‘QUAI DES BRUMES’ OU ‘FACHOSPHERE D’INFLUENCE’ ? LUC MICHEL REPOND A LIBERATION !
27 octobre 2016
CAMPAGNE DE ‘LUCMICHELBASHING’ A PROPOS DU
- BURUNDI ET DE LA RDC (7) : ‘QUAI DES BRUMES’ OU ‘FACHOSPHERED’INFLUENCE’ ? LUC MICHEL REPOND A LIBERATION !PCN-SPO/ 2016 10 26/« The PCN is not a far-right organisation »– ANTISEMITISM WORLD REPORT 1993(Institute of Jewish Studies, Jerusalem).Celui que ses fans africain appellent “le rhinocéros de la géopolitique mondiale” fonce droitdevant sur les plumitifs de Libération. Explication de cette charge…Le 2 août, Luc MICHEL est en tournée politique au Canada, en compagnie du conseiller encommunication du président du Burundi, Willy Nyamitwe, soulevant une campagne contre laConférence à laquelle nous participions à Québec, non seulement dans la presse canadienne,burundaise d’opposition (groupusculaire) et européenne. Mais aussi au niveau de plusieursgouvernements de l’OTAN, Canada, France, etc. paniqués de l’organisation dans unemétropole atlantiste d’une conférence pro Bujumbura qui a mobilisé les burundais derrièreleur président. Le Quai d’Orsay, en pointe contre Bujumbura et Kinshasa, lâche ses chiens.C’est alors que l’article de Libé est judicieusement publié pour appuyer ces attaques. Et quedes diplomates africains sont approchés et mis en garde !Derrière cet article il y a aussi deux hommes.Le premier, Pierre Benetti, se trouvait au Burundi en même temps que Luc MICHEL, faisantle siège du Président Nkurunziza pour obtenir une interview, refusée. Interview qui a étéaccordée à Luc MICHEL, outre une audience publique et médiatisée (la seule interview duPrésident depuis le printemps 2015). On comprend son dépit…Le second, Dominique Albertini (comme une certaine Françafrique, on trouve aussi les corseschez Libé), joue au journaliste sérieux, non politisé : « Il tranche par le sérieux de sesanalyses et son travail, bien loin des militants qui se cachent derrière une « expertise » parfoistrès orientée politiquement. Albertini appartient à cette nouvelle génération de journaliste encharge de l’extrême droite bien plus « propre sur elle » que l’ancienne, sans parcours politiqueclivé ou engagement criant. » Fausse impression en tout cas en ce qui concerne son articlecontre Luc MICHEL, malhonnête, injurieux, 200% à charge. Albertini, comme toute lamouvance antifa alimentaire franco-belge, liée aux appareils d’état de l’OTAN, vit du FN.Livres, passages radio-TV, soutien médiatiques, carrière. D’autres y trouvent subventions etpetits arrangements « entre amis ».Moi j’ai brisé les reins au FN belge, mon but est ladisparition définitive de ces gens. Et mon succès dans la Belgique des Années 1991-96 estunique. Là aussi le dépit (visible chez les clones belges d’Albertini) est une des explication dela haine et du « Michel Bashin…Au début on hausse les épaules devant les médiamensonges des petits Goebbels des médiasde l’OTAN style Libé. Et puis on voit la méthode : quelques jours après apparait une nouvelleversion de ma « fausse bio » sur Wikipedia, où Libé sert de référencer. Son article étant lui-
- même sourcé sur wikipedia, on appelle çà un cercle vicieux. Répondre devient alors un gested’hygièneAvant de laisser la parole à Luc MICHEL, on notera encore l’incohérence de la méthode deLibé : deux grandes pages couleur pour un homme présenté comme « sans influence » … Quien Afrique a l’oreille de plusieurs présidents et est un grand succès médiatique …KH / PCN-SPO# DROIT DE REPONSE DE LUC MICHEL, PRESIDENT DU PCN ET PRESIDENT DEPANAFRICOM, ADRESSE A ‘LIBERATION’ (PARIS)Mise en cause par le journal LIBERATION dans un article intitulé « Fachosphèred’influence », publié le 02 août 2016, et également publié sur votre Site, Luc MICHEL,président du PCN et président de PANAFRICOM, tient à apporter les rectifications etprécisions suivantes :« QUAI DES BRUMES »Puisque vous aimez les titres à clefs, je vous suggère plutôt que « Fachosphère d’influence »d’intituler cet article « Quai des Brumes ». Ce qui aurait le mérite de préciser lescommanditaires et le but de cette charge violente, qui vise à jeter un écran de fumée sur mavie et ma véritable action. Vous noterez que postérieurement à votre article, l’un des auteurs apublié un livre qui s’intitule précisément « La Fachosphère » et, bien qu’il cite à plusieursreprises non seulement des Français mais des Belges dans celui-ci, je n’y suis pas mentionnéet pour cause, je n’appartiens absolument pas à cette soi-disant « fachosphère » et n’y ai aucuncontact.Vous parlez à un moment donné de « flou », mais la seule chose qui est floue dans votrearticle, c’est votre déontologie. Il faut souligner le moment choisi pour la publication de cetarticle. Puisque c’est précisément au moment où ma visite au Canada, en compagnie duconseiller en communication du président du Burundi, Willy Nyamitwe, soulevait unecampagne contre la Conférence à laquelle nous participions à Québec, non seulement dans lapresse canadienne, burundaise et européenne, mais aussi au niveau de plusieursgouvernements de l’OTAN (paniqués de l’organisation dans une métropole atlantiste d’uneconférence pro Bujumbura), que votre article était judicieusement publié pour appuyer cesattaques.Il faut enfin voir dans l’aigreur de votre article celle d’un de ses auteurs, Pierre Benetti qui setrouvait au Burundi en même temps que moi, faisant le siège du Président Nkurunziza pourobtenir une interview, refusée. Interview qui m’a été accordée (la seule du Président depuis leprintemps 2015) …DIABOLISATIONL’article ne cherche absolument pas à faire mon portrait, mais vise à me nuire. Il utilise unesérie de termes insultants qui révèlent votre volonté de nuisance : « personnage baroque »,« fêlé », « mégalomaniaque », « s’étant fait des ennemis partout », « un peu fou », etc …Termes insultants provenant tous d’adversaires politiques ou médiatiques.
- Vous mettez en outre en doute ma probité, laissant entendre que j’aurais été « arrosé par laLibye » (sic) et encore que les motivations de mon appui au Burundi seraient « vénales »(resic). Je vous mets au défi, et dans la ligne stricte des jurisprudences belges et françaises enmatière de diffamation, d’apporter la moindre preuve de ce que vous avancez fort légèrement,le moindre document. Je n’ai pas l’avidité de la gauche-caviar pour le fric-roi, qui vousobsède !LE BAL DES FAUX TEMOINS ET LA CHARGE DE MES ENNEMIS POLITIQUESPour mener ces attaques en dessous de la ceinture, vous utilisez une collection effarante defaux témoins, anonymes, sans doute inventés pour la plupart : « un homme ayant fréquenté lamouvance nationale révolutionnaire », « un ex-membre du PCN », « un ancien de lamouvance PCN », « une source proche du CNDD-FDD », « plusieurs observateurs » … Cettecollection de témoignages ne reposant pas sur un seul document ou autre élément sérieux, esten outre appuyée par les témoignages de journalistes qui figurent non pas parmi ceux qui ontsuivi sérieusement mon long parcours mais par des adversaires politiques.* Le premier est Manuel Abramowitz, qui a écrit tout et son contraire sur moi et le PCNdepuis de nombreuses années, mais ne m’a pas rencontré depuis quinze ans, réussissant aumoment du Référendum de Crimée à émettre deux opinions rigoureusement opposées sur moile même jour, dans un journal flamand et dans un journal tchèque. M. Abramowitz est unmilitant sioniste (il a été notamment candidat du parti israélien MAPAM) alors que moi j’aicommencé ma carrière politique dans la mouvance pro-Palestinienne en 1972 et que je resteun partisan résolu de la juste cause des Palestiniens. Abramowitz a longtemps été employé parle « Centre pour l’Egalité des Chances », un organisme belge dépendant directement desservices du Premier Ministre belge alors que moi je suis partisan de la disparition du non-étatbelgicain (Je suis ce que l’on appelle un « rattachiste », partisan du retour de Bruxelles et de laWallonie à la France). Abramowicz loin d’être un journaliste sérieux a notamment étécondamné au pénal par les juridictions belges (61eChambre correctionnelle du Tribunal deBruxelles, 20 mai 2014) pour des méthodes non-compatibles et inacceptables dans le cadre dela déontologie journalistique.* A la fin de votre article, vous donnez cette fois la parole à un journaliste Burundais InnocentMuhozi, qui fait partie de ces Burundais qui ce sont réfugiés et sont protégés par le régime deKagamé, et qui combattent à côté du principal ennemi de leur pays. Ceci dit ce que vaut cettecaution à votre article.VENONS-EN A LA QUIRIELLE D’ASSERTIONS INEXACTESME CONCERNANT DANS VOTRE ARTICLE :Je ne suis pas un « militant néonazi » et n’ai jamais appartenu, ni comme dirigeant, ni commecadre ou membre, à l’organisation française mentionnée abusivement par Wikipedia. Ma soi-disant « biographie » sur Wikipedia (et ses clones d’extrême-droite), qui a été rédigée pour menuire et me déconsidérer par mes adversaires politiques, liés aux polices politiques del’OTAN, comporte des éléments inexacts et, mensonge par omission, dissimule une grandepartie de mon parcours politique réel. Je vous met aussi au défi de produire un seul de mesnombreux écrits (j’ai publié plus de 16.000 éditoriaux depuis 1983) qui soit en faveur duNazisme.Les faits dissimulés par Wikipedia sont les suivants :
- * Le PCN n’est pas un « parti d’extrême-droite » et encore moins « néonazi ». Accusationinsultante proférée par nos adversaires politiques, en particulier au sein de l’appareil d’étatbelge. Les observateurs sérieux le constatent tous.Par exemple, le COURRIER HEBDOMADAIRE DU CRISP (n° 1598-1599. 1998), revuescientifique belge de sciences politiques – la référence en Belgique nous a-t-on dit à l’ULB –écrivait sur le PCN en 1999 ce qui suit : « Le programme et les actions du PCN sont enopposition avec les thèses racistes des formations d’extrême droite classiques. Ce parti serevendique du « Communautarisme européen » et est constitué, selon un document interne, de 7tendances politiques (nationale-boIchévique, léniniste européenne, syndicalisterévolutionnaire, nationale-révolutionnaire, vert radicale, socialiste radicale et démocrateeuropéenne) ».François Heinderyckx professeur à L’INSTITUT DES SCIENCES POLITIQUES deL’UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES, classait le PCN à l’occasion des électionseuropéennes de 1999 et sur base de son programme parmi la « gauche révolutionnaire »(Dossier spécial Elections 1999, analyse des campagnes, consulté sur le site internetd’INFONIE, Belgique).A noter aussi que L’ANTISEMITISM WORLD REPORT 1993, publié à Jérusalem parl’Institute of Jewish Studies, dans son édition anglaise, si il reproche au PCN sonantisionisme, précise que « The PCN is not a far-right organisation ».* Je dirige depuis plus de 20 ans le COLLECTIF ANTINAZI « EUROPÄISCHERWIDERSTAND » (en référence à la Résistance allemande antinazie), qui combat précisémentle néonazisme et le racisme. J’ai été l’adversaire principal du Front National en Belgique, àqui j’ai brisé les reins en 1994-96 par mes actions politiques et judiciaires victorieuses devantles tribunaux belges. Je combat aussi le FN des Le Pen. En 1998, à l’élection partielle deToulon (France) en avril 1998, nous présentions une liste intitulée : « PCN. LES JEUNESCONTRE LE PEN ET POUR L’INTERDICTION DU FN ».Notre Collectif a aussi combattu dans les pays baltes et en Moldavie pour le respect des droitsdes minorités ethniques, russophones notamment. Et contre la réhabilitation du nazisme parles états révisionnistes baltes et ukrainien.Je n’ai aucune leçon d’antifascisme à recevoir de qui que ce soit !PANAFRICANISMEVous signalez que je fais du président du Burundi Nkurunziza un panafricaniste.Effectivement, je lui ai conseillé de s’affirmer dans cette mouvance. Il est aujourd’hui, depuisquelques jours, l’un des hommes les plus populaires parmi la mouvance panafricaniste et ausside nombreux africains pour avoir initié le départ de la CPI des pays africains – le Burundiayant été rejoint par l’Afrique du Sud et par l’Ouganda – c’est là l’une des causes principalesdu Néopanafricanisme aujourd’hui.Vous signalez que l’opposition burundaise m’accuserait « d’être un néo-nazi ». Vous noterezque le journal IWACU, qui est le principal organe de cette opposition et se présente comme« le dernier media d’opposition au Burundi », a non seulement publié deux de mes droits deréponse concernant ce sujet mais a purement et simplement retiré ses articles m’accusant deson site internet. Cela suffit à démontrer ce que valent ces affirmations.JAMAHIRIYAH LIBYENNE