforts pour le boycott, le désinvestissement et les sanctions contre l’apartheid israélien.

Libérez Gaza! La Palestine sera libre!

 

 

 

Suzane Weiss

 

Suzanne Weiss est une survivante de la Shoah basée à Toronto, au Canada. Elle est membre de la Coalition Contre l’Apartheid Israélien (CAIA) et Pas En Notre Nom: Des Voix Juives Opposées Au Sionisme.

Source:Réseau International, The Bullet

———- Message transféré ———-
De : Allain Jules <comment-reply@wordpress.com>
Date : 18 août 2014
Objet : ALERTE INFO ! Barack Obama vient de bloquer l’exportation de missiles vers Israël. by Allain Jules

Le torchon brûle entre le président américain Barack Obama et le premier ministre Benyamin Netanyahou. L’opinion américaine est elle aussi partagée.  Face au puissant lobby pro-israélien, de nombreux citoyens s’insurgent contre la violence de la dernière offensive israélienne contre Gaza. Lire la suite

Rappel  (Après L’opération Plomb durci 2009)

(Après L’opération Plomb durci 2009)
« J’ai encore plus honte d’être israélien aujourd’hui,qu’il y a un an »
Gideon LEVY…https://www.youtube.com/watch?v=LK0C168J0f4#t=268

Gaza : Abbas va au Qatar pour rencontrer le chef du Hamas

Par Agence | 18/08/2014

Le président de l’Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas se rendra lundi au Qatar où il doit rencontrer l’émir et le chef du Hamas Khaled Mechaal, ont indiqué à l’AFP des responsables palestiniens présents au Caire pour négocier une trêve durable dans la bande de Gaza.

L’annonce de la visite intervient alors que négociateurs israéliens et palestiniens ont repris dimanche au Caire des pourparlers sous la médiation de l’Egypte en vue d’une trêve durable dans la bande de Gaza et à quelques heures seulement de l’expiration d’un cessez-le-feu provisoire dans l’enclave palestinienne.

M. Abbas s’entretiendra mardi avec M. Meshaal ainsi que l’émir du Qatar, cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani, ont indiqué les responsables palestiniens.

La plus grande incertitude règne sur la faculté des délégués palestiniens et israéliens au Caire à trouver un accord surtout sur les questions de la levée du blocus israélien sur Gaza ou la démilitarisation de l’enclave.

Au quartier général des services de renseignements au Caire, qui mènent les pourparlers indirects, les Egyptiens font la navette entre les délégations israélienne et palestinienne qui, outre le Hamas et le Jihad islamique comprend également le Fatah du président Abbas.

Une offensive israélienne dans la bande de Gaza a fait depuis le 8 juillet plus de 2.000 morts côté palestinien, majoritairement des civils, et 67 morts côté israélien, dont trois civils.(Afp)

Agression israélienne contre Ghaza

Vers la reprise des armes ?

Publié le 17 août 2014

Malgré l’optimisme affiché, samedi dernier, au Caire, par le chef de la délégation palestinienne, Azzam al Ahmad, sur un éventuel accord de cessez-le-feu avec les négociateurs israéliens, de retour, hier, dans la capitale égyptienne, pour de nouvelles tractations, force est d’admettre que la partie est loin d’être gagnée.

En témoigne le rejet par la résistance palestinienne et l’État hébreu d’une nouvelle proposition égyptienne visant une trêve permanente. Descendu en flammes par l’opinion publique de son pays, qui lui reproche son échec à sécuriser Israël durant l’agression criminelle sur la bande de Ghaza, Benjamin Netanyahu a assuré, hier, à l’ouverture de la réunion hebdomadaire de son gouvernement, qu’il n’accepterait pas d’accord qui ne prenne pas en compte les « besoins sécuritaires d’Israël ». Le Premier ministre israélien a haussé le ton contre le Hamas. « Tant que le calme ne sera pas revenu, Hamas va continuer à souffrir et s’il pense que le temps joue en sa faveur, il se trompe. S’il pense que nous ne sommes pas assez déterminés, il se trompe », avertit-il. La réponse du mouvement palestinien ne s’est pas fait attendre. « Celui qui a vaincu aux frontières de Ghaza, qui a interdit aux soldats de l’occupation (les Israéliens) de les franchir et les a forcés à se retirer avant même le cessez-le-feu, n’acceptera aucune des conditions de l’occupant », a répliqué Moussa Abou Marzouk, numéro deux du Hamas, présageant un éventuel nouvel échec des pourparlers tandis que le cessez-le-feu en cours prendra fin dès ce soir à minuit. Faute de quoi, les groupes palestiniens reprendront les armes, malgré les tentatives du Caire plaidant pour une trêve à défaut d’un accord. Selon le responsable des relations extérieures du Hamas, Oussama Hamdan, qui se veut plus menaçant, le gouvernement israélien devrait répondre favorablement aux exigences palestiniennes s’il « cherche à éviter une longue guerre d’usure ». « Toutes les propositions israéliennes sont insuffisantes et ne répondent pas aux aspirations du peuple palestinien », dit-il. Plus feutrée a été néanmoins la réaction du président palestinien, Mahmoud Abbas. Il s’est dit attaché aux efforts égyptiens. Au Caire également, la Ligue arabe a, une nouvelle fois, appelé Israël à mettre fin à son offensive meurtrière réitérant son soutien au plan égyptien de cessez-le-feu.http://www.horizons-dz.com/?Vers-la-reprise-des-armes

Amine Goutali

Alors que le bilan de l’agression israélienne atteint plus de 2000 Palestiniens tués

Une conférence pour la reconstruction de Gaza début septembre

Par : APS  L’agression israélienne sur gaza s’est soldée par 2016 Palestiniens tués, dont 541 enfants et 250 femmes, ainsi que 10 196 blessés, selon un dernier bilan rendu public par le ministère de la Santé palestinien.

Prochainement au Caire : Une conférence des donateurs pour la reconstruction de Ghaza 

le Mardi 19 Août 2014

Une conférence internationale des donateurs pour la reconstruction de la bande de Ghaza, ravagée après plusieurs semaines de bombardements israéliens,

Les Gazaouis: des cobayes pour Israël

Dimanche 17 Août 2014
Les Gazaouis: des cobayes pour Israël
Gaza: un terrain d’expérimentation de la technologie militaire israélienne
Shir Hever, Middle East Eye

Israël est peut-être un relativement petit état mais il a le plus gros ratio d’exportation d’armes par personne de la planète. Les marchands d’armes israéliens ont l’avantage de pouvoir dire à leurs clients que leurs produits ont été testés en situation de guerre.

Des officiers de haut rang de l’armée israélienne font souvent une seconde carrière dans l’industrie de l’armement après leur retraite et, pendant qu’ils sont dans l’armée, ils en profitent pour rendre d’inestimables services à leurs futurs employeurs en testant les systèmes d’armement mis au point par l’industrie de l’armement israélienne, en convainquant le gouvernement israélien que ces armes sont nécessaires pour gagner la guerre et en encensant les firmes qui les produisent.

Les foires commerciales de technologie militaire et d’équipement de sécurité à usage interne sont fréquentes en Israël, particulièrement après chaque attaque et/ou invasion de Gaza. Le principal argument de vente de ces entreprises d’armement est que la technologie « a déjà été utilisée par l’armée israélienne ».

L’industrie d’armement israélienne opère en coopération étroite avec sa grande sœur étasunienne. L’aide militaire que les États-Unis donnent à Israël garantit cette coopération, et chaque conflit au Moyen-Orient augmente les profits des géants de l’armement étasuniens (comme Boeing, General Dynamics, Lockheed Martin, et Raytheon) encore plus que ceux des marchands d’armes israéliens.

Gaza la cible facile

Les guerres causent des morts civiles, et la plupart des secteurs de l’économie israélienne qui n’ont pas de lien direct avec le secteur de l’armement souffrent du conflit permanent dans lequel Israël est impliqué. La lutte pour la répartition de ressources publiques limitées s’est intensifiée au fil des années et, tandis que le ministère de la Défense continue d’exiger une part du gâteau toujours plus grande, la population se plaint de voir son niveau de vie stagner ou même baisser.  Ce mécontentement a provoqué les explosions sociales des étés 2011 et 2012. Mais la seule réponse d’Israël à toute suggestion de diminuer le budget de la Défense a été un regain de violence contre les Palestiniens ou contre le Liban. Quand le vent de la guerre souffle, toute velléité de couper les crédits de la Défense s’éteint.

Après la guerre de 2006 contre le Liban, qui a été fort humiliante pour l’armée israélienne, le gouvernement israélien s’est rabattu sur la bande de Gaza. Gaza est un territoire exigu, encerclé et densément peuplé qui n’a pas les capacités de défense que le Hezbollah avait en 2006 au Liban.

Depuis cette date, l’armée israélienne a pris l’habitude d’attaquer Gaza tous les deux ans. Elle a ainsi réussi à échapper aux coupes budgétaires, les marchands d’armes ont augmenté leurs profits et, dès 2012,  les exportations d‘armes israéliennes culminaient à 7 milliards de dollars.

Plus aussi facile

Lors de l’attaque précédente, “opération Pilier de Défense”, en 2012,  la star du show était le système anti-roquette “Dôme de Fer”. Les missiles du Dôme de Fer qui coûtaient 50 000 à 100 000 dollars pièce, interceptaient les roquettes artisanales de Gaza qui revenaient à un peu plus de 1000 dollars. En tous cas, le système a permis aux Israéliens de vaquer tranquillement à leurs occupations pendant que l’armée s’amusait à tirer sur la population sans défense de Gaza, ce qui n’a pas manqué de divertir nombre de gouvernements et d’armées de par le monde.  Les ventes d’armement israélien dépendent de cette guerre asymétrique. Le Hamas qui l’a fort bien compris a tenté de briser le cycle.  Il a offert un cessez-le-feu au tout début de l’attaque israélienne : il promettait de ne plus attaquer Israël pendant 10 ans en échange de la levée du siège. Cela semblait être ce que voulait Israël. Après tout, Israël prétendait que le siège était seulement une mesure de protection contre les attaques palestiniennes, mais le Hamas savait qu’Israël n’accepterait jamais son offre. L’industrie israélienne de l’armement perdrait son avantage si elle devait rester 10 ans sans pouvoir tester ses armes.

L’importance des destructions à Gaza et les 2000 Gazaouis tués pourraient facilement faire oublier que la guerre de l’été 2014 n’a pas été facile non plus pour l’armée israélienne. Non seulement, elle a lourdement pesé sur l’économie israélienne, mais elle a montré qu’en dépit de sa supériorité technologique, elle n’est pas capable de vaincre le Hamas ni d’atteindre ses objectifs stratégiques. La violence excessive dont ont fait preuve les soldats israéliens a montré que la “précision chirurgicale” dont se  vantent les entreprises ne sert plus à grand’ chose quand un peuple sous occupation a toutes les raisons de se lever contre la domination israélienne et que tout un chacun devient suspect.

Lorsque plus  rien ne discipline les soldats israéliens qui tirent sur des civils,  ils se  montrent de plus en plus brutaux et la liste de leurs atrocités s’allonge. Tous les espoirs israéliens de mener, grâce à des armes de pointe,  une guerre  “propre” qui leur évite les retombées politiques et légales de l’assassinat de civils, ont été anéantis. L’Angleterre, l’Espagne et même les États-Unis ont déjà pris leurs distances avec l’industrie de l’armement israélienne et ont adopté des mesures pour contrôler leurs ventes d’armes à Israël.

Inégalité et profits de guerre

Malgré tout, les journaux économique israéliens ont publié une série d’articles sur les nouveaux contrats signés par les marchands d’arme israéliens, et des firmes comme Elbit Systems et IAI (industrie aérospaciale israélienne) ont émis avec succès une grande quantité d’obligations*. Bezhalel  Machlis, le PDG d’Elbit Systems, a dit dans un interview que tous les produits d’Elbit avaient été utilisés dans  l’opération en cours à Gaza. Mais l’armée israélienne n’a pas testé les armes made in Israël dans une guerre conventionnelle depuis plus de 40 ans. L’armée israélienne est spécialisée dans la guerre asymétrique, la répression des manifestations et de la guérilla. En conséquence ce sont les gouvernements des pays où règne une grande inégalité qui achètent le plus d’armes israéliennes pour réprimer les soulèvements que ces inégalités engendrent. Il n’est donc pas surprenant que les plus gros acheteurs d’armes israéliennes soient l’Inde, le Brésil et les États-Unis.

En fait, la bande de Gaza est davantage qu’un laboratoire pour les explosifs israéliens. Elle leur sert aussi à faire des expériences sociales sur toute une population incarcérée et isolée, contrôlée de la terre, de la mer et du ciel et qui ne survit que grâce à l’aide alimentaire (qui ne coûte rien à Israël). Les marchands d’armes affirment avoir les moyens d’endiguer la résistance palestinienne et de garder la population sous le joug. Mais si c’est vrai et qu’ils continuent de vendre des armes à d’autres pays, on peut se demander qui sera le prochain peuple qui fera les frais de cette politique d’endiguement.

Note: * http://www.protection-palestine.org/spip.php?article13067

Lien: http://www.middleeasteye.net/columns/gaza-testing-ground-israeli-military-technology-628438934

Traduction : Dominique Muselet

Le gouvernement canadien s’oppose à la venue d’enfants palestiniens blessés

Le gouvernement conservateur canadien vient d’opposer une fin de non-recevoir à la demande d’entrée au Canada pour assurer des soins à une centaine d’enfants palestiniens blessés par les récents bombardements de l’armée israélienne sur la bande de Ghaza.

Manifestation de soutien aux Palestiniens de Gaza. Montréal. 10 aout 2014. Photo. Mohamed Kadri.Manifestation de soutien aux Palestiniens de Gaza. Montréal. 10 aout 2014. Photo. Mohamed Kadri.

Cette initiative vient d’un médecin canado-palestinien, le docteur Izzeldin Abuelaish, qui a lui-même perdu trois de ses filles, en 2009, tuées par le tir d’un char israélien sur leur maison à Ghaza. Cette expérience est racontée dans un livre qu’il a publié en 2011 sous le titre Je ne haïrai point. (suite)..http://lemontrealdz.wordpress.com/

La pétition du Dr Izzeldin Abuelaish (sur le site du parti NPD): http://petition.npd.ca/les-enfants-de-GazaL

———- Message transféré ———-
De : <Xarlo@aol.com>
Date : 18 août 2014
Objet : ce que vous ne saurez pas par nos chaînes TV

Des colons israéliens appuyés par les forces de l’ordre attaquent la mosquée Al-Aqsa dans Jérusalem

Des colons sionistes extrémistes profanent la mosquée d’Al-Aqsa  17/08/2014

Jérusalem – CPI

Des colons sionistes proches du membre extrémiste de la Knesset « Moshe Viglin » ont profané les cours d’Al-Aqsa, ce matin, après sa prise d’assaut à partir de la Porte des Maghrébins et la visite des installations de la mosquée.

Des témoins oculaires ont rapporté qu’un petit groupe de colons composé d’environ 20 personnes a pris d’assaut les cours de la mosquée sous les takbeers des fidèles stationnés dans la mosquée.

Les témoins ont ajouté que les forces israéliennes stationnées aux portes de la mosquée ont continué à humilier les fidèles et à empêcher les jeunes de pénétrer dans la mosquée sous un état de tension qui prévaut depuis le matin.

Colonos israelíes atacan la Mezquita Al-Aqsa en Jerusalén
http://www.insurgente.org/index.php/2012-04-11-10-03-53/mundo/item/12630-colonos-israelíes-atacan-la-mezquita-al-aqsa-en-jerusalén

« Jaffa : La mécanique de l’orange » (documentaire)  « Jaffa : La mécanique de l’orange » (documentaire)

19 août 2014 L’orange de Jaffa est plus qu’un fruit, c’est tout un symbole. Musulmans, chrétiens et juifs produisaient et exportaient depuis plusieurs siècles ces fameuses oranges à travers le monde entier. Les populations arabes étaient loin de s’imaginer, au début du XXe siècle, qu’ils se verraient arrachés de leurs […]

———- Forwarded message ———-
From:Herboris <herboris@gmail.com>
Date: 2014-08-19
SubjectUsrael change son codage commercial pour éviter le buy-cot commercial.

Bt_sRh3CQAAOrNh
 
 
 
 
 

———- Message transféré ———-
De : De : « Koune Capable » <notification+kh-3_umd@facebookmail.com>
Date : 19 août 2014 13:27
Objet : [Aube de Gaza] le boycott sa marche 😉
Koune Capable a publié dans Aube de Gaza

Boycott des produits israéliens en Europe : 80 usines menacées de fermeture en Israël !

posté le 18 août 2014 par Halalbook dans Buzz

Ce vendredi, le journal hébreu Maariv nous apprend que près de 80 usines israéliennes spécialisées dans la fabrication de produits laitiers sont menacées de fermeture en raison de l’impact conséquent des appels au boycott économique par les pays de l’Union européenne. Selon le journal, cette décision a eu impact majeur chez le secteur de produits laitiers.

Même si les pertes n’excèdent pas plus 30 millions de dollars par an selon le journal israélien, la décision reste tout de même un bon début pour les décisions futures qui interdiront de façon durable l’importation d’un quelconque produit ayant un lien de près ou de loin avec les colonies israéliennes.
Mouhanad Aaql, chercheur en économie israélienne, considère que cette dernière décision européenne est «  la décision la plus courageuse depuis l’annonce du boycott de tout produit, service ou activité qui proviennent des colonies israéliennes  ».

Yair Lapid, le ministre des Finances dans le gouvernement israélien a déclaré plus tôt que cette année, la perte annuelle globale de l’économie israélienne s’élèverait à 20 milliards de dollars et que le marché perd près de 9 980 emplois chaque année.

En décidant de boycotter l’Etat sioniste commercialement, économiquement, culturellement, et même académiquement, l’Union européenne se base sur les lois internationales de la Haye datant de 2004.
Les appels au boycott, sous toutes ses formes, sont dont très importants afin de faire régner la justice en Palestine : les colonies israéliennes construites sur les terres de Cisjordanie ne sont pas légitimes et transgressent ainsi l’article 49 de la Convention de Genève qui interdit à un pays de peupler des zones déjà occupées.

Un ministre malaisien boycotte une banque Britannique en signe de solidarité avec Gaza  18/08/2014

Un ministre malaisien boycotte une banque Britannique en signe de solidarité avec Gaza

Le ministre malaisien de l’Agriculture et de l’Industrie Ismail Sabri Yaakoub a décidé de soutenir la bande de Gaza à sa manière en boycottant une banque britannique qui a gelé les comptes bancaires des organisations qui soutiennent le peuple palestinien.

Le ministre Yaakoub a affirmé qu’il avait décidé d’annuler sa carte de crédit émise par la Banque « HSBC » en signe de protestation contre la fermeture récente de plusieurs comptes bancaires des organismes de bienfaisance qui soutiennent le peuple palestinien.

Le ministre a souligné son soutien permanent du peuple palestinien qui est exposés à la répression et à la violence de l’entité sioniste.
http://www.palestine-info.cc

La Palestine sera dotée de sa monnaie nationale et d’une Banque centrale (Gouverneur)  18/08/2014

La Palestine sera dotée de sa monnaie nationale et d’une Banque centrale (Gouverneur)
L’Autorité palestinienne sera dotée de sa propre monnaie et d’une Banque centrale dès que les écueils entravant ces projets seront levés, a souligné dimanche à Alger Jihad El Wazir, le gouverneur de l’Autorité monétaire palestinienne.

Lors d’une conférence organisée par la Banque d’Algérie sur l’expérience de son pays dans le développement des centrales des risques, M. El Wazir a souligné que les principales contraintes pour atteindre ces objectifs est la poursuite de la colonisation israélienne ainsi que l’absence d’un État palestinien.

Pour l’instant, les monnaies utilisées dans les Territoires palestiniens sont le dollar américain, le dinar jordanien et le Shekel, dira le conférencier devant de nombreux cadres de banques algériennes et du gouverneur de la Banque d’Algérie Mohamed Laksasci.

Malgré le blocus sur Ghaza et l’occupation israélienne 8,5 milliards de dollars ont été transférés vers la bande de Ghaza depuis 2007, a-t-il indiqué.

M. El Wazir a aussi transmis ses remerciements au gouvernement algérien pour avoir aidé le gouvernement palestinien par l’octroi de plusieurs millions de dollars renforçant ainsi les capacités du Trésor public en ajoutant que ces sommes ont transité par des banques.

L’autorité monétaire a continué à remplir ses fonctions en surveillant le système bancaire et en veillant aux droits des consommateurs à travers la centrale des risques, a encore annoncé ce responsable.

Il a souligné que le taux d’impayés des entreprises palestiniennes a été de 23% avant 2006 mais que grâce à des réformes engagées depuis cette date ce taux est descendu à 2,9%.

Évoquant, par ailleurs, la situation du secteur bancaire en Palestine, le conférencier a fait savoir que le capital des banques a aussi été porté légalement de 20 millions de dollars à 50 millions de dollars même si certaines banques ont pu atteindre un capital de 150 millions de dollars pour résister à toutes sortes de chocs.

Les banques palestiniennes sont aussi soumises à des « stress tests » ou tests de résistance, suite auxquels trois d’entre elles ont été liquidées selon des formules légales. Les 17 banques palestiniennes, jordaniennes, égyptiennes et européennes cumulent des dépôts de 11 milliards de dollars.

Mais devant le peu d’opportunités d’affaires en Palestine, quelques banques ont investi à l’étranger 65% de leurs avoirs alors que la reconstruction peine à démarrer à cause des difficultés d’importation du ciment, a indiqué M. El Wazir.

Néanmoins, la capacité d’emprunt interne a évolué de 28% à plus de 50% pour financer l’artisanat et les PME.

L’Autorité monétaire doit aussi garantir les transferts des travailleurs palestiniens à l’étranger et l’ouverture des guichets des banques même pendant les quelques heures de trêve afin de permettre aux ménages palestiniens de retirer de l’argent et effectuer leurs achats vitaux.

Le conférencier a indiqué également que les banques sont contraintes de convoyer l’argent dans des ambulances afin d’éviter les vols, les bombardements et les tirs de missiles.

Pour preuve de l’efficacité du système de gestion du secteur monétaire, il souligne que même les distributeurs automatiques de billets sont approvisionnés et que des générateurs électriques fonctionnent lors des nombreux cas des coupures de courant à Ghaza et en Cisjordanie.  http://ennaharonline.com/fr/international/28062.html

———- Message transféré ———-
De : Allain Jules <comment-reply@wordpress.com>
Date : 18 août 2014
Objet : LA HAINE & L’AMOUR. Israël: «Mort aux Arabes» ou le mariage de Maral et Mahmoud by Allain Jules
Le marié Mahmoud Mansour et son épouse Maral Mal-ka.L’union de Mahmoud et Maral a été troublée dimanche soir au sud de Tel-Aviv par les vociférations de plusieurs centaines de jeunes manifestants répondant à l’appel de l’organisation d’extrême-droite israélienne Lehava («la Flamme»), qui milite contre «l’assimilation des juifs et les mariages mixtes». Vêtus de tee-shirts aux slogans racistes, chauffés par des semaines de guerre Lire la suite

Tensions autour du mariage d’une juive et d’un musulman 18/08/2014

Bentzi gupstein président du groupe anti assimilation Lehava
La police israélienne a empêché dimanche plus de 200 manifestants d’extrême-droite de s’inviter à un mariage entre une juive et un musulman. Les policiers ont dû former une chaîne humaine pour barrer l’accès aux manifestants et en ont poursuivi certains qui les défiaient. Quatre manifestants ont été arrêtés. Il n’y a pas eu de blessés.

Le couple, Maral Malka, 23 ans, et Mahmoud Mansour, 26 ans, tous deux originaires du quartier de Jaffa à Tel Aviv, n’avait pas réussi à faire interdire la manifestation par la justice. Leur avocat avait en revanche réussi à obtenir une aide policière pour maintenir les policiers à 200 mètres de la salle du mariage, située à Rishon Lezion dans la banlieue de Tel Aviv.

Cette manifestation souligne la montée des tensions entre Juifs et Arabes en Israël avec les combats dans la bande de Gaza et les événements qui les ont précédés (enlèvement et meurtre de trois adolescents israéliens en juin suivis de l’assassinat d’un jeune Palestinien brûlé vif dans le secteur de Jérusalem)

Le groupe Lehava, qui organisait la manifestation, a harcelé des couples « mixtes » par le passé, mais n’a que très rarement manifesté sur les lieux d’une noce.

Les manifestants, surtout des jeunes vêtus de T-shirts noirs, ont critiqué Malka. De confession juive, elle s’est convertie à l’islam avant le mariage. « Mort aux Arabes », ont crié les manifestants tandis que quelques dizaines d’Israéliens de gauche organisaient une contre-manifestation non loin de là. « L’amour conquiert tout », lisait-on sur une pancarte.

Les Arabes représentent environ 20% de la population israélienne. La plupart d’entre eux sont musulmans. Face aux critiques, de nombreux couples israéliens qui se marient hors de leur communauté le font à l’étranger.

Le père de Malka, Yoram Malka, n’a pas caché qu’il était opposé au mariage lors d’un entretien à la télévision et a dit sa colère de voir sa fille convertie à l’islam. De son désormais beau-fils, il dit : « Mon problème avec lui est qu’il est Arabe ».

http://www.algerie1.com/flash-dactu/israel-tensions-autour-du-mariage-dun-juif-et-dune-musulmane/

Partager

Plus d’histoires deLibye