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24 avril 2024

Le Petit Journal de Karim


DANS LA CONTINUITÉ-

De : Éditions Démocrite <democrite@neuf.fr>Date : 27 octobre 2014

Objet : La Russie veut la guerre

https://pbs.twimg.com/media/BisxGV6CcAAQaaZ.jpg:large

 

 démocritedemocrite@neuf.fr http://dossiersdubip.wordpress.com/  éditions Démocrite,

Panique à bord chez les enfants de la Veuve !

L’OTAN en alerte face à une intense activité de l’aviation russe dans l’espace européen  29/10/2014

L'OTAN en alerte face à une intense activité de l'aviation russe dans l'espace européen

L’Otan a annoncé mercredi avoir mené plusieurs interventions aériennes ces deux derniers jours après avoir détecté une intense activité de l’aviation militaire russe dans l’espace européen.

Des appareils des pays de l’alliance ont décollé en quatre endroits différents pour des missions d’interception contre quatre groupes d’avions militaires russes « en manoeuvre » dans les espaces de la mer Baltique, de la mer du Nord et de la Mer noire, a précisé l’Otan dans un communiqué sur cette activité « à grande échelle » et jugée « inhabituelle ».

La plus importante opération à mobilisé des appareils de trois pays de l’Alliance après la détection d’un groupe de huit avions russes – quatre chasseurs bombardiers et quatre ravitailleurs – en formation sur l’Atlantique.

Des appareils des forces norvégiennes se sont portés à leur rencontre pour les identifier et six appareils russes ont rebroussé chemin, mais deux autres, des bombardiers TU-95, ont continué leur route.
Des appareils de la Royal Air Force britannique ont alors décollé pour les escorter. Ils ont passé le relais à la force aérienne du Portugal. Les avions russes sont repartis vers le Royaume-Uni où la RAF et les Norvégiens les ont repris sous leur contrôle.

Selon l’Otan, les appareils russes n’avaient pas soumis de plan de vol, n’avaient aucun contact avec les autorités aériennes civiles et ne communiquaient pas, « ce qui représente une risque potentiel pour les vols civils ».

Une autre opération a été menée par l’aviation turque au dessus de la Mer Noire pour contrôler un groupe de quatre avions russes, dont deux bombardiers TU-95, a ajouté l’Otan.
La chasse allemande est pour sa part intervenue mardi pour contrôler un groupe de sept avions de combat russes en manœuvre au dessus de la Baltique.
http://www.lorientlejour.com/article/893558/lotan-en-alerte-face-a-une-intense-activite-de-laviation-russe-dans-lespace-europeen.html

Date : 28 octobre 2014
Objet :  « La Grèce est un laboratoire pour tester des politiques effroyables » (23.10.14)
Mais Giscard, avec son pied dans la tombe, vient d’annoncer que le peuple de France méritait lui-aussi une cure d’austérité à la Grecque,

…lui qui avait tant fait pour que la Grèce rejoigne l’UE,  « pour des raisons de …civilisation » disait-il !

Devons attendre encore de nous faire croquer par ces … »civilisés » ????

« La Grèce est un laboratoire pour tester des politiques effroyables »

PHILIPPE MENUT, ALEX ANFRUNS

Philippe Menut, ex-journaliste à France 2 et France 3, devenu journaliste indépendant, a réalisé un documentaire… Un gros plan à la fois humain et économique sur les causes et les conséquences de la crise grecque, le film donne la parole aux salariés, militants, économistes, médecins, ministres, chômeurs, philosophes… Ils donnent leur éclairage sur la crise vécue de l’intérieur, et témoignent de la résistance et de la solidarité du peuple grec. La Grèce est un laboratoire. Le film ouvre le débat sur l’avenir d’une zone euro en crise, livrée à un capitalisme financiarisé. Un documentaire lanceur d’alerte.

Lire l’article

Date: 2014-10-28
Subject: Dégradation de la France,Musulmans en France, les nouveaux boucs émissaires ? – L’Entretien avec Edwy Plenel

https://www.youtube.com/watch?v=ZLcW9-3FHEg#t=32
Auteur du livre « Pour les musulmans », Edwy Plenel, fondateur du site internet Mediapart est l’invité de FRANCE 24.

Un apprenti terroriste islamophobe jugé pour avoir tenté d’incendier une mosquée  28/10/2014

Apparemment le terrorisme quand il est anti-musulman ne suscite pas autant d’émotion chez nos politiques et nos médias que quand il vise d’autres communautés.

 Un apprenti terroriste islamophobe jugé pour avoir tenté d’incendier une mosquée
Christophe Lavigne ne fera pas la une de vos journaux et pourtant …

Après avoir été clairement accusé de projeter un véritable carnage au fusil d’assaut dans la mosquée des Minguettes à Vénissieux, dans la banlieue de Lyon le jour de l’Aïd, Christophe Lavigne avait avoué être l’auteur du jet de cocktail Molotov contre une mosquée en Gironde. Il souhaitait selon ses aveux provoquer des émeutes dans toute la France.

L’apprenti terroriste a ainsi comparu aujourd’hui pour ce jet de cocktail molotov contre une mosquée de Gironde. Christophe Lavigne, sergent de l’armée de l’air, était très proche des milieux identitaires islamophobes. Il avait notamment participé à la guerre en Afghanistan.

Il a ainsi été condamné ce soir par le tribunal à 4 ans de prison dont 30 mois avec sursis. Ayant effectué déjà de la détention provisoire, celui-ci ressortira en 2015 …

Apparemment le terrorisme quand il est anti-musulman ne suscite pas autant d’émotion chez nos politiques et nos médias que quand il vise d’autres communautés.

Un deux poids deux mesures permanent qui risque de renforcer dans la communauté musulmane le sentiment de mépris voire l’impression d’une certaine complicité d’une partie de l’establishment avec les milieux islamophobes radicalisés.

http://www.islametinfo.fr/2014/10/27/un-apprenti-terroriste-islamophobe-juge-pour-avoir-tente-dincendier-une-mosquee/

France : les actes anti-musulmans en hausse sur internet
28 octobre 2014  – Massissilia Chafai.

islamophobie1 « Exterminer les Musulmans »

« Cette islamophobie vise la peur, la violence, les préjugés et la discrimination », dénonce l’Onci. Parmi les messages les plus violents diffusés par les internautes anti-musulmans, l’Onci cite :
« les musulmans, il faut les exterminer, guerre à l’Islam, les musulmans, il faut les chasser hors de France et d’Europe, la valise ou le cercueil, l’Islam est un danger pour notre pays, les musulmans sont une vermine ».
http://www.tsa-algerie.com/2014/10/28/france-les-actes-anti-musulmans-en-hausse-sur-internet/

———- Message transféré ———-
De : manga cobra <mangacobra@gmail.com>
Date : 10 janvier 2014
Objet : Pourquoi l’association SOS Racisme refuse-t-elle toujours de dénoncer l’islamophobie ?

Les preuves que SOS Racisme est bien une officine sioniste

E. C.
Mardi 28 Octobre 2014
Les preuves que SOS Racisme est bien une officine sionistePourquoi l’association SOS Racisme refuse-t-elle toujours de dénoncer l’islamophobie ? Pourquoi soutient-elle « Charlie Hebdo », ce journal qui représente quasi-exclusivement les musulmans comme des abrutis ou des fanatiques ? Comment se fait-il que l’on a pu voir récemment Dominique Sopo, président de SOS Racisme, poser tout sourire aux côtés de Nicole Guedj, une politicienne UMP célèbre pour avoir déploré que le Quay d’Orsay soit « bourré d’arabes déguisés », et connue pour son soutien inconditionnel à l’état ségrégationniste et colonialiste d’Israël ? (1)
Pour mieux comprendre les réponses à ces questions, voici un petit rappel sur l’histoire de la création de SOS Racisme, avec de nombreuses sources et preuves à l’appui.En 1983, la «Marche pour l’égalité et contre le racisme», appelée dans les médias «Marche des beurs», marque la naissance d’un mouvement antiraciste de grande ampleur en France. Beaucoup de ces marcheurs portent un keffieh palestinien, en solidarité avec les souffrances du peuple palestinien.
Selon Samia Chala, réalisatrice du documentaire « Les marcheurs, chronique des années beurs », ce keffieh aurait inquiété une partie de la communauté juive de France. Ce que confirme le prêtre Christian Delorme, l’un des initiateurs de la Marche:«Une partie des juifs de France, en effet, s’est inquiétée de ce keffieh. Après, il va y avoir la peur chez les organisations juives, la peur qu’un mouvement antiraciste se développe en France qui puisse, parce qu’il aurait des accointances palestiniennes,[être] un mouvement antiraciste et aussi antijuif et antisioniste.» (2)

Suite à cette marche, d’autres militants très différents vont d’ailleurs aussi tenter de créer un mouvement antiraciste. A leur tête, on trouve notamment Julien Dray, Harlem Désir, et des militants de l’UEJF (Union des Etudiants Juifs de France).

Ces deux groupes vont se rencontrer à plusieurs reprises. Une rencontre particulièrement houleuse aura lieu à Panthéon-Sorbonne début 1985. Serge Malik (auteur du livre « Histoire secrète de SOS racisme » publié en 1990) et l’ancienne sénatrice EELV Alima Boumediene-Thiery ont raconté cette fameuse rencontre (3). Les membres de l’UEJF y ont exigé que les militants beurs retirent leurs keffiehs. Selon Djamel Attalah (l’un des leaders de la Marche des beurs), Marc Bitton (de l’UEJF) se serait même levé en disant : «je ne discuterai pas avec des gens qui portent le torchon d’Arafat!» (4) La plupart des beurs ont préféré quitter le mouvement plutôt que de retirer leurs keffiehs. SOS Racisme allait donc être dominé par des proches des milieux sionistes et des membres de l’UEJF.

Le premier secrétaire général de SOS Racisme sera Eric Ghebali, alors également président de l’UEJF (qui fait partie de l’Assemblée Générale du CRIF). Dans son livre « Histoire secrète de SOS Racisme », Serge Malik décrit Eric Ghebali comme un agent d’influence d’Israël, comme le rapporte Thierry Ardisson dans son émission « Lunettes noires pour nuits blanches » en 1990 (5). Dans cette même émission, Serge Malik raconte également comment les quelques militants beurs restant à SOS Racisme ont été marginalisés au profit de membres de l’UEJF.

Le premier président de SOS Racisme sera Harlem Désir. De mère juive, il est connu pour sa défense zélée de la politique israélienne, qu’il a encore démontrée récemment lors de l’opération «bordure protectrice». (6)

Le premier vice-président de SOS racisme sera Julien Dray. Le journaliste israélien Jacques Benillouche rapportait en 2012 que Julien Dray a « une grande famille en Israël, dont son frère qui vit dans une implantation » (c’est-à-dire une colonie). (7)

Sur son site internet, BHL a publié un texte affirmant qu’il est lui aussi l’un des fondateurs de SOS Racisme (8). Lors du JT du 15 juin 1985, on voit en effet Eric Ghebali promouvoir le grand concert de SOS Racisme aux côtés de BHL et de Marek Halter. Lorsque le journaliste l’interroge sur le grand nombre de juifs au sein de l’association, on voit la réaction agacée de BHL. (9)

Un autre membre fondateur de SOS Racisme est un certain Daniel Saada, comme le rapporte également BHL dans un article pour le New York Times. BHL décrit Saada comme son « vieil ami », un « fondateur de SOS Racisme », et nous rapporte que Saada s’est par la suite installé… en Israël ! (10)

Et qu’en est-il 30 ans plus tard ?…

La plupart des leaders et militants de la marche des beurs qui soutenaient la cause palestinienne sont tombés dans l’oubli. Selon Djamel Attalah, beaucoup de ces marcheurs seraient même aujourd’hui au RSA. (11)

Les fondateurs de SOS Racisme, eux, sont tous devenus des figures importantes et influentes de la politique. Harlem Désir fait partie du gouvernement actuel de Manuel Valls. Julien Dray a été député pendant 24 ans. Eric Ghebali est décrit par Le Nouvel Observateur comme un «homme d’affaires et ami de tous les présidents», très proche également de Manuel Valls (12). BHL est plus influent auprès du pouvoir et des puissants qu’il ne l’a jamais été. Quant à Daniel Saada, le site du CRIF rapportait en 2005 qu’il était devenu ambassadeur israélien (13)…

L’OPA des sionistes sur le mouvement antiraciste aura donc été un succès total pour BHL et ses amis.

Références:
(1) http://www.youtube.com/watch?v=dBnNW_0yiDM
(2) http://www.slate.fr/story/80627/marche-beurs-racisme-egalite
(3) à partir de la 35éme minute : http://www.youtube.com/watch?v=A2EHCxmCoic
(4) http://www.lavoixdesallobroges.org/societe/671-itw-djamel-atallah-sur-la-marche-pour-legalite-de-1983
(5) à partir de 4’18 : http://www.youtube.com/watch?v=-s0Ae4FmubA
(6) http://www.youtube.com/watch?v=JCPGYZLeF2I
(7) http://www.terredisrael.com/infos/les-juifs-de-francois-hollande-par-jacques-benillouche/
(8) http://www.bernard-henri-levy.com/sos-racisme-3786.html
(9) à 3’12 : http://www.youtube.com/watch?v=RAFfM38A6JA
(10) http://www.nytimes.com/2006/08/06/magazine/06israel.html?pagewanted=print&_r=3&
(11) http://leplus.nouvelobs.com/contribution/976810-j-ai-marche-pour-l-egalite-en-1983-on-etait-des-stars-aujourd-hui-la-plupart-sont-au-rsa.html
(12) http://www.ozap.com/actu/politique-et-medias-daniela-lumbroso-une-nouvelle-fois-epinglee/440798
(13) http://www.crif.org/fr/actualites/Daniel-Saada-Ambassadeur-itinerant-d-Israel-en-Afrique–David-Ben-Gourion-disait-que-la-redemption-du-peuple-juif-sur-sa-terre-ancestrale-devait-servir-de-modele-pour-les-peuples-freres-d-Afrique-dans-leur-lutte-pour-l-independance-et-le-develo

 

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Le Grand-Orient s’inquiète de l’anti-maçonnisme « des milieux catholiques et musulmans »

27 octobre 2014

Le Grand-Orient s’inquiète de l’anti-maçonnisme « des milieux catholiques et musulmans »

Daniel Keller, grand maître du GODF depuis l’été 2013, tire la sonnette d’alarme : « L’anti-maçonnisme est aujourd’hui avec l’antisémitisme et l’homophobie l’un des trois symptômes de la crise de la République. »

Le GODF a donc lancé une campagne nationale contre l’anti-maçonnisme qui régnerait dans notre pays. Un cycle de conférences, ouvert à Lille samedi soir, se poursuivra jusqu’en mai à Strasbourg, Lyon, Avignon, Toulouse, Bordeaux, Nantes et Rouen.

Ce sentiment de persécution chez nos frères Trois Points est dû à la multiplication des discours « venant des milieux catholiques hostiles au Mariage pour tous, des évangélistes, des musulmans et plus généralement d’Internet et des réseaux sociaux ». Et les mêmes de s’émouvoir lorsqu’on recherche sur Internet « la franc-maçonnerie est une… » de se voir proposer par le moteur de recherche « une secte satanique » (sic).

la franc maçonnerie est

Le clergé de la République avait déjà lancé une contre-attaque en début d’année, multipliant les déclarations et manifestations, afin de défendre les fameuses « valeurs républicaines », toujours plus menacées selon lui.

Retrouvez Dieudo au pays des francs-maçons !

Les bobards du franc-maçon

Parodie de la couverture des aventures de Tintin et Milou dans l’album Les cigares du pharaon, sur laquelle on observe Dieudonné et Biquette en pleine initiation à l’ananas ! Après des années de recherches et de fouilles minutieuses, leur découverte semble être fondamentale, ignorant encore les conséquences universelles qu’elle pourrait revêtir.

Joe le Corbeau vs Jean-Claude Elfassi : le corbeau et le renard au tribunal

Vidéos 10 octobre 2014 françois dangléhant, Jean-Claude Elfassi, Joe le Corbeau

  Joe le Corbeau vs Jean-Claude Elfassi : le corbeau et le renard au tribunal

Nous avons suivi Joe le Corbeau au tribunal dans le procès qui l’oppose à Jean-Claude Elfassi, un paparazzi bien connu qui a attaqué le dessinateur fondateur du site www.croah.fr pour un article à son encontre, suite à des propos ouvertement racistes tenus par le plaignant. Une affaire rocambolesque dans laquelle le photographe s’est désisté depuis plus d’un mois et demi alors qu’une juge zélée redemande la convocation des partis, bien qu’elle-même fut révoquée et donc avait l’obligation de se déporter. Encore une fois, la justice surréaliste dans ses dysfonctionnements a encore frappé. Le personnel s’est trouvé déstabilisé de voir tant de soutien pour le dessinateur. Un reportage de la rédaction de www.metatv.org Meta contrib : Flo /Mika /Tepa « Si vous lisez ce message, c’est que vous êtes la Résistance » http://croah.fr/a-la-une/joe-le-corbeau-vs-jean-claude-elfassi-le-corbeau-et-le-renard-au-tribunal/

Mathias Cardet sur le rap actuel et skyrock – Meta TV

  Mathias Cardet co-fondateur de la plate forme BDH et auteur de plusieurs ouvrage dont le célèbre « l’effroyable imposture du rap » qui n’arrête pas de faire couler de l’encre nous décrit sa vision du rap actuel et le rôle de la radio skyrock.Meta contrib : Flo / tepa www.metatv.org Emission MetaTV  Interview MetaTV

Scandale : Jack Lang et Frédéric Mitterrand célèbrent Pierre Bergé à l’Institut du monde arabe

Le 29.10.2014

 Scandale : Jack Lang et Frédéric Mitterrand célèbrent Pierre Bergé à l’Institut du monde arabeINFO PANAMZA. À l’occasion d’une exposition sur le Maroc, Jack Lang, président de l’IMA, a donné « carte blanche » à Pierre Bergé pour être interviewé par Frédéric Mitterrand. Décryptage et révélations.

Quand Cohn-Bendit tord les faits pour célébrer le président israélien


Le 28.10.2014

Quand Cohn-Bendit tord les faits pour célébrer le président israélienINFO PANAMZA. Découvrez la manière dont Daniel Cohn-Bendit a salué aujourd’hui le président ultra-droitier d’Israël en déformant la vérité.

Pilier historique du Parlement européen, leader écologiste et artisan médiatique de Mai 68, Daniel Cohn-Bendit est récemment devenu -à l’âge de 69 ans- chroniqueur sur Europe 1.

 

———- Message transféré ———-
De : Facebook <notification+kr4mr2m5xkmn@facebookmail.com>
Date : 29 octobre 2014
Objet : TDjamal Benmerad et Jean Bricmont ont partagé leurs liens :
« Fabius refuse le visa à Jamila, jeune… » « Colloque international La liberté… »

Djamal Benmerad Djamal Benmerad a partagé un lien  : «  Fabius refuse le visa à Jamila, jeune…  » Fabius refuse le visa à Jamila, jeune handicapée de Gaza attendue à Free Palestine – CAPJPO -… www.capjpo-europalestine.com Le gouvernement français vient de refuser, avec des motivations sordides, le visa de sortie à 3 Palestiniens de Gaza, dont Jamila, 21 ans, amputée (…) J’aime · Commenter · Partager Vous recevez ce message car vous avez indiqué que Djamal Benmerad est un(e) ami(e) proche. Changer les notifications pour les amis proches.

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Le gouvernement français vient de refuser, avec des motivations sordides, le visa de sortie à 3 Palestiniens de Gaza, dont Jamila, 21 ans, amputée (…)
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Jean Bricmont Jean Bricmont a partagé un lien  : «  Colloque international La liberté…  » Colloque international La liberté d’expression. Menacée ou menaçante ? Jusqu’où penser, parler,… www.academieroyale.be La liberté d’expression figure au Panthéon des grandes libertés. Elle constitue aussi le socle de la démocratie, au point d’en constituer aujourd’hui le critère prépondérant. Or, force est de constater que cet acquis fait l’objet de contestations ou d’interprétations différenciées : religion, racism… J’aime · Commenter · Partager Vous recevez ce message car vous avez indiqué que Jean Bricmont est un(e) ami(e) proche. Changer les notifications pour les amis proches.

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ARCHIVES DE LA GUERRE DE LIBÉRATION NATIONALE

Par Mohamed TOUATI – Mercredi 29 Octobre 2014

La France ne remettra jamais à l’Algérie des archives qui « lui font tort »

Par Kaci Haider | 28/10/2014 |

archiesLa France « ne remettra jamais » à l’Algérie des archives qui risquent de « lui faire tort », en allusion aux crimes de guerre et contre l’humanité dont les Algériens ont été victimes depuis 1830, a affirmé, mardi, le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni.

« La France refuse de remettre ce qui reste des archives à l’Algérie ou s’attarde à le faire.Elle ne remettra jamais ces archives qui risquent de lui faire tort », a soutenu Zitouni.

S’exprimant à la veille de la commémoration du 60e anniversaire du déclenchement de la guerre de libération, le ministre a souligné que « la France n’acceptera jamais de s’avouer vaincue dans sa guerre contre l’Algérie ».

Pour lui, « la France doit admettre que l’Algérie est indépendante et que les Algériens n’oublierons jamais les affres du colonialisme ».

Le ministre n’a pas manqué de rappeler, par la même occasion, que « la plus grande partie de ces archives se trouve actuellement au centre national des archives » tout en ajoutant que les institutions algérienne et française des archives « ont convenu du principe de restitution de ce qui reste de ces archives à l’Algérie ».

Quant à la question des excuses et de la reconnaissance des crimes, revendiquée par plusieurs parties en Algérie, le ministre a estimé qu’il s’agissait simplement d’une question de temps, affirmant que « tôt ou tard la France devra reconnaître les crimes de guerre et contre l’humanité qu’elle a commis en Algérie pendant 132 ans ».http://www.algerie1.com/actualite/la-france-ne-remettra-jamais-a-lalgerie-des-archives-qui-lui-font-tort/

LE 1ER NOVEMBRE 1954 : Un seul héros, le peuple algérienLe 1ernovembre 1954, date du déclenchement de la guerre de Libération Nationale, qui avait sonné le glas sur le mythe de « l’Algérie française », demeure une date symbolique pour tous les Algériens, qui célèbrent cette année son 60ème anniversaire ce samedi 1er Novembre coïncidant avec les festivités de la cinquante-deuxième année de l’indépendance nationale le 5 Juillet dernier.http://www.reflexiondz.net/LE-1ER-NOVEMBRE-1954-Un-seul-heros-le-peuple-algerien_a31708.html

 

———- Message transféré ———-
De : « Pierrick Bouquet  » <pierrickbqt@gmail.com>
Date : 29 octobre 2014
Sujet : Découvrez ce contenu : Cinq groupes pétroliers signent des contrats en Algérie

Les français sont mis de côté. ……


Signature de contrat entre Sonatrach et le consortium Statoil-Shell (photo AB)Signature de contrat entre Sonatrach et le consortium Statoil-Shell (photo AB)
ALGÉRIE. Cinq compagnies pétrolières étrangères retenues dans le cadre d’un appel d’offres pour de nouveaux blocs d’exploitation en Algérie ont paraphé leurs contrats le 29 octobre 2014 à Alger.La signature a eu lieu entre le groupe public algérien Sonatrach, Alnaft (Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures),  et les compagnies Statoil (Norvége) Shell (Angleterre/Pays-Bas), Repsol (Espagne), Enel (Italie) et Dragon oil (Émirats).Pour la première phase de recherche et d’exploration de trois ans, « le montant des investissements  est de l’ordre 150 M$ « , a déclaré en marge de la signature,  le président du comité de direction d’Alnaft, Sid Ali Betata.

Le consortium Statoil-Shell a signé pour le périmètre Timssit situé dans la région Est du pays, Dragon oil-Enel pour  le périmètre Tinhert nord situé à l’Est  et pour celui de M’Sari Akabli dans la région Ouest, et Repsol-Shell pour  le périmètre Boughezoul dans la région Nord de l’Algérie.

L’appel d’offres portait sur 31 blocs pour l’exploitation d’hydrocarbures de type conventionnel (pétrole et gaz) et non conventionnel (gaz de schiste), mais seuls quatre périmètres ont intéressé les compagnies.
Alnaft, Sid Ali Betata a annoncé à la presse qu’un 5eme appel d’offres était en cours de préparation


1er forage offshore pour Sonatrach fin 2015

Said Sahnoun (photo AB)Said Sahnoun (photo AB)
Le groupe Sonatrach compte réaliser son premier forage offshore fin 2015 annonce  le P-dg par intérim de Sonatrach, Said Sahnoun. Il se fera au large du département de Béjaia, à 250 km à l’est d’Alger, selon un expert du ministère de l’énergie. Les zones offshores susceptibles de contenir des hydrocarbures en Algérie  sont situées entre 2 000 et 2 500 mètres de profondeur, selon des experts du secteur.
Le coût d’exploration d’un seul forage en mer est supérieur là 100 M$ .

Ce contenu semble intéressant : http://www.econostrum.info/Cinq-groupes-petroliers-signent-des-contrats-en-Algerie_a19250.html
Lire la suite http://www.econostrum.info/Cinq-groupes-petroliers-signent-des-contrats-en-Algerie_a19250.html#ixzz3Heue1VKP
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De : <Xarlo@aol.com>
Date : 30 octobre 2014
Objet : la rallonge, c’est pour les remercier du cadeau que le MEDEF accepte de l’État

cadeau avec TVA, en quel sorte…
alors, guillotine ou lance-flamme

Total : pas un centime d’impôt, mais un chèque du fisc de 80 M€

Depuis deux ans, Total n’a pas versé l’impôt sur les sociétés en France. Si l’activité du pétrolier reste déficitaire dans l’Hexagone, il touchera en différé les déductions d’impôt auxquelles il a droit

———- Forwarded message ———-
From: <Xarlo@aol.com>
Date: 2014-10-29
Subject: Ebola… virus, épidémie ou arnaque économique sur l’Afrique?

L’immense arnaque de la pandémie ouest-africaine de « fièvre Ebola »

Par willsummer le 15 octobre 2014

Ebola_virus_1Note de la rédaction: L’auteur de l’article traduit ci-dessous est un citoyen US d’origine ghanéenne, installé au Ghana depuis un certain temps où il est chef d’entreprise (un bar-restaurant). Il a écrit ce texte sur son compte Facebook le 9 octobre dernier. Suite à une prise de contact personnelle, M. Kwame explique qu’il a écrit ce texte depuis les USA, où il est en visite chez sa famille. Ce texte est devenu « viral » sur l’Internet anglophone et nous avons décidé de vous le retranscrire ici.

Par Nana Kwame, le 9 octobre 2014

http://globalepresse.com/2014/10/15/limmense-arnaque-de-la-pandemie-ouest-africaine-de-fievre-ebola/
Date : 28 octobre 2014
Objet : Saoud : Bonnes marocaines à vendre

Le polythéisme saoudien s’est matérialisé avec la destruction du patrimoine culturel de La Mecque et sa transformation en Las Vegas consumériste du désert spirituel trônant au-dessus de la kaaba, le Big ben néocolonial pseudo-britannique et son horloge séculière. Il est logique qu’il se poursuive avec le polythéisme néojahiliyen remettant les hommes et plus encore les femmes nés libres en esclavage.

Tant que le monde musulman tolérera, au niveau politique comme individuel, cette situation, il ne méritera plus de s’appeler musulman. Et il aura droit à subir toutes les oppressions. Al Quds est occupée car La Mecque est occupée car les cœurs et les têtes des musulmans sont occupés. Et donc injustes. B.D

En Arabie saoudite, les « bonnes marocaines sont à céder » sur le Net

le 28. octobre 2014 –

Drapée dans son rigorisme religieux, mais ne s’embarrassant guère de considérations éthiques en matière d’esclavage domestique, l’Arabie saoudite, ce royaume ultra-conservateur qui n’en est pas moins hyperconnecté, est loin d’emmurer derrière ses portes cossues le tabou de l’exploitation de bonnes marocaines, corvéables à merci.

C’est de manière décomplexée et sans état d’âme que les Saoudiens échangent cette main-d’œuvre très prisée, malléable à souhait et à bas coût, sur la grande fenêtre interactive du Net, à travers des annonces publiées sur des sites commerciaux pour le moins déshumanisantes, qui ne changeraient guère que d’un iota s’il s’agissait de vendre une automobile…

Quand les « bonnes marocaines à céder » moyennant finances ont suffisamment été pressurisées et ne cotent plus à l’argus, les encarts incongrus, où l’on cherche vainement  la conformité aux enseignements coraniques, prolifèrent sur la Toile, à l’image de celui posté par un citoyen saoudien qui « cède » sa  « domestique marocaine de 30 ans » pour la somme de 4 000 rials saoudiens (10 000 dirhams), considérant qu’il « n’avait plus besoin de ses services au terme de deux années passées chez lui », mais sans oublier d’en tirer un bon profit.

Passées dans les us et coutumes des meilleures familles saoudiennes, ces annonces fleurissent sans heurter la bien-pensance locale, ni les fins exégètes du Texte, personne ne trouvant rien à redire à ces libellés qui chosifient de pauvres créatures après les avoir réduites en esclavage.

« J’ai une domestique marocaine de 22 ans à céder », écrit un autre internaute aux faux airs de vendeur, en mettant en avant les atouts ou plutôt les options clés qui pourront séduire les acheteurs (sa propreté, sa fiabilité, son expérience auprès des personnes âgées, sa douceur avec les enfants), tout en allant jusqu’à proposer de « tester la marchandise ». Ce langage matérialiste sans fioritures, qui dénie à ces ressortissantes marocaines leur humanité et leur identité de « sœurs en Dieu », s’est tristement banalisé en Terre Sainte, à mesure que ces ventes scandaleuses se sont multipliées, dans le silence assourdissant de la monarchie saoudienne.

Objet : L’équation chiite dans la problématique du jeu des puissances régionales et internationalesÊtre sunnite n’impose pas d’être littéraliste et de se garder de réfléchir. Aussi un sunnite intelligent doit se poser la question dérangeante mais nécessaire pourquoi les chiites posent plus souvent avec plus d’acuité que la plupart des leaders sunnites les questions sociales et économiques, pourquoi ont -ils une compréhension des relations internationales qui fait souvent défaut aux sunnites et pourquoi le développement scientifique et technologique de l’Iran surpasse-t-il celui des autres Etats musulmans ? Sans parler du fait qu’on peut constater que l’Iran et le hezbollah sont aussi plus indépendants des USA que les autres pays musulmans et plus efficaces dans la lutte contre l’entité sioniste. Et que ces deux forces sont capables d’aider en plus sans sectarisme  et efficacement des forces sunnites de résistance, comme le djihad islamique ou les brigades Al Qassam du Hamas à Gaza (peu aidées par les pays sunnites quand elles ne sont pas combattues), alors qu’on ne voit pas de sunnites soutenir avec autant d’ardeur le hezbollah dans ses attaques contre l’entité sioniste et qu’on ne les voit pas non plus soutenir la lutte de la majorité des Bahreini pour les mêmes droits qu’ils soutiennent en principe dans les pays à majorité sunnite. Autrement dit, les Égyptiens auraient le droit à la liberté car ils sont sunnites mais les Bahreini n’y auraient pas droit car ils sont majoritairement chiites, ni les habitants du Hasa saoudien. Le droit à la liberté serait-il divisible ? Est-ce islamique de penser ainsi ?
Bref, tout cela n’implique pas que les pays, mouvements ou sociétés chiites auraient raison sur tout et les sunnites seraient dans l’erreur mais cela impose en revanche de poser la question pourquoi les chiites aujourd’hui ont-ils, en pratique, plus souvent raison sur les questions concrètes que les pays et sociétés sunnites. Que le site sunnite oumma.com ai, ici, eu recours à un journaliste chrétien libanais pour poser ces questions qui dérangent mais sont nécessaires témoigne d’un courage novateur qui, jusqu’à présent, manquait à beaucoup trop de médias sunnites. C’est bon signe plutôt. Après tous les échecs cumulés des dernières années et des derniers siècles, ouvrons nos cerveaux et nos cœurs et essayons de comprendre sans jalousie le pourquoi de ces phénomènes dérangeant, en balayant d’abord devant notre porte. B.D

L’équation chiite dans la problématique du jeu des puissances régionales et internationales

Par René Naba | le 27. octobre 2014

Minoritaire, certes, mais de par son déploiement géographique et démographique, il constitue une minorité stratégique qui explique la focalisation israélo-américaine. Le chiisme contrôle, en effet, par l’Iran la totalité d’une des deux rives du Golfe arabo-persique, la veine jugulaire du système énergétique internationale.

http://oumma.com/214812/lequation-chiite-problematique-jeu-puissances-regiona

A propos de l’auteur

Ancien responsable du monde arabo-musulman au service diplomatique de l’Agence France Presse, ancien conseiller du Directeur Général de RMC/Moyen orient, chargé de l’information, est l’auteur notamment de nombreux ouvrages.

En hommage à Abdel Mohsen Saadoune (1879-1929) ancien Premier ministre d’Irak sous la monarchie, durant la période du mandat britannique, qui se suicidera après avoir ratifié, sur ordre du roi, le traité anglo-irakien, qu’il jugeait contraire aux intérêts de son pays. « Saadoune street », l’artère populeuse et commerçante de Bagdad, a été baptisée de son nom en hommage à son patriotisme. 

« Les religieux chiites reçoivent une éducation beaucoup plus rigoureuse que les clercs sunnites. Ils ont une solide formation dans les sciences théologiques. Ils apprennent la logique aristotélicienne avant le Coran…. La théologie est beaucoup plus vivante dans la communauté chiite.… Les chiites sont plus théologiques, les sunnites sont légalistes. Et les chiites ont leur « histoire de passion » avec Hussein et Ali. C’est une invitation à réfléchir sur la nécessité de la justice », soutient un universitaire sunnite palestinien, Cheikh Tarif Al Khalidi (universitaire palestinien sunnite).

Une nouvelle coalition internationale a été mise sur pied pour mener une nouvelle « guerre contre le terrorisme » en Syrie et en Irak, les anciens fiefs des régimes laïcs bassistes, contre les anciens pupilles du bloc atlantiste et de son relais régional, le syndicat des pétro-monarchies du Golfe. Cette coalition, mise sur pied le 11 septembre 2014, à la date anniversaire des raids djihadistes contre le symboles de l’hyperpuissance américaine est la 4ème du genre en trois décennies. Elle pose, de manière sous jacente, le problème des relations conflictuelles entre l’alliance islamo-atlantiste et les chiites, le segment minoritaire de l’Islam.

La première armada occidentale s’est déployée au Liban, en 1982, pour superviser le dégagement de l’OLP. La deuxième s’est constituée face à l’Irak, en 1990, à la suite de l’invasion irakienne du Koweït. La troisième, toujours contre l’Irak, en 2003, dommage collatéral des raids du 11 septembre 2001. La quatrième coalition, enfin, dix ans plus tard, en 2014, pour une nouvelle guerre contre les excroissances djihadistes de l’alliance entre le bloc Atlantique et les pétro-monarchies sunnites. 

La thématique du martyr et le postulat  inhérent de la « défense des opprimés » 

Une analyse sommaire tendrait à attribuer au martyr d’Hussein la dynamique sinon vindicative, à tout le moins revendicative, en tout cas contestataire, du chiisme. Au-delà de cette approche rudimentaire, l’assassinat du petit-fils du prophète constitue un sacrilège absolu à nul autre pareil dans toute autre religion monothéiste. Au-delà aussi de sa faculté mobilisatrice, le « martyr d’Hussein » demeure l’acte fondateur d’un schisme porteur d’une dynamique centripète du monde musulman, dont les conséquences se répercutent encore de nos jours.

Plutôt que de s’appliquer à purger ce passif par son dépassement, la guerre des religions est entretenue, au mépris des enseignements des guerres de religion de l’Europe médiévale (Catholiques/protestants en France et en Irlande, Catholiques/Orthodoxes en Orient) pour des raisons de pérennité idéologique et de survie dynastique.

Les prescriptions coraniques enjoignant l’unité des croyants sont nombreuses : « Cramponnez vous à la corde de Dieu et ne vous dispersez pas »/ « Ne distinguez pas entre un Perse et un Arabe que par la piété ». Elles paraissent de peu de poids face aux conflits de puissance. Depuis la fondation de l’Islam, quatre califats se sont succédés à la tête du monde musulman : califat Omeyyade de Damas (exilé à Cordoue) ; califat Abbasside de Bagdad ; califat Fatimide du Caire, chiite, est il besoin de le rappeler, comme l’Université Al Azhar l’est aussi; enfin, califat Ottoman. Durant les trois premiers siècles de la conquête (VII au X ème), 39 califes se sont succédés à la direction du monde musulman. Quatre Rachidoun, 14 omeyyades et 21 abbassides ont gouverné durant 308 ans, soit une durée moyenne de règne de 7,9 ans. Treize des 39 califes ont péri de mort violente. C’est dire l’âpreté de la lutte.

La défense des opprimés ne relève toutefois pas exclusivement de l’imaginaire chiite, mais d’un vécu bien réel. Ainsi le statut de minoritaire du chiite tant dans le monde arabe que dans le monde musulman est un fait prégnant des rapports entre gouvernants et gouvernés. Un fait indubitable sous tendant un vecteur revendicatif, non du fait de l’imaginaire chiite que des analystes en mal de formule choc attribuent à sa nature tourmentée, mais généré par une situation de sujétion, qu’il importe de prendre en considération dans tout développement de la notion de « défense des opprimés ». Les chiites ont ainsi été la communauté la plus méprisée et la plus maltraitée au Liban. Longtemps désignés du terme « Moutawlé », ils étaient les véritables « déshérités » du Liban tant au niveau des investissements des pouvoirs publics sur le plan des infrastructures des zones chiites, que dans leur positionnement au sein de la fonction publique étatique libanaise.

À la décharge des autres communautés libanaises, il conviendrait d’admettre que ce fait était partiellement imputable au leadership chiite féodal et narcotrafiquant, de surcroît discrédité par ses alliances contre nature avec les milices chrétiennes durant la guerre civile libanaise, le clan Sabri Hamadé-Kamel Al-Assad, lequel monopolisera le pouvoir chiite dans le quart de siècle qui a suivi l’indépendance, que le Hezbollah dégagera de la scène à son avènement, dans la décennie 1980.

Dans le monde arabe, quand bien même les chiites étaient majoritaires en Irak et au Bahreïn, le pouvoir a été détenu par les sunnites en ce que le pouvoir colonial britannique a préféré confier le pouvoir au courant majoritaire de l’Islam, en contradiction avec les règles de la démocratie démographique. En Irak, par la dynastie hachémite (Faysal II), puis le Baas avec Saddam Hussein. A Bahreïn, par la dynastie Al Khalifa. Les chiites ont pris le pouvoir à Bagdad, non de leur fait, mais par effet d’aubaine de l’invasion américaine de l’Irak qui a sapé les fondements sunnites du pouvoir Baasiste. En Arabie saoudite, ils ne sont pas considérés comme des citoyens de plein droit et de plein exercice. Leur accès aux grades supérieurs de l’armée, de même qu’au sein de la très haute administration et aux postes de direction des grands services publics leur est refusé. Un fait discriminatoire, contraire à la fonction universelle du Royaume, terre de la prophétie musulmane. 

Le positionnement géostratégique du déploiement démographique chiite 

Le chiisme dans le monde 

Les chiites représentent près de 15% de l’ensemble de la population musulmane, soit près de 200 millions de personnes, soit presque autant que la seule Indonésie, répartis dans quatorze pays, dont quatre où ses adeptes sont majoritaires : Iran (90% religion d’État), Azerbaïdjan (85%), Irak (64%), Bahreïn (75%) et dix pays dans lesquels les chiites sont minoritaires : Yémen (45%), Turquie (20%), Syrie (15%), Koweït (20%), Émirats Arabes Unis (13%), Afghanistan (20%), Qatar (5%), Égypte (1%), Arabie saoudite (5%), Pakistan (20%).

Minoritaire, certes, mais de par son déploiement géographique et démographique, il constitue une minorité stratégique qui explique la focalisation israélo-américaine. Le chiisme contrôle, en effet, par l’Iran la totalité d’une des deux rives du Golfe arabo-persique, la veine jugulaire du système énergétique internationale. De par son déploiement démographique, la branche rivale du sunnisme est présente dans toutes les zones pétrolifères du Moyen orient : Dans la région orientale du Royaume saoudien (Dhahran), dans le sud de l’Irak (Bassora) et le Nord du Koweït. Dernier et non le moindre des éléments : les chiites sont en outre massivement déployés au Sud Liban, l’ultime zone de confrontation avec Israël, avec l’enclave palestinienne de Gaza, ainsi qu’en Afrique occidentale.

 Son déploiement géostratégique sous l’effet du pouvoir colonial

La politique ségrégationniste de la France coloniale affectant à l’Afrique le trop plein chiite du Liban pour favoriser un duumvirat maronite sunnite sur le Liban a donné de surcroît du relief à cette communauté et une profondeur stratégique, au-delà des océans, au-delà de toute attente. En un curieux retournement de situation, le fief chiite constitué en Afrique, dans le pré carré français, ne résulte pas, là aussi, d’une décision souveraine d’une communauté encore moins d’un état dans une politique de grignotage, mais de l’effet conjugué d’un machiavélisme colonial et de contraintes économiques d’une population déshéritée, en déshérence à l’époque. À cela s’ajoute la politique de dépeuplement de la région frontalière israélo-libanaise pratiquée par Israël par le pilonnage quasi quotidien du secteur en vue d’en faire un no-man’s land stratégique. Enfin le glacis pétro-monarchique.

Au-delà des clichés éculés et des effets de propagande, un fait demeure, incontestable. Si les pétro-monarchies ont été une source d’enrichissement de leurs coreligionnaires sunnites arabes, particulièrement la confrérie des Frères musulmans, l’Afrique et dans un degré moindre l’Amérique latine, auront été celle des chiites, une communauté généralement perçue par l’opinion occidentale comme hostile aux intérêts du camp atlantiste, contrairement aux sunnites, en dépit des coups de butoir répétitifs d’Al Qaida. Observée sinon avec condescendance à tout le moins avec une bienveillance paternaliste du temps où le Chah d’Iran présidait aux destinées de l’Iran, elle sera perçue avec suspicion sous le régime de la République Islamique.

Le passage de l’immigré libanais en Afrique du statut de supplétif des rouages du pouvoir colonial à celui de concurrent des entreprises occidentales dans l’Afrique post-indépendance, l’établissement de surcroît d’un partenariat entre les Libanais chiites avec les élites nationales africaines, notamment par le financement des campagnes électorales des décideurs politiques va exacerber les antagonismes sociaux, particulièrement à l’égard des chiites, d’autant plus vivement qu’ils sous-tendent des objectifs économiques. L’assassinat de Laurent Désiré Kabila, en janvier 2001, passe ainsi pour avoir été financé par des libanais furieux que le président congolais ait confié à la société israélienne IDI, le monopole de l’achat des diamants.

Par effet d’aubaine des erreurs de la stratégie israélo-occidentale, la militarisation des chiites libanais dans la foulée de la liquidation de leur chef charismatique, l’Imam Moussa Sadr, en 1978, en Libye, et du démantèlement du sanctuaire de l’OLP au Liban (1982), feront de cette communauté, jadis la plus méprisée du Liban, par l’effet magique de ses exploits guerriers contre Israël (2000, 2006), l’équation incontournable du Moyen-Orient. Sa nouvelle puissance économique sera alors perçue comme une source nuisance, une évolution amplifiée par l’exacerbation des antagonismes interconfessionnels au Moyen-Orient, sur fond de bras de fer entre l’Iran et les Occidentaux à propos du nucléaire iranien et de guerre régionale sunnites chiites attisée par la dynastie wahhabite.

Sa mutation sociologique modifiera la perception de son rôle, selon le processus classique de « la fabrication de l’ennemi ».  Le basculement de l’Iran, l’ancien super gendarme américain dans le Golfe, dans le camp hostile au camp atlantiste sous l’égide de l’Imam Ruhollah Khomeiny (1979) et son rapprochement stratégique avec les pays latino-américains, contestataires de l’ordre américain (Cuba, Venezuela, Bolivie, Brésil, Chili) a achevé de criminaliser tant l’Iran que le Hezbollah que les Chiites d’une manière potentielle. La diaspora libanaise, atout pour le Liban, devient un traquenard tant pour les libanais que pour le pays d’origine. Les pays d’accueil, principalement l’Afrique et l’Amérique latine, deviennent le terrain privilégié de la guerre souterraine planétaire entre Israël et le Hezbollah. Les exemples abondent d’articles de la presse locale et internationale mentionnant « Le trésor des Libanais-Africains », son « opacité du fait de la déliquescence de l’administration fiscale nationale, de la fluidité du système bancaire et des innombrables tuyaux du circuit de blanchiment de l’ancienne « Suisse du Moyen-Orient »». 

L’imaginaire et son carburant 

L’imaginaire se nourrit des privations et des frustrations. Dans le cas d’espèce, l’agresseur à l’époque contemporaine a été le sunnite. Les années 1978 1979 constituent à cet égard des années charnières.
1978 – La première fois, au Liban, avec l’assassinat de l’Imam Moussa Sadr, chef spirituel de la communauté chiite libanaise et artisan de son redressement, par le Colonel Mouammar Kadhafi de Libye en 1978, en pleine guerre civile libanaise alors que les chiites constituaient le gros des troupes de la coalition palestino progressiste. Pur acte gratuit s’il en est. Auparavant, il n’existait pas uns spécificité politique chiite propre. Les chiites constituaient le gros des troupes des Baasistes, des communistes ou des Nassériens.
1979 – La deuxième fois, un an après, en Irak : avec la guerre lancée par Saddam Hussein contre l’Iran Khomeiniste alors que l’irakien avait hébergé l’Ayatollah Ruhollah Khomeiny pendant quinze ans dans le sanctuaire chiite de Nadjaf.

Saddam Hussein y perdra ainsi le bénéfice de l’hospitalité accordée au guide de la révolution islamique, le tombeur de son ennemi déclaré, le chah d’Iran. Une guerre anti iranienne doublée, de surcroît, de l’assassinat des deux grands chefs religieux chiites de la famille Baqr al Hakim, dont Mouqtada Sadr en est l’héritier spirituel et politique, frappé de ce fait d’un double sceau de légitimité : La légitimité du martyrologe et la légitimité politique tirée de son opposition à un tyran (Saddam), en même temps qu’aux envahisseurs de son pays (les États Unis).

Rétrospectivement, il n’est pas indifférent de noter que tant Mouammar Al-Kadhafi que Saddam Hussein ont été éliminés par des interventions du camp atlantiste. Au vu de cette double et tragique expérience, il est à espérer que les dirigeants arabes intégreront dans leur schéma mental qu’un certificat de bonne conduite américaine ne vaut jamais garantie de survie et que la sécurité du monde arabe n’est pas réductible à la sécurité du ravitaillement énergétique des États-Unis, encore moins à la sanctuarisation d’Israël.  

L’élimination subliminale de la dynastie chiite des Bhutto au Pakistan 

Le panorama serait moins incomplet avec la mention de l’élimination subliminale au Pakistan de la dynastie politique chiite des Bhutto, Zulficar Ali Bhutto et sa fille Benazir, deux des rares civils à avoir dirigé le gouvernement de l’unique puissance nucléaire d’un pays musulman qui plus est sunnite ; un pays qui fut par ailleurs le refuge d’Oussama Ben Laden, le fondateur d’Al Qaida. Deux farouches nationalistes certes, mais des chiites. Circonstance aggravante pour Zulficar, le fait d’avoir épousé une iranienne, la Béguin Nusrat, et pour Benazir, d’avoir eu pour interface Peter Galbraith, le sous-traitant pour l’Asie de la CIA, le concepteur de la théorie du « combat des chiens » (la théorie de la dissension sociale) et fils de l’économiste James Kenneth Galbraith, insupportables tares pour ce fief du wahhabisme en Asie.

Sous couvert de lutte entre civils et militaires, de lutte contre la corruption et pour l’avènement de la démocratie, il était en effet difficile à un pays gagné par le rigorisme religieux de tolérer la présence d’un chiite à la tête de l’unique puissance militaire nucléaire musulmane, en charge pendant trois décennies de la protection de l’espace aérien saoudien. Un risque intolérable en ce qu’il portait également sur la fiabilité de la coopération souterraine nucléaire entre le Pakistan et les pays musulmans sunnites (Arabie Saoudite, Égypte, Libye)

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