L’Union des étudiants juifs de France, qui a pour avocat Me Stéphane Lilti, a assigné (convoqué) devant le juge des référés du TGI de Paris, le valeureux Dieudonné pour :
- Le faire condamner à payer à l’Union des étudiants juifs de France, une somme de 100 000 euros, pour faire des travaux au mémorial de la shoah de Paris ;
- Transmettre à l’Union des étudiants juifs de France, le texte de son prochain spectacle ;
- Obtenir la suppression de la vidéo, qui constitue un droit de réponse à Carlos Manuel Valls.
Par décision du 18 juin 2014, le valeureux juge des référés Alain Bourla a débouté l’association Union des étudiants juifs de France de toutes leurs demandes, et ce n’est que justice.
Dans cette affaire, le valeureux Dieudonné a été remarquablement défendu par le meilleur avocat français, Me François Danglehant, qui est inscrit au barreau de la Seine-Saint-Denis.
L’Union des étudiants juifs de France estimait que la réponse du valeureux Dieudonné à Carlos Manuel Valls constituait une incitation à la haine contre « les juifs de France ».
Le valeureux juge des référés Alain Bourla a rejeté cette demande, sous une motivation logique et de grande qualité :
Les propos en cause visant principalement à stigmatiser et jeter le discrédit sur Manuel Carlos Valls, et à dénoncer le statut privilégié que le ministre de l’Intérieur (devenu Premier ministre) reconnaît aux juifs de France, au détriment des laissés pour compte de l’arrière-garde, auquel le Premier ministre a déclaré la guerre officiellement…
Le valeureux juge des référés Alain BOURLA a donc parfaitement analysé le discours de Carlos Manuel Valls, un discours qui vise à faire une discrimination entre les « juifs de France » et les autres, c’est à dire « les non-juifs de France », comprendre le reste de la population.
En fait, c’est le discours prononcé par Carlos Manuel Valls qui incite à la haine, en stigmatisant, c’est à dire en opposant, les « Juifs de France » et les non-juifs de France. Une distinction de cette nature est intolérable et s’inscrit dans une ambiance raciste.
On rappellera que Carlos Manuel Valls a été naturalisé français en 1982, et que dès lors, en qualité de citoyen français, il n’avait pas le droit d’inciter à la haine et à la discrimination.
On rappellera encore que la nationalité française peut être retirée à toute personne ayant été naturalisée française et qui ne respecte pas nos règles et nos lois.
C’est pourquoi une majorité de citoyens demande que Carlos Manuel Valls soit déchu de la nationalité française et encore, expulsé du territoire national.
Un référendum sera prochainement proposé avec une seule et unique question : « Souhaitez-vous que Carlos Manuel Valls soit déchu de la nationalité française et expulsé du territoire national, compte tenu des injures qu’il a proféré contre le valeureux Dieudonné ».
Que retenir de cette affaire ?
- Que l’Union des étudiants juifs de France, qui a pour avocat Stéphane Lilti, a tenté d’obtenir la condamnation de notre valeureux Dieudonné à leur payer une somme de 100 000 euros pour réparer les toilettes du mémorial de la Shoah à Paris, qui seraient envahies par des rats d’égout ;
- Que le grand avocat Me François Danglehant a dénoncé à l’audience une demande qui s’inscrit dans une logique de « régime de Vichy inversé » et l’illégalité de cette demande et des autres demandes ;
- Que le grand juge Alain Bourla a rejeté toutes les demandes abusives présentées par l’Union des étudiants juifs de France.
On notera le remarquable communiqué de presse de l’Association des Étudiants Juifs de Jérusalem Ouest, qui salue la remarquable décision du juge Alain Bourla et dénonce les actions intempestives et les provocations mises en œuvre par le petit avocat Stéphane Lilti, action qui sous couvert de la loi sur la presse, vise à obtenir de l’argent (100 000 euros), pour dératiser « les chiottes » du mémorial de la Shoah à Paris.
Le président de l’Association des Étudiants Juifs de Jérusalem Ouest estime qu’en réclamant à notre valeureux Dieudonné une somme de 100 000 euros pour faire des travaux dans les « chiottes » du mémorial de la Shoah à Paris, le petit avocat Stéphane Lilti :
- A blasphémé contre la mémoire de l’histoire ;
- A jeté le discrédit sur les juifs de France, qui ne demandent pas au valeureux Dieudonné de payer des travaux pour dératiser le mémorial de la Shoah.
Le petit avocat Stéphane Lilti a déclaré au journal Je suis partout faire appel de la remarquable décision du juge Alain Bourla dont il conteste la décision, car il veut que le valeureux Dieudonné paye sur sa cassette personnelle les travaux qui doivent être effectués dans les « chiottes » du mémorial de la Shoah à Paris.
Contacté par notre rédaction, le valeureux Dieudonné accepte de verser 1 euro sur la recette de chacun de ses prochains spectacles pour la réparation des « chiottes » du mémorial de la Shoah à Paris à condition que tous « les juifs de France » donnent eux aussi chacun 10 euros sur leur cassette personnelle.
Faire partie de l’avant-garde impose des devoirs et des obligations.
La suite au prochain épisode !