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28 mars 2024

Contorsions africaines


Joseph Tapa
21/10L2014
Afrique-commémoration| La solidarité ou la mort !

le 20 oct 14 


En ce cette journée convenue d’après le décompte du calendrier grégorien datant cette journée du 20 octobre de l’an 2014, il y’a très peu, juste quelques petites années passées, en 2011, un Grand Frère sournoisement mal aimé, accusé de toute(s) part(s) et en toute(s) chose(s) montée(s) expressément et d’empressement par des esprits bien plus aigris de jalousie forcée suscitée par les réalisations et intentions louables et salutaires du Grand Frère pour l’Afrique, Mouammar Kadhafi ; tomba et trépassa sous la furie d’une horde de paumés abusés de l’international non africain, constituée au service à détruire une des plus belle réussite sociétaire africaine…si ce n’est l’unique.
 
De coutume de peur héritée du fait de l’étranger non Africain, mélangée à la volonté à ne pas gêner pour quoi qu’il en soit l’étranger nourricier, comme en 2011 au cours des événements détruisant la réussite libyenne au point d’encourager le génocide du tiers noir de cette nation et d’autres y installés ou de passage, nombres d’Africains poursuivront l’attitude du silence à comportement d’autruche qui furent leurs à l’assassinat commandité d’un illustre d’entre eux : le Grand Frère Mouammar Kadhafi, dont nombres Africains d’esquives et resquilles de simplet argumenteront en s’arc-boutant sur le différentiel de mélanine et de culture héritée des colonisations et immixtions étrangères à l’Afrique pour souffler de tranquillité de conscience au lieu et place de traîtrise.
 
La traîtrise ne pouvant muté d’échappatoire…il viendra quoi qu’il en coûte le jour où la conscience imposera des sanctions. Repose doucement Cher Grand Frère, Mouammar Kadhafi. L’Afrique ne peut plus se priver d’avancée.
 
Joseph Tapa

Afrique-Célébration| La Patrie oula Mort nous vaincrons !

le 15 Oct 14


En cette journée convenue du 15 octobre du calendrier grégorien, il y’a peu, quelques années précédentes, en 1987, une cohorte de réfractaires à la construction africaine par l’entremise et entreprise principale d’Africains, des enchantés des vues et d’expressions outre Afrique, sonnèrent le glas du courage par la lâcheté à neutraliser la vie de l’illustre Grand Frère dénommé -de fait de colonisation- Thomas Isidore Noël Sankara.
 
L’enveloppe charnelle fut neutralisée et de loin l’impact et portée de la vivacité glorieuse de dignité colportée par son esprit Avant-gardiste : Vive Sankara l’éternel !

Joseph Tapa
 
 

Le pouvoir en Afrique mérite t-il d’être protégé !?
le 19 Oct 14

Un ineffable conseillé secondaire à certaine(s) question(s) africaine (s), employé à l’actuelle présidence française, se voudrait de nouveau à être admis à la candidature de chef d’État en Afrique et plus précisément au Togo.
Ci-dessous vous ait porté à lecture, réaction offusquant certains esprits au point de ne pas y voir et denier à la critique qualité d’amélioration et concours à l’établissement de meilleur projet de société :
 
« En voilà une sommité ! Quelqu’un qui toute sa fleur de vie n’a exprimé que souffrance à trouver refuge et service auprès des institutions françaises, dont-il s’enorgueilli non sans honte d’en avoir été distingué de faire valoir de travers social (premier maire noir de France)…avant d’en être réduit à la mendicité existentielle, au point d’en jubiler être conseillé -spécial de second plan- Afrique (Afrique connue en conte…et dont la propre famille -descendance directe de saveur au loin africaine- n’y met guère les pieds que d’échappatoire touristique), à la présidence française, après un cuisant échec (rejet populaire en 2010) dans une impropre et malheureuse tentative à diriger un pays africain (Togo).
 
Voilà qui est immonde de croire à vouloir de l’Afrique être la poubelle de transfuges, renégats, félons, qui en mal de revers et souffrances d’échecs outre Afrique, s’enveniment à se vouloir le meilleur de l’Afrique !
 
Combien de candidats togolais ayant concouru à la précédente élection présidentielle (2010) togolaise, son domicilié outre Afrique ? Le mal communément ne vient-il de toujours pas de l’extérieur ?
 
L’Afrique serait-elle en manque d’Africains, en mesurent de l’étoffer une destinée heureuse, pour qu’il lui soit envisagée salut en provenance de l’étranger et de transfuge (nouvel étranger…mutant) s’étant débarrassé des identités africaines qui plus est ?
 
Il est un débat qui mérite viscérale exclusion face aux nombreux devoirs de constructions multiples du quotidien africain par les Africains, celui-ci de débat étant l’ostracisme à la mise en quarantaine à défaut d’éradication du sort des parvenus se drapant à s’affubler de victimes de leur attitude de renégat.
 
L’ineffable concerné, après avoir été rejeté par les institutions du Togo, en 2010, dans la course à l’élection présidentielle, d’alors, en arguant (de politesse politique) de la non résidence de ce dernier dans le pays sur période conséquente ; rejeté populairement par la nation au cours des élections législatives à la suite de la présidentielle et autres locales ; ce dernier s’en est retourné en France. Dont-il détient d’attribution depuis déjà 1975 la nationalité -farouchement attaché au point de n’être disposé à y renoncer-, servir au plus près l’État français, plus officiellement dès 2012, et son actuel président François Hollande de servitude de faire valoir.

Et comme ci cela était une passerelle en promotion africaine ; l’ineffable entendrait être candidat à la présidentielle de 2015 au Togo ! N’est-ce pas là manifesté acte de nuisance à retardement de la construction africaine !? »
 
À qui le voudra de souhait impérieux d’éclairer autrement les consciences…
 
Joseph Tapa
 
 
Quel chemin emprunter pour l’honorabilité africaine
le 29 sept 14


Sans un bouleversement des institutions héritées des dominations étrangères à l’Afrique,
 et une mise en quarantaine d’exclusion des politiques aux sagesses marquées des effets des dominations étrangères et de jeunesse au loin des aspirations de celle de la construction africaine par la dynamique africaine : L’Afrique s’éternise et poursuivra de la sorte qu’à rêver de mieux-être et meilleur à l’horizon.
 
Comment saisir qu’à quelconque « prétendu » changement d’acteurs politiques en Afrique, censés impulser des dynamiques nouvelles et adaptées aux évolutions du temps (tel, ne serait-ce que la maîtrise interne et propre à construction d’environnements), de l’Afrique du Sud, de  la Centrafrique , de la R.D. Congo , de  la Côte  d’Ivoire, de  la Libye , du Gabon, de  la Guinée-Conakry , du Nigéria, du Maroc, du Mozambique, du Mali, de l’Est à l’Ouest, du Nord au Sud de l’Afrique, les affaires publiques ne sont que continuité de précédentes : avec ceci d’inclusif d’être encore et encore et de toujours parsemées de scandales de détournements financiers et autres sinécures et gabegies !?
 
L’Afrique ne saurait être de fond novatrice. Avec des acteurs aux vues, et jeunesses, scarifiées de passé portant non sans gène l’immonde colonisation en tous genres (culturel, éducationnel, politique, sociétaire, etc.). Et qui ne saurait être combattue (fruits et inoculations des colonisations) en lui portant reconnaissance et indécente et inconséquence gloire.
 
Il ne vous a peut-être pas échappé, la finesse de la stratégie qui s’exprime à ce que l’Afrique soit le seul regroupement territorial qui en appelle constamment aux ressources humaines d’autres territoires !
 
Certes l’Afrique souffrirait grandement de déficit et qualifié de scolarisation -on pourra à tord ou à raison soulever les carcans culturels et autres faits hérités ou inoculés-, comme bons nombres d’autres territoires et notamment l’Asie. L’Asie, tout aussi meurtrie proportionnellement que l’Afrique de déficit de scolarisation, qui au demeurant s’active, dignement ne recourant guère aux chantages d’assistance sous menaces d’infecter ou de déportation les autres territoires, à faire face aux calamités touchant ses territoires, tels des éboulements en Chine, tremblement de terre, éruption volcanique au Japon, sécheresse en Afghanistan, pandémies, etc. Quelle(s) analyse(s) en ressortir?
 
L’emblématique entente africaine, l’Union Africaine, par la voix de la présidente de commission, Nkosazama Dlamini Zuma, en France, a sollicité une plus grande aide de ressources humaines d’étrangers à l’Afrique en plus des Assistances matérielles pour faire face à la maladie dite Ebola sévissant sur certains territoires d’Afrique. Quelle(s) analyse(s) en ressortir ?
 
Joseph Tapa 
 
 
Que prépare l’Occident au détriment de l’Afrique de l’insistance Ebola !?
le 14 octobre 14
L’évolution sociétaire moderne, dans l’ébauche des  coercitions au nom du mieux vivre ensemble,
diffère des civilisations anciennes par la mise en avant justificative de concepts préparatoires à la communication choisie -à outrance- en concours de l’adoubement des restrictions avec l’assentiment des masses populaires.
 
La calamité naturelle, saisie sous la dénomination de virus Ebola, apparue au monde moderne au cours des années 1976, dans la région de l’Afrique centrale ; et qui vraisemblablement de référence aux dires d’alors de médecin -de toujours pas à nos jours présentées de farfelues-, s’étant d’époque confronté au ravage de cette épidémie virale, fut scientifiquement maîtrisée -existence d’un traitement- sans toutefois qu’il en résulta ou fut constaté l’éradication ou disparition totale voire conséquente d’une quelconque communauté et/ou groupuscule humain.
 
Soit ce virus fut réellement neutralisé d’alors, avec pour conséquence que les moyens d’une nouvelle neutralisation à voire éradication à sa résurgence actuelle sont réels et d’effectivités de portée rapide ! Soit ce virus ne le fut guère neutralisé, dévoilant en conséquence une dangerosité mineure au vu des années écoulées depuis sa survenance moderne jusqu’à nos jours, sans qu’il eut été désolant de constater de la disparition graduelle de quelconques communautés et/ou groupuscules victimes !
 
L’accent sur la gravité des pandémies sévissant mortellement en Afrique, étant jusqu’ici pointé sur les non moins gravissime nombreuses victimes annuelles, bien en deçà de celles d’Ebola, du paludisme estimées à plus de 600 000 personnes, du choléra estimées à plus du million de personnes l’an et bien d’autres maladies virales et calamités naturelles. Sans que cela n’éprouve l’ardeur actuelle et manifestation quasi internationale (bien plus occidentale) à la protection contre la propagation de la calamité Ebola. Ebola qui serait à quelques encablures d’être présenté de ressemblance à la Peste Noire  ayant sévèrement en Occident, bien que l’actuelle quasi-totalité des populations occidentales n’y en connaissent rien de vécu autrement que récits et contes d’histoires.
 
L’idéologie accompagnatrice…
 
Il se multiplie des appels à limiter, à interdire voire cesser, les déplacements vers certains pays d’Afrique. Au nom de la protection contre une probable extension des foyers de contamination du virus -Ebola- pour le moins maîtrisé dans sa dangerosité (Cf son ancienneté). Ou de peu dangereux, vu que sévissant depuis bien longtemps sans fracas en Afrique. Appels ne souffrant guère de béantes dénonciations publiques des moralistes des droits des Hommes, et autres irascibles défenseurs des libertés publiques et inconditionnelles attachées aux Hommes. Appels assénés de tous bords sociétaux, notamment en provenance de la société civile et illustre magna économique tel Donald Trump, au point que des parents d’élèves à l’exemple français soustraient leurs enfants d’école fréquenté par d’enfants en provenance des territoires africains honnis (où sévit le virus Ebola).
 
Les médias -occidentaux- de concours à la machination de diabolisation de certains territoires d’Afrique « pour l’heure…la généralisation n’étant que question de temps à étape », parcourus du virus Ebola, n’ont de cesse d’alimenter la psychose en appuyant (insistant) à tour d’éditorial sur les victimes infectées en Occident. De l’Allemagne qui se reconnaît un cas de contamination interne au virus Ebola et justifiant certainement en précaution que la pays entende déployer quelques centaines de soldats en Afrique en lutte contre Ebola ; en France où à quelconque malaise d’un africain demandeur de séjour, venu des territoires affectés par le virus, le quantique du repli sur soi est généreusement remisé ; aux Usa où l’ignominie est poussée par la mise en avant des difficultés à impossibilités administratives internes à la protection, en dépit des rigueurs prônées.
 
Ebola serait dont incirconscriptible et grandement de contagion fatale, avec un talent à la propension qu’il faille courir le risque de ne plus pouvoir vivre socialement. Et partager les gestes simples et affectifs du quotidien, tel que se saluer sans crainte, embrasser ses proches et enfants sans risques supposés, partager des joies de vivre sans péril imminent, etc. En somme, l’Occident serait en danger sans protection contre ce mal en provenance d’Afrique, colporté par les Africains et leur mode existentiel. La mondialisation ayant ses limites… ! Et dire qu’Ebola n’est pas une surprise, et donc insurmontable, vu que le virus n’ait pas pour l’heure des connaissances à son sujet muté en autre chose de nouveau voire d’inconnu.
 
L’indicible machination…
 
La paupérisation grandiloquente des populations africaines, en stupéfiante et sévère contradiction d’avec l’innombrables de richesses dont fourmillent en abondance leurs espaces vitaux, exploitées substantiellement contre de modique retour aux populations, aggrave le phénomène naturel de déplacement des populations en recherche de mieux être ailleurs. Ce qui eut pour effet de tendance, à vider les campagnes de la majorité des populations au profit des villes urbaniser ; et qui d’une autre échelle à tendance, a pour conséquence de vider l’Afrique de ses forces vives en recherche de mieux être en Occident. Ce que dévoilent les incessants naufrages de jeunes Africains aux portes de l’Europe. Et nombres de stratagèmes érigés dans le souci de rejoindre l’Europe, accusé au demeurant de construire son mieux être sur le dos de l’appauvrissement de l’Afrique.
 
Nul doute que le regard humaniste en appui des droits reconnus aux Hommes (occidentaux) et par la suite consentis à ceux d’Afrique (anciennement esclave relégué au statut de biens meubles), achopperait de non sens à fallacieux s’il n’était reconnu « de protection » à des populations se soustrayant à mort certaine…portée de la sévérité de la pauvreté ! Et donc ou du moins ce qui favoriserait l’implantation grandissante de déplacement en Occident, à mesure équivalente de l’appauvrissement de l’Afrique et des populations africaines ! Ce qui constituerait à certaines lectures un retour au frein (gouffre financier) qui d’hier déjà, valu à l’Afrique sa sortie du joug officiel des colonisations (indépendance) : l’égalitarisme, la fraternité, etc de vertus et valeurs de toujours distingués d’attributs universels aux Hommes.
 
Par contre, nul doute que le regard protecteur sous la lueur d’intérêt supérieur verra admirablement jour contre le mal venu d’ailleurs…ne pouvant qu’aisément que justifier toutes sortes de restrictions à l’universalisme d’égalitarisme Humain prôné et tout aussi agréablement encourager des retouches ou ré-adaptabilités des vertus de morales délester de teneurs incompatibles à l’intérêt supérieur.
 
Ebola, serait-ce le nouvel artifice de protection contre l’immigration envisagée sauvage africaine !? Immigration -naturelle- pour le moins en suite ou conséquence et assurément inconséquence des immixtions sauvageonnes étrangères en terres africaines…! L’avenir nous dira à coup sûr du résultat des gestations et autres perfides mesures qui sont en attentes d’êtres adoubées populairement, outre Afrique bien évidemment.
 
Joseph Tapa
 
 
Participatif-Société Africaine| Réflexion sur l’impact journalistique !
le 07 Octobre 14

L’autoritaire président en exercice du Tchad, le redoutable Grand Frère Idriss Déby Itno, connu pour sa fermeté ainsi
qu’un parlé simple, cru, franc, dans une adresse à un parterre de journalistes majoritairement africains, eut à solliciter de ces derniers de prendre le chemin du service à la construction africaine -au travers de leur corps de métier- en insistant de gravité sur le fait qu’ils devraient ne point s’inscrire à être des caisses de résonnance d’actualités préfabriquées -outre Afrique- mais bien plus prendre la voie de l’expression de la vérité minant les réalités de l’essor africain.
 
Au delà des obsessions personnelles sur la nature et qualité du pouvoir qu’il exerce difficilement -comme tout vaillant dirigeant-, de fond, ne souligne t-il pas une faiblesse du journalisme africain ? Le journalisme africain participe t-il objectivement à la tâche d’amélioration de la construction intellectuelle des africains ?
 
Joseph Tapa 
 
 
Afrique| Le Bonheur Malmené d’irréalisable !

le 01/10/14

Nul doute qu’un bonheur personnel, qu’il soit matériel, immatériel et autrement psychologique -intellectuel/politique/sentimental-, ne s’ambitionne, ne réalise, ne se construit voire ne se bâti, sans des sacrifices propres.
Que de cet aspect de sacrifices découle la dignité et se produisent les valeurs qui embellissent la personnalité et honorent l’identité humaine. Ainsi tous ceux qui émerveillent le quotidien de l’Homme de tous temps, résultent des sacrifices propres portés par des Hommes poursuivant des intérêts divers (économiques, politiques, culturels, sociétaires, etc.) et profitables à Tous.
 
Que cet aspect de sacrifice serait le talon d’Achille, le scrupulus (petit cailloux dans la chaussure nuisant la bonne marche), l’inappréciable rebutant, aux multiples revendications de manifestations d’expression de bonheur en Afrique.
 
Que cet aspect de sacrifices est quasiment pour ne pas dire totalement absent des intentions et actions qu’entendent et portent les Africains à l’expression de bonheur.
 
Ainsi, constatation est qu’en interne de politiques africaines, toutes rencontres à l’expression du Bonheur africain soient de toujours financées substantiellement par des fond étrangers. Comme l’atteste l’innombrables de conférences en tous domaines sur l’Afrique, dont les déplacements, hébergements, nutrition, locations, sont pris en charge par des fonds étrangers aux africains. Il en est de même dans le cadre des dynamiques dites d’opposition au pouvoir en charge des destinées nationales, qui s’activent en leur propre interne qu’en concurrence des fonds publics octroyés…fonds publics découlant substantiellement de financements étrangers aux Africains.
 
Aussi, constatation est que les organisations privées africaines ne s’investissent à des actions d’envergures, à destination du rayonnement général de l’Afrique et peu souvent des Africains, qu’en appui substantiel de financement à la constitution dominé par des fonds étrangers. Les intentions et autres réalisations minimalistes -désordonnées- d’organisations privées, portées de sacrifices de financement propre africain, s’inscrivant majoritairement pour ne pas dire totalement dans la poursuite de gloire à auréole personnelle ou groupusculaire sans en être entretenues en suite.
 
Que d’exemples interpellant :
Le siège (construction et équipements) de l’institution majeure de l’entente africaine, l’Union Africaine, est la résultante d’un Don étranger (chinois). Nombres de représentants Africains s’y rendant et aux rencontres diverses y compris africaines et en Afrique, sollicitant sans vergogne la prise en charge de leurs déplacements et hébergements (autres procédés de prévarication….).
 
Les ONG dites africaines et supposées dirigées et non administrées par des Africains, s’inscrivent toutes à des programmes subventionnels multiples de financements de fonds publics d’États étrangers et leurs émanations d’ententes (même l’Onu ne fut instigué par l’intentionnel africain).
 
La foultitude des associations africaines n’ont de rayonnement africain que le pompeux d’énonciation, s’entredéchirant en interne à la redistribution et profit personnel des financements collectés, quand ce n’est à s’empoigner à s’invectiver quant-à l’allocation (emploi) de peccadilles collectes au bénéfice de projets de faible envergure et majoritairement pour ne pas dire totalement sans suite.
 
Ce qui en interpelle sur la réalité africaine au sérieux réalisable de l’expression du bonheur entonné d’énonciations à moult esclandres, assénées et serinées à l’emporte pièces de revendication tous azimuts !!!

Joseph Tapa
 
 
09/10/14

Boko Haram-Cameroun: Paul Biya l’habituel absentéiste dévoilé !
Dans le cadre la lutte contre la montée en puissance de ce qui est présentée de nébuleuse subversive africaine sous la dénomination de Boko Haram (l’éducation occidentale est un péché, selon une lecture), lutte internationalisée par les contributions physiques, matérielles et financières de nombres d’États non africains (Usa, France, Royaume-Uni, peut-être Chine qui officiellement ne se mêle pas des questions politiques internes aux États africains, etc.), s’est tenue le 07/10/14 à Niamey au Niger : une rencontre à laquelle furent présent les chefs d’États africains, Boni Yayi du Benin, Mahamadou Issoufou du Niger, Goodluck Jonathan du Nigeria, Idriss Déby Itno du Tchad, aux territoires menacés (Bénin, Cameroun, Niger, Nigeria, Tchad) par la montée en puissance du mécontentement portée par la nébuleuse dénommée Boko Haram.
 
Paul Biya du Cameroun, n’a pas fait le déplacement, lui qui ne rate pas -quelque soit son état de santé- quelconque sommets sur les thèmes de sécurité en Afrique organisés par des non africains pour le prétendument compte dit de profit aux Africains. Qu’en bien même en interne camerounaise, présentée malmenée -affectueusement saucée à l’impéritie de la horde dirigée par Biya- par les agressions armées meurtrières et répétées de la dite nébuleuse basée au Nigeria voisin et frontalier ; au point que l’armée camerounaise (et supplétifs étrangers à ne pas en douter) ait été mobilisée en riposte aux agressions (révélation de limite qu’en simple capacité de riposte !) sans que le chef de l’État eût jugé d’importance majeure à se déplacer au front voire ses encablures ou s’établir au plus près en commandant suprême des corps constitués et forces armées dont l’affuble les institutions.
 
Que de questionnements multiples et variés s’extraient de cette présentation ! L’une d’elle, pour le moins généraliste et de haut intérêt, en serait à savoir si l’encore actuel président de l’État camerounais considère à moins de mépris les Africains et la portée de solidarité africaine ?
 
Josep
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