Le petit journal de Karim La Continuité…
7 novembre 2014
Le Petit Journal de Karim Le Jeudi 6 novembre 2014 HK et l’Harmonie de Harnes – DANGER PUBLIC (officiel)https://www.youtube.com/watch?v=i81sih09x7o&feature=youtu.be Cordialement Belkacem
———- Message transféré ———- Cette semaine votre émission Bayène est consacrée à l’évènement ‘’ frères d’armes ‘’ organisé dans notre région, à l’occasion du centenaire de la Grande Guerre, du 9 au 12 novembre par les associations ‘’ Rencontre et Dialogue’’, ‘’Place Publique’’ ‘’l’UPC de Roubaix’’
Pastel fm et Radio Soleil sont aussi
Émission spéciale dimanche 9 novembre de 13h à 15h sur Radio Pastel FM 99.4 fm Lille Métropole ou www.pastelfm.com ou ‘’webradios’’ de la Freebox
PODCAST : sur www.bayene.fr Emission Bayène Date : 5 Novembre 2014 La gauche est une salle d’attente pour le fascismedans Tribune, Tribune / par Raphaël « JahRaph » Berland / le 5 novembre 2014 « La gauche est une salle d’attente pour le fascisme ». Avant que des citoyens de gauche ne lancent une fatwa à mon encontre, je précise que ce titre ne vient pas de moi. Il s’agit de paroles prononcées par un chanteur bien connu, et que j’ai découvertes très récemment ; je vous renvoie à la fin de cette tribune pour découvrir de qui il s’agit. Oui, bien sûr, les plus impatients peuvent « scroller* »… Ce titre donc convenait parfaitement à ces lignes que j’étais en train d’écrire. La Providence (en l’occurrence, un Volontaire bien intentionné, qui se reconnaîtra) m’a donc donné un petit coup de pouce pour finaliser ce billet.http://www.cercledesvolontaires.fr/2014/11/05/gauche-salle-dattente-fascisme/f
de Xarlo de JeMi: Révélations… « Nous nous sommes intéressé à ceux qui finançaient les campagnes des candidats aux Etats-Unis, contrairement à la france, il n’y a pas de limite de dépenses, on estime ainsi à 3 milliards et demi de dollars, mais tout est transparent, on apprend que des entreprises étrangères financent les candidats et notamment certains groupes français. Ce sont les entreprises européennes et de très loin qui ont le plus largement contribué au financement de la vie politique américaine, à hauteur de 14 millions de $. Premiers donateurs, toutes catégories confondues, la banque UBS, l’union de banques suisses, en seconde position le britannique (BA…) » Et, nous y arrivons, « tenez-vous bien! » (pardonnez-moi cette expression): « Chez les français, c’est le labo Sanofi qui a le plus financé un camp avec une enveloppe de 750000 $, 20 filiales américaines d’entreprises françaises ont ainsi participé au financement de la campagne, on y trouve des participations symboliques, le groupe SODEXO, mais on y retrouve aussi quelques fleurons de CAC 40, EDF, GDF/SUEZ, le géant du nucléaire AREVA, la BNP, l’assureur AXA, et pratiquement à chaque fois, c’est le groupe républicain qui aura reçu la plus grosse partie de ce financement »… Républicains/Démocrates… C’est « bonnet blanc, blanc bonnet » J. Duclos Nous sommes tous américains » avait lancé ce « journaliste » atlantiste. Il l’a dit… « Elle est pas belle la vie »… jmb ———- Forwarded message ———-
FranceEntretienGreg-Ilan Mots-clés : Étienne chouard, Interview L’Agence Info Libre est allé à la rencontre d’Étienne CHOUARD ce mardi 4 novembre 2014. Cela a été l’occasion pour nous de parler de son passage récent dans l’émission « Ce soir ou jamais », du prix Nobel Jean Tirole, du ministre de l’économie Emmanuel Macron, de l’imposture économique et politique, du tirage au sort (naturellement), et de Nouvelle Donne (nouveau parti) et de Mélenchon. Lors de cet entretien, il conseille quelques lectures. En voici les références: Pour en savoir plus sur Étienne Chouard: http://etienne.chouard.free.fr/Europe/index.php Olivier Berruyer sur BFM Business
Publié le : jeudi 6 novembre Auteur(s) : Olivier Berruye http://www.egaliteetreconciliation.fr/Olivier-Berruyer-sur-BFM-Business-28967.html De : <do@kalachnikov.org> LOIS SCÉLÉRATES CONTRE INTERNET EN FRANCE
http://mai68.org/spip/spip.php?article8153
Note de do : C’est le terrorisme commandité par le pouvoir lui-même qui a servi d’excuse à ces lois autorisant la censure d’internet. Il est à noter aussi que l’« on » en revient au procès d’intention alors que celui-ci avait été banni par la Révolution Française ! Mediapart : Députés et sénateurs ont définitivement adopté le projet de loi de lutte contre le terrorisme présenté en urgence par le gouvernement et encore durci par les parlementaires. Il prévoit le blocage administratif des sites internet faisant « l’apologie du terrorisme » ou encore sanctionne la « préparation » d’un attentat sur internet. Le projet de loi de lutte contre le terrorisme déposé devant l’Assemblée avait été dénoncé comme liberticide par la quasi-totalité des associations de défense des droits de l’homme. Le texte définitivement voté par les sénateurs ce mardi 4 novembre 2014, et donc adopté par le Parlement, a encore durci ce qui est désormais un dispositif de contrôle d’internet sans précédent en France. Il est indispensable de lire au complet l’article de mediapart tellement ces nouvelles lois scélérates sont choquantes. Vous pouvez les lire par exemple au lien ci-dessus. Historiquement le terme de « Lois Scélérates » a été utilisé en 1993-94. Ces lois avaient été dénoncées par le petit livre dont il est question ci-dessous.
LES LOIS SCÉLÉRATES DE 1893-1894, par Françis de Pressensé un juriste, et Émile Pouget (PDF et htm):
http://mai68.org/spip/spip.php?article8155
Françis de Pressensé : Le césarisme avait sué sa peur, il avait laissé transparaître son âme de défiance et d’oppression, il avait avoué, dans un hoquet de terreur, sa haine des garanties élémentaires du droit et son inguérissable amour pour la force brutale, pour la police tutélaire et le sabre protecteur. Règle générale : quand un régime promulgue sa loi des suspects, quand il dresse ses tables de proscription, quand il s’abaisse à chercher d’une main fébrile dans l’arsenal des vieilles législations les armes empoisonnées, les armes à deux tranchants de la peine forte et dure, c’est qu’il est atteint dans ses œuvres vives, c’est qu’il se débat contre un mal qui ne pardonne pas, c’est qu’il a perdu non seulement la confiance des peuples, mais toute confiance en soi-même. Note de do : Il est à noter que dans les deux cas, aussi bien pour les Lois Scélérates de 1893-94 que pour celles d’aujourd’hui, en 2014, soit pile 120 ans après, c’est le terrorisme manipulé par l’État qui sert de justification. Pour les Lois Scélérates de 1893-94, c’est l’attentat d’Auguste Vaillant à la chambre des députés. Et on sait aujourd’hui que Vaillant était manipulé par un flic pour faire cet attentat, car le policier qui avait manipulé Auguste Vaillant écrivit plus tard lui-même un livre où il expliquait la manipulation : « La marmite pleine de ferrailles qui a explosé dans l’enceinte de l’Assemblée ne pouvait pas faire beaucoup de morts, mais allait beaucoup impressionner les députés et les inciter à voter diverses lois liberticides » Pour les Lois Scélérates de 2014, c’est encore du terrorisme commandité par l’État lui-même qui sert d’excuse. L’État développe la « théorie du loup solitaire » aussi bien que la « peur » du retour de terroristes qu’il a pourtant entraînés et armés lui-même pour combattre le régime antisioniste de Bachar el-Assad en Syrie. Le livre de Pouget et Pressensé est disponible au lien ci-dessus. Bien à vous, La théorie du « Loup solitaire » développée par l’État :http://mai68.org/spip/spip.php?article8090 Le curé Hollande fait semblant de pleurer la mort d’Hervé Gourdel dont il est responsable et coupable (vidéo 1’31) :http://mai68.org/spip/spip.php?article7983 (Le retour du terroriste) La manipulation du terrorisme par l’État :http://mai68.org/spip/spip.php?article1053 (Terrorisme d’État sous faux drapeau, le pourquoi et le comment, esquisse d’une bibliographie) Il est indispensable de semer rapidement et partout la révolte au sujet de ces nouvelles lois sscélérates qui en fait ne touchent pas qu’internet. « L’homme, il est vrai, est atypique en ce que son parcours transcende les traditionnels clivages ethnico-religieux qui constituent les habituelles grilles de lecture du conflit israélo-palestinien. Militant communiste issue d’une famille chrétienne du Nord-Liban, ancien élève des congrégations religieuses chrétiennes françaises au Liban, Georges Ibrahim Abdallah a été condamné à la peine maximale prévue par la loi, pour l’exécution d’un responsable du Mossad israélien et celle d’un attaché militaire américain à Paris en 1982. » Rectificatif. Dans l’un de ses deux livres, Victor Ostrovski, ex agent du Mossad, rapporte que ce sont des tueurs du Mossad qui avaient exécuté et le représentant du Mossad à Paris, Yacov Barsimentov, et Charles R. Ray, attaché militaire américain à Paris (le 18 janvier 1982). Parce qu’une branche du Mossad cherchaient un moyen d’entrer en contact avec des Palestiniens, ce qui était strictement interdit. Un Américain aurait pu inspirer confiance aux Palestiniens. Puis les Israéliens ont caché l’arme du crime dans l’appartement de Georges Ibrahim Abdallah, avant de le dénoncer à la police française. Et ces assassinats furent utilisés comme prétexte de la guerre d’Israël contre le Liban. Les agents du Mossad se déclarèrent très fiers de ce coup hautement représentatif de la chutzpah. Georges Ibrahim fut arrêté en 1984, condamné, libérable en 1999, relaxé en 2009 par la cour d’appel de Pau. Toujours en prison en novembre 2014. Nouveau rejet d’une demande de libération de Georges Ibrahim Abdallah, en prison depuis 30 ans 05/11/2014L’ancien militant révolutionnaire libanais Georges Ibrahim Abdallah, en prison depuis trente ans en France, a vu mercredi sa demande de libération rejetée une nouvelle fois, la neuvième, par le tribunal d’application des peines de Paris. Son avocat a dénoncé une décision sous influence politique. Arrêté à Lyon le 24 octobre 1984, l’ex-chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL) avait été condamné à perpétuité pour complicité dans les assassinats, en 1982 à Paris, de deux diplomates, l’Américain Charles Robert Ray et l’Israélien Yacov Barsimantov. Il a, depuis, présenté neuf demandes de libération conditionnelle, toutes rejetées. En 2012, une décision favorable avait été rendue par le juge d’application des peines, puis en appel, mais la Cour de cassation avait finalement déclaré la demande irrecevable. Cette fois encore, la demande a été déclarée irrecevable au motif que Georges Ibrahim Abdallah n’avait pas fait préalablement l’objet d’un arrêté d’expulsion. En 2013, son avocat Jean-Louis Chalanset avait demandé à Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, de prendre un arrêté d’expulsion contre le ressortissant libanais pour permettre sa libération, mais la requête était restée sans réponse. Pour Me Chalanset, « l’atteinte à la séparation des pouvoirs est flagrante ». « Le pouvoir exécutif empiète sur la justice, qui a estimé qu’il pouvait bénéficier d’une libération conditionnelle s’il était expulsé », a-t-il ajouté. Pour lui, « une nouvelle fois, les États-Unis ont imposé au gouvernement français leur volonté de se venger ». Le tribunal a également rejeté la demande de bénéficier d’une année probatoire, préalable à une libération. Compte tenu des risques d’assassinat qui pèsent sur Georges Ibrahim Abdallah en France, cette année aurait pu être effectuée au sein d’un établissement pénitentiaire plutôt qu’en régime de semi-liberté ou sous surveillance électronique, a expliqué Me Chalanset. Mais le tribunal a estimé que Georges Ibrahim Abdallah n’avait pas présenté de projet à l’appui de sa demande. Malmené par Majed Bamya, le député sioniste Meyer Habib s’en prend à une journalisteFrance 24, 5 novembre 2014
Majed Bamya, diplomate palestinien, faisait face au député des Français de l’étranger Meyer Habib sur France 24 le 5 novembre 2014.
Révélations sur le voyage controversé de BHL en Tunisie 2014-11-05 Qu’est venu faire BHL en Tunisie ? Dans cet entretien accordé à l’Esprit d’actu, Nicolas Beau revient notamment sur le voyage controversé de BHL en Tunisie. Auteur du livre « L’exception tunisienne: chronique d’une transition démocratique mouvementée » (ed. Seuil), Nicolas Beau est directeur du site Mondafrique.
Terrorisme au Sahel : Les «chouyoukh» accusent la France et le QatarPar Rafik Benasseur | 04/11/2014 Les savants de l’islam de la région du Sahel et du Sahara dont des mauritaniens, des maliens, des sénégalais et même des marocains, ne s’encombrent pas de formules pour accuser la France et le Qatar de «piloter» le terrorisme dans la région. Cette grosse accusation a été publiquement assumée par ces chouyoukh réunis dans le cadre d’une conférence politique intitulée «les défis de la paix et du développement dans la région du Sahel et du Sahara» organisée lundi par le mouvement de la construction nationale à l’hôtel Essafir. C’est un véritable pavé dans la marre qu’ont jeté ce savants de l’islam réunis autour de Amar Bamba, président de l’union mondiale des savants de l’islam en Afrique et le Dr Mohamed Lamine Bencheikh El Yazid, président du centre de formation des oulémas en Mauritanie et Hassan Kebiche, cadre de Adl et Ihsane du Maroc. Il en ressort globalement que ces savants accusent la France et le Qatar de «gérer» le terrorisme dans la région avec pour objectif «d’ y installer des bases miliaires». Dans le communiqué rendu public au terme de cette conférence, ces savants ont mis en garde contre l’intervention étrangère dans les pays de la région «sous couvert de missions humanitaires». Le cénacle des savants a en effet clairement désigné la France et l’émirat du Qatar d’aller dans cet objectif. Le président de l’union mondiale des savants d’Afrique s’est ainsi interrogé comment les groupes armés qui opèrent dans la région arrivent à s’assurer un ravitaillement en armes. «Qui finance ces gens là et qui les arme ? s’est-il interrogé. Conclave d’Alger Il faut souligner que cette conférence a vu aussi la participation de quelques experts à l’image de Ahmed Adhimi qui a fait un exposé sur la situation sécuritaire dans la région du Sahel et Sahara. Ce conclave inédit a été clôturé par l’annonce de la naissance du «congrès africain annuel des pays du Sahel». Cela étant dit, ce n’est pas la première fois que le Qatar et même la France sont désignés du doigt comme étant les fauteurs de troubles au Sahel. Le Canard Enchaîné avait révélé, documents de la DCRI à l’appui, il y a deux années que le Qatar est le financier du mouvement terroriste le MUJAO qui a été créé en 2010 après le déclin d’Al Qaida. Quand à la France, si l’opération Serval a effectivement stoppé l’avancée du terroriste vers Bamako, force est de constater le regain des attentats contre les forces de la MINUSMA au nord du Mali. Tout le monde s’interroge pourquoi l’activité terroriste a repris au Mali pendant que l’Algérie tente vaille que vaille de faire aboutir le dialogue politique inclusif entre maliens http://www.algerie1.com/actualite/terrorisme-au-sahel-les-chouyoukh-accusent-la-france-et-le-qatar/ Bonjour Un nouveau texte est publié sur mon blog : Total et de Margerie : du pétrole et du gaz couleur de sangSLa mort de Christophe de Margerie, Président Directeur Général du groupe Total, survenue le 20 octobre 2014 dans un accident d’avion, a été l’occasion d’un concert quasi-unanime de louanges pour l’homme et pour la multinationale qu’il dirigeait. C’est l’occasion pour nous de nous arrêter sur les activités de ce groupe, avant et pendant la présidence de Monsieur de Margerie. C’est également le prétexte que nous saisissons pour revenir sur quelques concepts de base ignorés du discours journalistique : impérialisme, capital financier, etc. Au-delà de la désinformation médiatique mais nous basant sur ces concepts ainsi que sur quelques faits précis, le pétrole et le gaz de Total apparaissent singulièrement tachés du sang des victimes de l’impérialisme français. « Chaque goutte de pétrole est une goutte de sang » Clémenceau L’héritage de Total http://bouamamas.wordpress.com/2014/11/05/total-et-de-margerie-du-petrole-et-du-gaz-couleur-de-sang/
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Said Bouamama
Jeudi 6 novembre 2014 L’actualité Autrement Vue Chute des cours du brut : L’Arabie Saoudite se tire une balle dans le pied par Reghis Rabah * Les pays exportateurs de pétrole se réuniront fin novembre 2014 pour examiner les conséquences de la baisse du cours du pétrole sur les économies des membres, estimée à près de 25% en moins de six mois. En effet, leur rencontre du 11 juin dernier n’a, semble t-il, pas su prévoir une telle chute des cours en si peu de temps. Ils avaient estimé que les prix du brut sont à un niveau confortable pour les pays producteurs et consommateurs ainsi que pour l’industrie pétrolière avait déclaré à l’époque Ali al-Nouaïmi, qui ne s’attendait dorénavant à aucune décision sur le plafond de production, fixé à 30 millions de barils par jour (mb/j) depuis fin 2011. En dépit des assurances données par son ministre des finances, l’Algérie avait dépêché des émissaires auprès du royaume Saoudien, croyant encore à son leadership pétrolier. Bien que de nombreux experts tentent d’imputer cette situation à la récession de l’économie mondiale notamment aux pays émergents avec à leur tête la chine qui a perdu beaucoup en croissance, prés de 7%, Les manœuvres politiques ont joué à tirer les prix du brut vers le bas. Qui tire les ficelles de cette stratégie baissière?, A-t-elle un caractère structurel ? Quelles sont les conséquences immédiates sur les pays fortement dépendant des recettes pétrolières ? 1- LES CALCULS DES SAOUDITES SE SONT AVÉRÉS CONTRE-PRODUCTIFS En voulant faire subir le supplice du pendu au monde entier, l’Arabie Saoudite se tire une balle dans le pied. En effet, son association avec les États-Unis pour pousser les prix du brut vers le bas afin d’étrangler les russes pour les contraindre à modifier leur politique à l’égard de la Syrie et l’Ukraine pour les Américains a selon toute vraisemblance permis l’ouverture d’une alliance très gênante non seulement pour le royaume mais probablement pour l’Amérique et l’Europe : celle de la Russie-Chine. D’abord Le budget de 2015 de la Russie est établi en fonction d’un prix du pétrole s’élevant à au moins 100 $ le baril. Les emprunts du Kremlin auprès des habituels investisseurs étrangers en 2015 ne dépassent toutefois pas 7 milliards de dollars, auxquels s’ajoutent 27,2 milliards de dollars empruntés à l’intérieur du pays. Pour le niveau des dépenses habituelles de ce pays, ce n’est pas du tout une inquiétude outre mesure. L’objectif des Saoudis, qui est d’essayer de se substituer à la Russie comme principal fournisseur de pétrole de l’Union européenne, n’est rien d’autre qu’une chimère. Pour y arriver, il faudrait que les raffineries de l’Union européenne soient réaménagées de façon à pouvoir traiter le brut léger saoudien, ce qui coûte une fortune. Sur un autre plan, les choses sont plus juteuses, car au cœur de la stratégie du royaume, il y a cette rancœur contre Washington, qui n’a pas rempli sa promesse de faire partir Assad et qui n’a pas assouvi l’obsession néoconservatrice de bombarder l’Iran. Pire encore (pour les Saoudis), Washington semble pour le moment plus déterminé à faire tomber le calife Ibrahim que Bachar al-Assad, et s’apprête aussi à signer un accord sur le nucléaire avec Téhéran le 24 novembre, dans le cadre des négociations avec les pays du P5+1. Cette attitude suiviste des saoudiens a ouvert les yeux des Russes pour se tourner vers la chine. . Le Vice-Premier ministre de la Chine, Wang Yang, le résume clairement : » La Chine est prête à exporter à la Russie des produits concurrentiels, comme des biens agricoles et de l’équipement pétrolier et gazier, tout en étant prête à importer des produits de l’ingénierie russe « . En ajoutant à cela la hausse des importations d’aliments en provenance d’Amérique latine, on pourrait difficilement conclure que Moscou est sur la corde raide. La chine vient de signer à Moscou une série d’accords de coopération touchant une foule de secteurs, comme l’énergie, les finances, la navigation par satellite et la liaison ferroviaire à grande vitesse. Pour la Chine, qui, en 2011, a dépassé l’Allemagne comme premier partenaire commercial de la Russie, les deux parties en ressortent gagnantes. Pour leur part, les banques centrales chinoise et russe viennent de signer un accord d’échange bilatéral de leurs devises nationales s’élevant à 150 milliards de yuans, d’une durée de trois ans. Cet accord est également extensible. La City de Londres rouspète, mais c’est ce qu’elle fait tout le temps. L’élément crucial de ce nouvel accord, c’est qu’il fait abstraction du dollar US. Pas étonnant qu’il soit devenu un élément clé de la guerre économique par procuration que se livrent les USA et l’Asie, où tous les coups sont permis. Pour Moscou, c’est un baume contre bien des effets secondaires de la stratégie saoudienne. 2-L’ALLIANCE IRAN/IRAK EST SUR LA VOIE DE LA CONCRÉTISATION 3-LA SITUATION INTERNE DU ROYAUME N’EST PAS RÉJOUISSANTE Actuelles du marché de l’énergie ne sont pas bonnes pour l’Arabie Saoudite. Pour commencer, l’Agence internationale de l’Energie a publié récemment des projections qui indiquent que les Etats-Unis pourraient bien rafler au géant pétrolier du Golfe la première place de producteur de la première énergie mondiale à l’horizon 2020. Mi-mai 2013, cette même agence a révélé que l’Amérique du Nord, grâce au développement rapide de son industrie pétrolière de nouvelle génération, devrait dominer la production globale de pétrole dans les cinq années qui viennent. Ces développements imprévus ne représentent pas seulement un coup porté au prestige de l’Arabie saoudite, mais également une menace potentielle à l’encontre de la prospérité économique du pays sur le long terme et tout particulièrement dans le contexte actuel post-printemps arabe, qui voit une augmentation des dépenses gouvernementales. Mais si l’avenir du royaume apparaît décidément sombre, sa réponse apparaît des plus confuses. Il faut ajouter à cela la pression du Congrès américain sur la maison blanche pour créer une équipe rattachée au ministère de la justice dont les objectifs sont d’enquêter sur les mécanismes des prix et sur éventuellement, les manipulations des cours du pétrole même aux Etats -Unis. Ce projet non encore validé, prévoit non seulement de se passer de l’Arabie Saoudite mais aussi la possibilité de poursuivre en justice les pays membres de l´OPEP au nom des lois antitrust. L’AIE, la même année avait averti que toute initiative pour freiner la production pétrolière mondiale pourrait se révéler contreproductive pour l´économie mondiale. Ce pays a toujours manœuvré en utilisant son droit de veto pour un prix qui l’arrange au détriment des autres membres dont les recettes pétrolières restent vitales pour leur développement économique. Quel est justement ce prix ? Si l’on se réfère à l’Arab Petroleum Investments Corporation, le prix qui arrange les Saoudiens se situerait autour de 94 dollars le baril, soit moins que le prix actuel du Brent. Or L’Iran par exemple a besoin de vendre son baril à 125 dollars pour qu’il soit rentable, ce qui explique la guerre que se livrent l’Iran et l’Arabie Saoudite au sein de l’OPEP. Mais en l’absence de réformes politiques profondes qui seules pourraient fournir à l’Arabie Saoudite d’autres sources de revenu, ce prix de revient va sûrement selon cette même Corporation en augmentant. Cette rivalité entre des membres d’une même organisation n’est pas une dispute théorique. Elle pourrait avoir de sérieuses implications sur le futur de l’économie mondiale. Que l’Arabie Saoudite le veuille ou non et elle ne le veut certainement pas, le marché global de l’énergie va s’ouvrir de plus en plus à la concurrence. Dans un marché concurrentiel, le pétrole doit être fourni par tous les producteurs en tenant compte à la fois de leurs réserves géologiques et de leurs marges. Il y a quelque chose de profondément malsain de voir les Etats-Unis, qui disposent d’environ 2% des réserves conventionnelles de pétrole produire plus de barils par jour que l’Arabie Saoudite. 4- LA TENDANCE BAISSIÈRE N’ARRANGE PERSONNE La fourchette des prix entre 70 et 80 dollars fait mal aussi bien à ceux qui sont à l’origine du déclenchement de la tendance baissière que ceux qui en subissent les conséquences. Donc, une correction s’impose. Les Saoudiens font semblant de ne rien ressentir. Ils ne cessent de répéter qu’ils sont à l’aise avec le pétrole à 90 $ le baril, avec le pétrole à 80 $ le baril pour les deux prochaines années, et même avec un prix du baril oscillant entre 50 $ et 60 $ pour ses clients asiatiques et nord-américains. La réalité, c’est que le prix du brut Brent est déjà en deçà de 90 $ le baril parce que l’économie de la Chine et de l’ensemble de l’Asie a commencé à ralentir, quoiqu’à un degré moindre qu’en Occident. La production est toutefois demeurée élevée, surtout en Arabie Saoudite et au Koweït, et ce, malgré la très faible quantité de pétrole libyen et syrien sur le marché, et le fait que l’Iran a été contraint de réduire ses exportations d’un million de barils par jour en raison de la guerre économique que lui livrent les États-Unis à coup de sanctions. Le royaume emploie une stratégie de fixation des prix de prédateur, qui se résume à réduire la part de marché de ses concurrents à moyen et à long terme. En théorie, cela pourrait empoisonner la vie de bien des joueurs, et notamment aux Etats-Unis où le développement des énergies, la fracturation hydraulique et le forage en eau profonde deviendront non rentables sans compter les producteurs de brut lourd et corrosif, comme l’Iran et le Venezuela. Il ne fait cependant aucun doute que c’est la Russie qui est dans la mire n’est pas la seule à subir les conséquences d’une offensive irréfléchie des Saoudiens. 5- LES ALGÉRIENS DOIVENT-ILS S’INQUIÉTER DE CETTE TENDANCE ? La démarche du gouvernement algérien ces derniers temps est malheureusement à coté de la plaque pour au moins deux raisons. La première est que la baisse de la production des gisements pétroliers Algériens est entamée depuis plus de deux ans, ce qui signifie qu’elle n’est pas en mesure de mettre sur le marché des quantités supplémentaires du brut pour combler le déficit sur le court terme. Par contre le gouvernement pense régler un problème immédiat avec une solution qui pourrait se réaliser à long terme : celle d’exploiter le gaz de schiste. L’avertissement donné par les résultats du quatrième appel d’offre ne semble pas le dissuader à en croire les déclarations rassurantes du ministre des finances et celui de l’énergie. La deuxième raison est que malgré les rapports contenants des recommandations des institutions internationales comme le FMI et la Banque Mondiale, aucune plateforme consensuelle n’est mise en place par les différents partenaires sociaux et politiques pour entamer une nécessaire rationalisation du budget de l’Etat. Ce qui pourrait être sûr, c’est qu’une reprise économique mondiale reste possible. Pourquoi ? Parce que les principaux pays occidentaux y travaillent pour. Les coupes budgétaires opérées en France et en Allemagne en sont la preuve irréfutable. Donc un redressement de la demande du pétrole dans le monde pourrait intervenir à court terme. Maintenant revenir à un baril à 140 dollars prendra certainement le temps du démarrage effectif de la croissance mondiale. Or, à en croire le rapport du FMI, le prix le plus bas pour un équilibre des dépense de l’Algérie se situe autour de 120 dollars, niveau impossible à atteindre d’ici 2017.C’est pour cela que les dépenses doivent correspondre aux moyens. Donc continuer de mentir à soit même en gonflant le fond de régulation des recettes et l’utiliser comme un amortisseur de choc n’est pas la solution. Il faut dans l’immédiat réduire les importations dont le montant ne cesse de croitre depuis une décennie. Revoir la structure des niches fiscales et avoir le courage de dire au peuple à qui profitent les subventions de l’Etat pour notamment celles sur les carburants et les produits de large consommation. Les chiffres sont éloquents : l’année 2014 va terminer avec des dépenses de fonctionnement qui avoisine les 85 milliards de dollars, en augmentation de prés de 30 % par rapport à 2013. Sa structure est effrayante, prés de 40 milliards de dollars servent à pays des fonctionnaires et 25 autres pour subventionner les produits importés comme le lait, le blé, certains médicaments, le sucre, le café etc. Ce montant faramineux fait travailler plus les pays qui exportent que les nationaux. En dépit de ce sacrifice financier énorme, prés d’un fonctionnaire sur cinq ne veut pas céder sa place aux jeunes. Cette situation bloque non seulement l’ascenseur social mais ne règle pas le chômage pour autant Conclusion. Avec une production nationale qui satisfait les 30% des besoins des ménages et des entreprises, le reste étant importé, une dépendance de l’économie nationale à 98% des hydrocarbures, prés d’un million d’emplois précaire formé par une masse de contractuels, un million de nouveaux venus d’ici fin décembre, cette baisse si rien n’est entrepris entre temps ne fera que creuser l’écart du déficit budgétaire. Le fond de la régulation des recettes fondera comme de la glace. Il est fort probable que d’ici la fin du quatrième mandat, l’Algérie sera dans la même situation que celle de 1999 avec des maliens, des syriens et des libyens à la charge en plus. Auquel cas, on aura pédalé pendant 20 ans à vide. * Consultant et Economiste Pétrolier La Russie prête pour la guerre pétrolière 05/11/2014
La guerre médiatique initiée par les médias occidentaux devrait connaître une fin lamentable, estime le journaliste indépendant et le politologue américain F. William Engdahl. Cette offensive visait, au départ, à ternir la politique intérieure et internationale de la Russie. Elle n’a pourtant pas apporté le résultat escompté: les données du sondage mené par le Centre panrusse d’étude de l’opinion publique (VtsIOM), rendues publiques récemment, montrent qu’une majorité écrasante de Russes – 87% – juge la critique étrangère de la Russie infondée. Pratiquement 90% des personnes interrogées sont persuadées que ces tentatives de dénigrement sont dues à la politique indépendante du président Vladimir Poutine. Les sanctions économiques des USA et de plusieurs pays européens mettent en évidence l’irritation de moins en moins contrôlée de ces États face à une Russie menée par un leader puissant. Le sang-froid avec lequel Vladimir Poutine se réfère aux normes internationales pour réagir aux attaques de ses homologues occidentaux témoigne de l’intransigeance de sa volonté politique – ce qui irrite forcément l’Occident. Tout comme ses missions de maintien de la paix, dans un contexte de multiplication des guerres régionales dues à la « démocratisation » à l’américaine dans plusieurs pays. Toutefois, selon les analystes, même un plan aussi perfide pour neutraliser Poutine sur l’arène politique mondiale est utopique. Ce dernier bénéficie d’un soutien indiscutable dans son pays, comme en témoigne sa cote de popularité stable et incroyablement élevée pour un homme politique au pouvoir depuis aussi longtemps, impassible face aux difficultés économiques et aux divergences intérieures concernant la Crimée. Alors que peuvent faire les « amis de la Russie »? Selon les dernières ententes secrètes en date entre le secrétaire d’État américain John Kerry et le roi Abdallah d’Arabie saoudite, le nouveau plan d’affaiblissement de la Russie s’appuie sur un dumping du cours du pétrole. L’Arabie saoudite compte en effet « inonder » les marchés mondiaux avec du pétrole bon marché. F. William Engdahl explique pourquoi ce complot américano-saoudien contre la Russie est voué à l’échec. L’intrusion de l’État Islamique Alors même que les conflits s’intensifient dans cette région, la plus riche du monde en pétrole, les cours commencent à chuter. C’est une tendance anormale. Depuis la prise inattendue d’une région pétrolifère irakienne autour de Mossoul et de Kirkuk par l’État islamique en juin dernier, le pétrole Brent a perdu 20%, chutant de 112 à 88 dollars le baril. Aucune baisse de la demande pétrolière n’est pourtant enregistrée dans l’ensemble, ou en Chine, et les réserves d’huile de schiste aux USA n’ont pas augmenté. Que s’est-il réellement passé? Les États-Unis et l’Arabie saoudite avaient déjà utilisé un tel stratagème contre l’URSS – en 1986, des quantités supplémentaires de pétrole avaient été fournies sur le marché. Aujourd’hui, ayant en ligne de mire les marchés asiatiques, les Saoudiens ont commencé à vendre leur pétrole à des tarifs plus bas. Selon certaines informations, ils vendent au principal consommateur de la région – la Chine – le baril à 50-60 dollars au lieu du tarif habituel de 100 dollars. Bien évidemment, toute cette manœuvre est coordonnée par le Trésor américain via le Bureau de la lutte antiterroriste et du renseignement financier, ainsi que certains acteurs de Wall Street qui contrôlent le commerce de produits dérivés du pétrole. Résultat des courses: une panique croissante chaque jour sur le marché; la Chine satisfaite de pouvoir acheter du pétrole bon marché; et de lourdes pertes économiques pour la Russie et l’Iran. Selon Rachid Abanmi, président du Centre saoudien de politique pétrolière et d’évaluations stratégiques, la baisse dramatique des tarifs est effectivement dictée par le plus gros membre de l’Opep – l’Arabie saoudite. Selon la version officielle, les Saoudiens cherchent de nouveaux marchés dans un contexte général de baisse de la demande pétrolière. D’après Abanmi, l’objectif est de faire pression sur la Syrie et l’Iran – à cause de son programme nucléaire – mais surtout de porter une attaque dévastatrice contre l’économie russe, seule menace réelle pour l’hégémonie des États-Unis dans le monde contemporain. En se servant du conflit ukrainien pour tenter d’écarter Poutine de la scène politique, les USA ont lancé le mécanisme de sanctions anti russes, qui n’a encore donné aucun résultat. En lançant la propagande « américaine classique », anti-Poutine, dans les médias, les USA ont décidé de s’attaquer à l’un des secteurs fondamentaux de l’économie russe – l’exploitation pétrolière. Comme on l’a dit, une telle stratégie avait déjà été utilisée par les USA et l’Arabie saoudite en 1986, qui avaient inondé le marché de pétrole bon marché à tel point que le cours était passé en-dessous de 10 dollars le baril, brisant l’économie de l’Union soviétique et de l’Irak. Les Américains et les Saoudiens espèrent aujourd’hui refaire le coup. Les guerres actuelles en Ukraine et en Syrie, soutenues par les États-Unis, sont au fond deux fronts d’une même lutte stratégique visant à affaiblir la Russie et évincer Poutine de l’arène politique. Ces conflits visent à empêcher l’apparition, en Eurasie, d’un centre de pouvoir qui ne s’inscrirait pas dans le Nouvel ordre mondial contrôlé par les USA. Sur chacun de ces fronts, le but stratégique est de contrôler les flux d’hydrocarbures: notamment les gazoducs entre la Russie et l’Europe via l’Ukraine; et entre l’Iran, la Syrie et l’Europe via la Syrie. La guerre énergétique des USA contre la Russie est vouée à l’échec parce que la Russie de Poutine a eu le temps d’entreprendre des mesures stratégiques, avec la Chine et d’autres nations amies, pour réduire sa dépendance envers l’Occident. Les guerres pétrolières ne font que pousser la Russie à se focaliser sur la garantie de ses intérêts nationaux et à abandonner le système de gouvernance mondiale par le dollar. Si le dollar n’était plus une devise de réserve pour le commerce international – qui plus est pour le commerce pétrolier – le Trésor américain courrait à la catastrophe. La Russie de Poutine va aujourd’hui dans le bon sens, et sa coopération avec la Chine et d’autres alliés commencera bientôt à porter ses fruits.(Ria Novosti) http://www.algerie1.com/international-2/la-russie-prete-pour-la-guerre-petroliere/
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Le président tchétchène bientôt en Syrie |
le 05/11/2014
Le président syrien Bachar al-Assad a invité le chef de la Tchétchénie Ramzan Kadyrov à visiter la Syrie, a déclaré le dirigeant tchétchène en personne sur le réseau social Instagram.
Dans son message, il relatait les résultats de sa rencontre avec Sheikh Ahmad Badreddin Al-Hassoun, le Mufti de Syrie, en la présence de Riyad Haddad, l’ambassadeur syrien en Russie.
« L’ambassadeur Haddad m’a transmis une invitation de Bachar al-Assad à visiter la Syrie », a écrit le chef de la République Tchétchène, selon lequel le Mufti Hassoune lui a rapporté des mots de gratitude d’Assad pour la position de principe de la Russie concernant les événements dans la région.
Le chef tchétchène y a accusé les agences de renseignement occidentales d’être derrière le déclenchement de la guerre civile en Syrie.
« Il (le Mufti) a noté que l’Occident a beaucoup parlé d’un certain régiment tchétchène en activité en Syrie. Les autorités syriennes ont une liste des Tchétchènes détenus et morts. La grande majorité d’entre eux vivent dans des pays occidentaux. Soit ils y sont nés soit ils y ont émigré il y a 20 ans », a-t-il souligné.
Le président Kadyrov a également accusé l’Occident d’avoir pour objectif «d’entraîner dans la guerre des millions de musulmans et de faire en sorte qu’ils s’entre-détruisent ».
« En Tchétchénie nous avons défait les terroristes et les wahhabites, et nous ne les laisserons pas relever la tête », a-t-il conclu.http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=200770&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=37&s1=1http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=200770&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=37&s1=1
Sources : Réseau International, Itar-Tass
« Jérusalem : vers la troisième intifada ? »
Par Renée Berder | le 6. novembre 2014
On se souvient que la « visite » d’Ariel Sharon, en 2000, sur l’esplanade des mosquées, appelée le Mont du Temple par les juifs, avait déclenché la seconde Intifada. L’accumulation actuelle des provocations de l’extrême droite israélienne au même endroit pourrait bien susciter une nouvelle insurrection (intifada en arabe) palestinienne.http://oumma.com/215090/jerusalem-vers-troisieme-intifada
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De : Axe De La Resistance <axedelaresistance@hotmail.com>
Date : 6 novembre 2014
Objet : Hassan Nasrallah répond aux menaces israéliennes et évoque la judaïsation de Jérusalem
Bonjour,
Hassan Nasrallah répond aux menaces israéliennes et évoque la judaïsation de Jérusalem
Lien Youtube :https://www.youtube.com/watch?v=ENE9uHwLdKs
Description :Lors du dixième jour d’Ashoura, Hassan Nasrallah a parlé de la judaïsation de Jérusalem. Il également évoqué le danger qui guette les lieux saints islamiques ou chrétiens en Palestine, et spécialement la Mosquée Al-Aqsa. Il a ensuite répondu aux menaces israéliennes en annonçant que la résistance libanaise était plus que jamais prête à défendre le Liban et qu’elle était capable de mener simultanément deux guerres si nécessaire, une en Syrie et l’autre face à l’entité sioniste.
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De : notify@over-blog.com <notify@over-blog.com>
Date : 6 novembre 2014
Objet : OverBlog : Recommandation depuis le blog www.resistance-politique.fr
Dimanche 2 novembre 2014
Toujours plus de murs dans un monde sans frontières
La nuit des 8 et 9 novembre 1989 reste un symbole de liberté en Europe. À la stupeur du monde entier, le mur qui coupait Berlin en deux depuis vingt-huit ans se fissure. La fin du « rideau de fer », selon l’expression instaurée par Churchill lors de son discours à Fulton le 5 mars 1946 a nourri l’espoir de la fin des divisions entre les peuples.
Depuis, à l’heure de la mondialisation, de l’ouverture des frontières, de la libre-circulation, d’Internet, l’homme construit des dizaines de murs. Parfois longs de plusieurs milliers de kilomètres, barbelés ou électrifiés, atteignant parfois huit ou dix mètres de hauteur, à double paroi, gardés par des soldats, des caméras ou des drones de reconnaissance, souvent renforcés par des mines antipersonnel, les murs de séparation contemporains peuvent ne pas se montrer comparables dans leurs caractéristiques. Les plus fréquents relèvent du domaine sécuritaire, qu’il soit civil ou militaire. Ils ont été construits pour contenir l’immigration ou pour lutter contre la contrebande ou le trafic de drogue. Ils divisent les peuples et les cultures et ont pour point commun de ne jamais remplir totalement leur mission première.(suie) http://www.resistance-politique.fr/article-toujours-plus-de-murs-dans-un-monde-sans-frontieres-124917921.html
Ils s’en remettront à l’ONU courant novembre :
Les Palestiniens ne veulent plus d’une solution négociée avec Israël
le 05.11.14
Le dernier round de négociations israélo-palestiniennes initiées en 2013 par M. Kerry a échoué en avril 2014 après neuf mois de navettes intensives.
Frustrée de l’absence de perspective d’indépendance, la direction palestinienne a fait le choix de passer par la communauté internationale sans plus attendre une solution négociée avec Israël. C’est ainsi que malgré l’opposition américaine, les Palestiniens ont décidé de soumettre, courant novembre, au Conseil de sécurité de l’ONU leur projet de résolution fixant un calendrier pour la fin de l’occupation israélienne.
Une rencontre entre le négociateur en chef Saëb Erakat et le secrétaire d’Etat John Kerry, lundi aux Etats-Unis, n’a pas infléchi la détermination palestinienne, a fait savoir Wassel Abou Youssef, membre du comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP). «Aucune autre solution ne nous a été proposée par l’administration américaine», a-t-il déclaré. «L’administration américaine pousse à reprendre les négociations là où elles ont été laissées (en avril, ndlr), alors que ce mécanisme a fait la preuve de son échec au cours des années passées», a-t-il expliqué.
Un plan en trois étapes
La direction palestinienne envisage donc un plan en trois étapes : un vote au Conseil de sécurité, puis en cas de refus, l’adhésion à des organisations internationales dont la Cour pénale internationale et, enfin, la rupture des accords avec Israël, notamment en ce qui concerne la coopération sécuritaire. De nombreux responsables palestiniens ont fait état de pressions américaines pour les dissuader d’aller devant le Conseil de sécurité, Washington ayant pour dernier recours l’utilisation éventuelle de son droit de veto.
Le dernier round des négociations initiées en 2013 par M. Kerry a, rappelle-t-on, échoué en avril 2014 après neuf mois de navettes intensives. Le département d’État avait avoué avant même les entretiens de MM. Kerry et Erakat, que le chef de la diplomatie américaine n’avait pas de projet de règlement du conflit israélo-palestinien à présenter à son hôte.
L’OLP a, par ailleurs, qualifié hier de «camouflet» pour les États-Unis et la communauté internationale le feu vert donné en Israël à un projet de colonisation à El Qods occupée. Le feu vert délivré lundi alors que la ville d’El Qods est arrivée à «point d’ébullition» constitue «un camouflet pour le secrétaire (d’État américain John) Kerry, pour la communauté internationale, pour le peuple palestinien et pour la paix», a réagi dans un communiqué Saëb Erakat, négociateur en chef palestinien et membre du comité exécutif de l’OLP.
Le ministère israélien de l’Intérieur a donné, lundi, son feu vert à la construction de 500 logements à El Qods-Est, partie palestinienne de la ville annexée par Israël. Le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, avait donné une semaine plus tôt pour instruction d’accélérer ce projet et un autre. Cette consigne avait provoqué une vive réprobation palestinienne et internationale. M. Erakat a souligné que l’annonce israélienne avait coïncidé avec sa rencontre lundi avec M. Kerry. Elle démontre à nouveau qu’Israël «fait le choix de la colonisation plutôt que des négociations». «La communauté internationale doit se rendre compte que les communiqués ne stopperont pas les colonies israéliennes», selon lui.
«Pour sauver la solution à deux États (israélien et palestinien coexistant), nous appelons de manière urgente tous les pays à reconnaître diplomatiquement l’État de Palestine sur les frontières (d’avant) 1967. Nous pressons la communauté internationale, y compris l’Administration américaine, de soutenir notre initiative pour une résolution du Conseil de sécurité qui fixerait une date butoir pour la fin de l’occupation israélienne», a ajouté M. Erakat. http://www.elwatan.com/international/les-palestiniens-ne-veulent-plus-d-une-solution-negociee-avec-israel-05-11-2014-276666_112.php
Aniss Z.
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De : Cuba Coopération France <newsletter@cubacoop.org>
Date : 6 novembre 2014 18:15
Objet : La lettre électronique Hebdo de Cubacoopération
Les nouveautés depuis le 30 octobre
La lettre électronique Hebdo de CubacoopérationChers amis, La sanction est une nouvelle fois tombée. À l’ONU, la quasi-unanimité des pays a condamné le blocus imposé par les États Unis à Cuba. De plus en plus des voix s’élèvent dans le monde pour demander à Barak Obama d’en finir avec ce scandale. Et c’est de plus en plus le cas venant des États Unis même. Comme nous l’avons réaffirmé par la voix de notre secrétaire général Bernard Montagne, le blocus a couté et coute fort cher au peuple cubain. Il faut donc non seulement le stopper, mais il faut aussi que les USA indemnisent ce petit pays, qui vient encore de montrer au monde sa solidarité dans le drame de l’Ebola ! Ces dernières semaines, vous avez eu le plaisir et l’avantage de pouvoir lire une série d’articles publiés en espagnol et traduits en français grâce à notre fidèle équipe, qui vient de s’enrichir d’une nouvelle amie. Bienvenue à elle et merci à toute l’équipe. Quand nous consultons les statistiques de visites du site, nous constatons que ce sont ces articles qui sont les plus consultés…car ils sont, comme ceux de notre ami journaliste Michel Porcheron, originaux, inédits. Avec l’aide technique de nos amis Gérard et Clément, nous poursuivons notre mise à jour du site et par cela même de cette Lettre hebdomadaire. N’hésitez pas à nous écrire. |
1 – Vous pouvez vous désinscrire de cette lettre d’information en suivant le lien ci-dessous ! Donc, s’il-vous-plaît, n’utlisez pas le bouton « Ceci est un Spam/Courrier indésirable » de votre logiciel de messagerie !
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