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25 avril 2024

[« MALGRE TOUT » UN DICTATEUR !] L’ancien Premier ministre italien Berlusconi à propos de Important


[« MALGRE TOUT » UN DICTATEUR !] L’ancien Premier ministre italien Berlusconi à propos de Important

Malgré tout un dictateur !

Quelles foutaises et mensonges !

Par exemple,  » Berlusconi rapporte que le leader libyen était affolé à l’idée de terminer comme Saddam Hussein ». Lors d’un sommet de la Ligue Arabe, GADDAFI a interpelé tous les dirigeants en leur demandant comment ils pouvaient accepter l’assassinat du président irakien, qui plus est le jour de la fête nationale dans tous leurs pays. Humiliation suprême.

GADDAFI les avertit que leur tour viendrait. Il n’a jamais eu peur de la mort.

Dans ses derniers discours radiodiffusés depuis la clandestinité, et pour le peu de gens qui les connaissent, on ne détecte pas la moindre peur de la mort par l’OTAN qui « peut continuer  à rester dans l’air » (dix: GADDAFI). Au lieu, comme tout dictateur digne de ce nom, de nommer l’un de ses fils ou parents à sa place, il nomma le peuple en l’invitant à défendre ses acquis de démocratie participative, directe et populaire, infatigablement, jusqu’au bout.

Voilà la réalité de la Dictature du Peuple, résistant pendant 7 mois aux bombardements par une Croisade de l’OTAN formée des armées et du Renseignement de 48 Etats.

Berlusconi est un bouffon. Evidemment, ce sont des « révélations », de l’histoire officielle, vendue aux masses décervelées. Tout y est avec l’inévitable conclusion (au cas, où à force de révélations, les masses commenceraient à croire le contraire): « c’était bien un dictateur ». Berlusconi peut-il nous expliquer pourquoi le système des 6000 congrès populaires à travers tout le pays était une dictature? Evidemment non, il n’y a jamais mis les pieds.

ALAN FRIEDMAN du Financial Times lui demande avec insistance (parce que les révélations de l’Italien sont trop, « a posteriori » en faveur de GADDAFI): « Oui, mais vous conviendrez que c’était quand même bien un dictateur ? » Dans les écoles de journalisme et en ethnologie, on appelle ça une « question orientée », dont on connaît l’efficacité du biais sur les résultats et leur exploitation.

S’agissant de l’Algérie, on oublie souvent que GADDAFI a réussi un exploit diplomatique et historique que l’Algérie, n’a toujours pu réaliser avec la France: des excuses officielles et des réparations financières (troquée en partie par l’autoroute à construire aux frais des Italiens qui est évoquée dans l’article) pour sa colonisation.

Par Les Pacifistes de Tunis (écrits sur le vif)

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