Lors de la dernière conférence annuelle des ambassadeurs français, François Hollande a déclaré que Bachar el Assad ne pouvait être un partenaire de la lutte contre le terrorisme. Il a ajouté qu’il était l’allié objectif du djihadisme et qu’on ne pouvait pas choisir entre deux barbaries.
Alors que François Hollande reconnaissait lors d’un récent entretien donné au quotidien « Le Monde » que la France avait équipé l’une des branches du djihad en vue de faire tomber le régime de Bachar el Assad, cette réplique peut surprendre.
Bassam Tahhan, islamologue et professeur de géopolitique, affirmait lors de nos précédents entretiens, que le président syrien représentait le dernier rempart contre le djihadisme. Il nous livre ici son ressenti face à la dernière élocution publique du chef d’État français.
Posted on août 31, 2014 @ 15:36
Allain Jules