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29 mars 2024

Lorsque France Inter s’étrangle ou se laisse étrangler…


 

Lorsque France Inter s’étrangle ou se laisse étrangler…

Qui contrôlait donc la boîte à malices de la page ouverte sur Internet par France Inter à propos de l’émission de Caroline Fourest « Ils changent le monde » de ce jeudi 21 août 2014 entre 13h 30 et 14h ? Le mystère reste entier.

L’annonce de l’émission, reprise ici en copié-collé, était ainsi libellée (on notera le charabia de la fin) :

« Notre esprit curieux du jour, Annick Cojean, est l’une des grandes plumes du journal Le Monde. Elle a reçu le Prix Albert Londres en 1996, dirige la collection Duels sur France 5. Elle a signé récemment « Les proies » un livre sur le système d’enlèvement et de viols systématiques mis en place sous le général Kaddhafi, Les Proies (aux éditions Grasset). Elle a signé aussi un enquête très forte sur le viol comme arme de guerre en Syrie. Au point de devenir ce qui est sans doute la part la plus belle et la plus noble du métier de reporter : donner une voix à ceux qui n’en ont pas… »

Tout juste après l’achèvement des propos de madame Cojean, je me suis décidé à déposer un commentaire. Il y en avait déjà trois, dont le premier annonçait très directement une volonté enthousiaste d’acquérir l’ouvrage qui avait fait l’objet de l’émission ; le second indiquait que celui- ci avait été reçu en cadeau à Noël et que la lecture en était terminée… Le troisième ne faisait lui- même aucune critique…

Pour ma part, j’ai alors écrit ceci :

« Une lecture attentive du livre d’Annick Cojean permet de constater qu’en dehors de « Soraya », les différents témoins s’échappent les uns après les autres… la mère, le père, le directeur du lycée de filles, etc.

Que vient faire Muammar Gaddhafi dans cette sombre histoire ?…
Masquer les preuves de ce qu’a été réellement la Libye révolutionnaire de 1969 à 2011. Sur ce point, on pourra consulter avec profit :

www.francoisepetitdemange.sitew.fr

Cordialement, Michel J. Cuny »

Juste après l’envoi à la « modération », je suis revenu sur la page pour constater, jusqu’à n’en pas croire mes yeux, que, désormais, tout avait disparu, mon texte et les trois autres. En foi de quoi, j’ai écrit :

« Curieux…
Il n’y a donc plus, maintenant, aucun commentaire.
Faudrait-il penser que madame
Fourest est décidément aux fourneaux ? A quoi s’abandonne France Inter ?…
Bien sûr, je saurai le faire savoir.
Michel J. Cuny »

Ce qui ne sera évidemment pas perdu pour tout le monde. Michel J. Cuny

 

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