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26 avril 2024

Pseudo-pacifistes parisiens pour pseudo-réfugiés syriens


Pseudo-pacifistes parisiens pour pseudo-réfugiés syriens

Par les Pacifistes de la Tunisie

05/10/2015

Nous disions que cela sentait mauvais depuis le début…

Et nous disons encore des choses ici (cracher dans la soupe) qui, nous l’espérons, ne choqueront ici personne.

« ZAMAN FRANCE » (le journal de l’article repris par GILLES MUNIER) est, ce n’est pas un hasard, un organe turc, gouvernemental très probablement (à vérifier). Il n’est donc pas étonnant d’y trouver les habituelles pleurnicheries typiques des organisations musulmanes et ist-islamistes (ist-islam = soumission au Capital, le rival d’Allah).

Comme les Indigènes de la Républiques (PIR), TARIQ RAMADAN et Cie, elles ont toutes hurlé avec les loups de l’OTAN contre la Jamahiriya Libyenne et, maintenant, dans une moindre mesure contre la Syrie. La raison de cette légère « évolution » ne tient pas à une soudaine lueur divine de la Basira (clairvoyance) de Dieu-Allah  mais parce que leurs maîtres ont laissé comprendre que « refaire le coup » de l’OTAN en Syrie, ce n’était pas possible.  Le méchant dictateur est donc encore en place…

Ces organisations, qui prétendent agir par pacifisme (en rappelant que Islam=Paix…) continuent cependant à parler de « révolution en marche ». Ces béni Oui-Oui du Système en place, sont des Ni-Ni (« La-La » en arabe: ni avec l’OTAN ni avec le-tyran syrien). Elles croient être « avec-le-peuple-syrien ».

Alors, en voyant débarquer ces marionnettes jetables de pseudo-réfugiés que leur ont créées leurs maitres (tout comme ils l’ont fait avec DA’SH, la lessive impérialiste, également jetable mais non biodégradable dans l’ethos musulman), ces organisations ont sorti leur slogan de « Taazur » (« Solidarité ») avec leurs « frères » et « sœurs » de religion. Misère de l’ist-islamisme.

L’article mentionne ainsi l’inévitable organisation « UNE CHORBA POUR TOUS » (traduisons ici, pour les non-arabophones et pour illustrer au passage le communautarisme flagrant en vigueur): « Une soupe pour tous ».

Leur « solidarité », c’est de fermer les yeux sur les responsables de toutes ces guerres et déplacements de populations et surtout d’éviter de dégager les causes réelles et  désigner les responsables. Cela, le pacifiste MUAMMAR AL-GADDAFI l’a tôt remarqué lui-même, dans des congrès généraux du peuple et au Congrès Général (organes de la démocratie directe en vigueur): le Capital et l’impérialisme qui poussent en permanence des millions de familles, soit à imploser, soit à quitter leur vie quotidienne pour aller, par exemple,… « vider les poubelles à Paris », comme disait une chanson intelligente à l’époque.

Or, un pacifisme conséquent passe par la défense militaire et inconditionnelle de la République Arabe Syrienne, attaquée par les mêmes Etats prédateurs qui ont détruit la Jamahiriya Libyenne. Cela, la Russie l’illustre bien et l’organisation « CHORBA POUR TOUS » serait bien étonnée d’apprendre que des cuisinières russes préparent, dans des marmites géantes, sur une base militaire près de Lattaquié (nord de la Syrie), une « Soupe pour tous [les militaires russes] » (voir reportage de Russia Today – canal arabique).

Evidemment, les pseudo-réfugiés manipulés mais affamés quand même ne vont pas cracher dans la soupe de l’organisation ist-islamiste parisienne.

Par contre, nous, qui ne sommes ni manipulés ni affamés, crachons volontiers dans leur soupe. Et si elle est brûlante, comme certain breuvages dans le Coran, alors nous prions Dieu-Allah l’Unique pour que, dans l’application de Sa justice, ils les punissent en la leur reversant sur leurs têtes…

Au diable « la-lutte-contre-l' »islamophobie » (des Pédants Indigents de la République (PIR), de celle, académ-ist-islamiste de TARIQ RAMADAN, à celle « Chorba pour tous », etc.) et toutes leurs Oumma point com ou sans comm’). Un tel activisme n’est que le pendant, l’alibi, la caricature, du Grand Bluff de la « lutte-contre-l’antisémitisme »…

Par Les Pacifistes de Tunis

Image: Les Syriens nous montrent qu’ils ont le sens de l’humour, même en temps de guerre. Dans ce feuilleton dont de nombreuses scènes se passent dans les points de contrôle de l’armée syrienne, les soldats syriens ont arrêté des révolutionnaires de « l’opposition » « modérée » (d’ailleurs très proprement habillés, comme les faux-réfugiés) et vont les soumettre à une « torture » terrible).

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