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19 avril 2024

Le journal de Joseph Tapa


 


 

 

 

 

 




 

 













Bouillonnement révolutionnaire…

 

Joseph TAPA

 

 

Gabon | Le Faux en écriture entrouvrirait-il une nouvelle force de révolution africaine à l’exemple Burkinabé ?le 13 nov 14
Bien qu’il soit de coutume navrante que la manifestation d’un intérêt politique majeur relatif à l’Afrique le soit encore de pratique du fait de non Africain,

après les sollicitations de l’État français invitant le président d’alors Burkinabé, Blaise Compaoré, à prendre les bonnes décisions se ponctuant par sa démission puis annonçant avoir couvert sans drame sa fuite ; d’une autre manifestation de fait de non Africain triturant une autre société africaine, gabonaise, secouée des déclarations/dénonciations d’un auteur français, Pierre Péan, agitant la société civile et politique gabonaise et au delà, sur le « présupposé » Faux en Écriture -réécriture- dans la rédaction de l’acte de naissance dit originel, de l’actuel président du Gabon, Ali Bongo Ondimba, née en 1959 Alain Bongo.

 

Selon l’accusateur Pierre Péan, l’acte de naissance « dit originel » produit au dépôt de candidature à l’élection présidentielle d’août 2009 (au résultat tout aussi contesté par l’évocation d’allégations de Faux en renversement par inversement de l’ordre d’arrivée et des suffrages exprimés au profit de l’actuel président accablé de Faux et Fraude), l’acte de naissance « dit originel » produit mentionne -étonnamment- un patronyme ajouté (Ondimba) et un prénom modifié Ali (après conversion à l’islam en 1973 du chef de famille à laquelle est rattaché le concerné actuel président du Gabon).

 

À moins d’une évolution de la perception…, il est compréhensible que l’auteur de mention(s) erronée(s) sur acte administratif ou privé protégé de force juridique puisse en être poursuivie de sanction en responsabilité en hypothèse de négligence dans la rédaction ou de mauvaise intention traduisant le Faux en écriture. Tout comme ne saurait être négligée la responsabilité du bénéficiaire qui en connaissance du caractère frauduleux en tire d’usage bénéfice abusif. Sans qu’il soit tout aussi ignoré la possibilité de sanctionner en responsabilité collective et fonction du degré d’implication du bénéficiaire de l’acte frauduleux dans sa constitution.

 

L’agent administratif auteur de l’acte de naissance produit par Ali Bongo Ondimba, devrait voir sa responsabilité engagée par l’établissement d’un Faux en écriture. Toutefois le bénéficiaire qui en fit usage profitable devrait voir sa responsabilité dégagée, à moins de complicité, par la preuve qu’il n’en avait pas conscience et connaissance du caractère frauduleux de l’acte : Ali Bongo Ondimba ne savait-il pas qu’il est né Alain Bongo ?

 

En outre, nul n’étant censé ignorer la loi : Ali Bongo Ondimba ne sait-il pas que le bénéfice d’un acte frauduleux est interdit de sanction pénale et encours annulation avec restitution des produits de l’acte ?

 

Le principe de représentation « en démocratie », tel que révélé sous d’autres cieux (Chine comprise) dont l’Afrique se réfère à/en tout, impose la démission de mandat représentatif des populations de tout auteur ou bénéficiaire de Faux : Ali Bongo Ondimba saurait-il poursuivre l’ancrage du bon sens au Gabon en démissionnant pour usage à bénéfice de Faux en écriture ? À moins d’autre(s) considération(s) d’intérêt(s) supérieur(s) de l’État que ne peuvent comprendre les populations comme l’assénait à son temps Blaise Compaoré pour se maintenir au pouvoir !

 

Joseph Tapa

07/11/14Manipulation-désinformation: Quelle nécessaire à inconditionnelle sanction africaine s’impose ?

Quelle attitude opte t-on pour se démarquer d’une situation à laquelle on était pleinement partie prenante et dont-on ne souhaite quelle vous éclabousse une fois l’affaire devenue puante…: ?

 

Invraisemblablement avec la montée en puissance dans l’information et manipulation des nouvelles technologies de communication avec le concours en renfort de complicité des médias : L’accablement de l’ex autre partie de façade en serait la norme d’une amicale ironie.

Dans la chute de fuyant ex président Burkinabé, Blaise Compaoré ;  la France  se drapant de mérite d’action eu d’aussitôt, d’auréole recherchée, la fuite enclenchée à aboutie, à communiquer sur son rôle déterminant sans drame eût-elle à appuyer sur l’exfiltration de Compaoré. Ce denier se gargarisant pourtant de patriotisme exacerbé, tel un rat quittant le navire chancelant, abandonna le pouvoir contenu dictatorialement avec la complicité étrangère.

 

La France qui s’accommoda fort agréablement depuis pas moins de vingt sept années des fourberies du faiblard fuyant, que l’on voudrait à certains égards présenter de noble pour n’avoir pas usé de la force et du feu des armes contre la population assaillant le palais où il s’était retranché avant sa carapate, comme s’il avait de réel une autorité sur les forces en armes qui l’ont concrètement lâché à pourrir seul….:  La France  se sentant menacée d’accusation de complicité directe des méfaits innombrables du lâche fuyard Compaoré, use de la diabolisation de son séide putatif pour en distraire les esprits de son fait malsain, avec le concours manipulateur des médias à sa solde sous certainement le fumant de solidarité d’intérêt général ! Cet ainsi qu’un média radiophonique dont il serait de fétide honneur d’en faire suivre les notes, et qui s’affuble de l’appellation radio france internationale, s’en prend d’un empressement dilatoire ou du moins de fuite en avant à tailler au travers de publications assassinent un costume maléfique au fuyard déchu Compaoré.

 

Ce média qui n’avait et éprouvait grande joie et éloge à couvrir tapageusement et d’idolâtrie émoustillante à seriner de modèle en enchantement les sorties du lâche fuyard, blaise Compaoré ; Cet infecte média, de propagande malsaine, en service certainement recommandé à moins d’incohérence abjecte, se découvre un talent caché, au travers de publications dont-il fut ici sain choix à ne pas en faire le relais, à révéler les fioritures et décevantes facettes du fuyard Compaoré accablé soudainement de nombres de méchancetés enfouies et propres.

 

Qui se sent morveux se mouche dit-on…sans en omettre que qui veut se séparer d’une chose et masquer sa malfaisance complice l’accuse ou autrui dont la séparation est prônée !

 

En somme, une fois de plus se révèle qu’être en affaire ou complicité avec de sournois mesquins ne génère point d’amitié. Enfin, il ne saurait pour peu que l’on veuille bien faire les choses et investiguer de juste instruction judicaire sur le néfaste bilan et les méfaits de l’ère Compaoré, le faire honnêtement sans en accoler ses soutiens de puissances étrangères et démembrements de toute sorte en complicité notamment les médias, fussent-ils et surtout outre Afrique.

 

Joseph Tapa

La dernière et puissante roublardise de Blaise Compaoré se peaufine.le 31 Octobre 14Le contexte de brouillard politique à faire croire que le pouvoir soit vacillant ou transmis et/ou en voie de l’être, subitement sans contrôle,

susurrant d’impression un coup fatal porté à victoire contre le pouvoir, resplendit de manigances (que les discours argumenteront républicain) dont s’est jusqu’ici montrées fort à l’aise en maître Blaise Compaoré ! Il serait se laisser bercer de chansonnette que de croire résout d’un coup de menace ou de désapprobation de la société civile, le sort de l’Homme qui se construit tapis dans l’ombre de la trahison.

 

Trahison dont Blaise Compaoré dit le Blaiso, d’une expression variante africaine du syndrome dit de Stockholm, sacrifiée en lui au départ de sa prise de pouvoir par l’assassinat d’une icône africaine, Thomas Sankara. Et irisant son parcours de médiateur international (choisi à nommé de l’étranger non africain) dans de nombreux conflits post-coloniaux africains, ne s’offusquant point à jouer l’intermédiaire porteur des vues étrangères à l’Afrique, soucieux de s’affubler défendre de proximité locale africaine les intérêts primordiaux transversaux étrangers à l’Afrique, en usant à succès la manipulation de roublardise.

 

Le Blaiso s’est au fil des temps nuageux que connurent à maintes reprises le Burkina Faso, à travers nombres de manifestations à mécontentements violent que stimulent d’encouragement la pauvreté endurcie d’un peuple jeune en souffrance d’expression de vaillance ; le Blaiso, d’endurance de maîtrise de la gestation au savoir faire d’assèchement de la trahison, s’est taillé une carapace épaisse de pachyderme sous un déambulement de mollusque : Pour que soit simplet de croire que la mise en avant de la cohorte de séides militaires, bombardés officiers supérieurs, s’ambitionnant à se porter à la tête d’une transition fixée arbitrairement et envisagée par qui (?) puis repris dans une adresse à la nation par le Blaiso, officiers obligés à l’égard du Blaiso dont-ils sont bien plus redevable que du prestige pompeux des étoiles !

 

Le Blaiso étant suffisamment averti de la qualité des Hommes à s’entourer, depuis son fait de trahison à l’endroit de son Éternel meilleur Ami Sankara : Pour qu’il soit simplet de croire à se laisser berner de chansonnette, de changement conquis à envisagé, que Blaise Compaoré non mis aux arrêts ni destitué par ses acolytes en responsabilités majeures dans les institutions de l’État et notamment l’armée dont la frange la plus habile lui est dévouée : ne soit pas de toute liberté accompagné de ceux de l’étranger dont-il défend depuis plus d’un quart de siècle les intérêts en Afrique, à l’œuvre des manigances actuelles dont l’important serait la mise sous contrôle de la nature et du cadre de la prétendument alternance offerte aux populations….!

 

Blaise Compaoré d’une habilité à détendre l’atmosphère (gagner du temps) entend laisser croire qu’il contente (use de la duperie de l’illusion de contentement) tous les camps….le médiateur international expert en roublardise serait une fois de plus entrain de noyer les contestations vaincues de passées à plusieurs reprises, y compris de nombres de mutineries touchant même sa garde républicaine.

 

L’important étant à déceler le nécessaire ou l’absolue teneur prônée d’intérêts supérieurs de la nation, à sauvegarder (si propre à l’interne Burkinabé ou de rayonnement africain), et qui fasse que Blaise Compaoré soit et reste en fonction pour quelconque durée (transition envisagée de douze mois) au delà de l’expiration de son dernier mandat constitutionnel en cours d’exercice et à terme de 2015.

 

La révolution, la rectification, le changement, ne pouvant être pour peu que cela ait un sens et une portée sincère à crédible être habitée par les personnes qui sont désavouées ! En somme la clique mise en place et portée de complicité par le régime Compaoré et notamment les militaires qui jouent du clairon d’assurance et distraction des populations avides de débarrasser le plancher du sommet des institutions de l’odeur de Blaise Compaoré.

 

Blaise Compaoré Démission ou Départ Forcé…

 

Après avoir réalisé la trahison d’abandon des forces armées en soutien des institutions, laissant les populations s’adonner à la destruction et aux pillages des aménagements et ouvrages publics, alors qu’au début de traîtrise, Blaise Compaoré, aurait tenté un coup de force en s’appuyant sur une partie de l’armée qui ne se prononça pas sur sa destitution…il aura fallu une nuit de calme d’une journée agitée diplomatiquement avec les rencontres de différentes forces de l’ambassadeur français local, et de tractations -que l’on dira- internationales sanctionnées de l’appel du président français, François Hollande, invitant le président Burkinabé encore en exercice à prendre les bonnes décisions : Pour que soit officialisé le départ en abandon du pouvoir en ce jour par Blaise Compaoré.

 

Qui donc obtint le départ du président du Burkina Faso de ses fonctions ? La France  ou le peuple Burkinabé ? La souveraineté en Afrique est-elle existante, sous-traitée ou sous-tutelle ?

Se pose tout aussi envers qui les forces en armes en Afrique expriment leur loyauté et allégeance ? Les institutions ou les formateurs outre Afrique ?

 

Est-il étonnant ou diablerie que les medias occidentaux et spécifiquement français s’adonnent généreusement de couverture de tour d’édition des événements au Burkina Faso ? Quelle crise institutionnelle africaine mérita un tel traitement ? N’est-ce pas au travers du cas Burkinabé réinvestit de reprise sournoise les brides marges de libertés consenties aux africains et chantonnées d’indépendances données par les anciens colons en souffrance de réinvestir de nouveau d’enrichissement propre l’Afrique ?

 

Le Burkina Faso n’étant pas connu pour ses richesses tels les deux Congo (Brazzaville, Kinshasa) où les présidents actuels souffrent de la tentation de se maintenir au pouvoir en dépit d’interdictions constitutionnelles : N’est-ce pas de ce contexte de menace de déchéance brutale, sur fond de transfèrement tel Laurent Gbagbo (Côte d’Ivoire) devant la cours pénale internationale, invité les dirigeants africains en souffrances de continuité d’exercice du pouvoir institutionnel suprême à mieux courber l’échine aux desideratas instigués outre Afrique ? La souveraineté africaine est-elle existante ?

 

Blaise Compaoré n’est certes pas fort aimé auprès des populations africaines, et nombres de progressistes de tous horizons, s’intéressant aux questions politiques, du fait de sa propre trahison fatale à l’endroit de son éternel ami dont-il cautionna l’assassinat, l’illustre icône Thomas Sankara ! Toutefois, l’ivresse de joie de son départ -de la sorte présentée sous diktat outre Afrique- se devrait d’être mesurée et relativisée d’excitation….les marionnettes ne se trouvant voire retrouvant pas outre Afrique !

 

Joseph Tapa

Ps: La Chine prendra certainement enseignement en ce qui concerne l’Afrique avec comme bel sauve conduite qu’elle ne se mêle pas des questions d’ordres de politiques interne aux États africains.

Afrique-indépendance| Compaoré se voudrait porte étendard !le 28 Octobre 14L’Africain en est et serait encore à toujours réduit à rechercher être accepté, aimé, apprécié, écouté, respecté, tout simplement à exister dans l’autorisation et encadrements d’autres et spécifiquement non Africain.

Ci-dessous reproduit un « stupéfiant » morceau choisi, non sorti à détourné de son contexte, d’une interview accordée récemment à média non africain (BBC) de l’encore actuel président, Blaise Compaoré, du Burkina Faso :

« Vous ne voyez pas le Burkina se mêler de comment on organise la vie politique, en France ou aux Etats-Unis. CE QUE NOUS SOUHAITONS, C’EST D’AVOIR cette liberté d’organiser notre vie politique, de construire, par nos valeurs et nos choix, la démocratie et la vie républicaine », a affirmé M. Compaoré. »

 

Le désolant, de balivernes réchauffées poursuivant plutôt subtilement l’inénarrable mise à disposition (soumission) de vues étrangères à l’Afrique, en est de s’interpeller sur ce qui fût à est fait voire entrepris -de positif- à quelconque niveaux institutionnels et infrastructurels en interne en Afrique pour matérialiser ce souhait et cette volonté de liberté !

 

Joseph Tapa

Afrique-Révolution| les enfants actuel d’Afrique en sont-ils instigateurs, capables, ou pions !le 12 Nov 14

Touché par l’enthousiasme jouissif enivré se dégageant de cette image de liesse venue d’Afrique à la destitution d’un président en exercice, selon le modèle organisationnel occidental importé tout du moins imposé sans gêne ; Surpris d’étonnement de la portée et puissance de telle représentation : Vient tout bonnement à l’esprit à savoir de quel succès s’est-il agit ? Avec comme frein interpellant en poursuite d’interrogation poussée à savoir de quel succès les populations africaines peuvent-elles concrètement se prévaloir dans la construction actuelle de leur société et environnement ?

 

Se gargariser du départ d’un Homme tout en conservant et perpétuant le système dont-il jubilait en méconnaissance et maltraitance des peuples d’une nation : Sonne t-il de cohérence ? Ne renvoi t-il pas à s’interpeller de la réalité de l’impact populaire dans l’enchantement célébré ?

 

L’insulte se devant d’être saisi tel un défi…

 

Afrique-Changement : l’hydre a aussi pour tête la dite Union Africaine.

 

Tout porte de certitude que l’organisation dite internationale africaine dénommée Union Africaine, dans la droite ligne de la persévérance de l’humiliation à l’asservissement des Africains, comme naguère au temps des colonisations…si tant est qu’évolution soit ou puisse en être, poursuit l’insécurité et l’affaiblissement intellectuel des Africains qu’il soit du Nord au Sud ou de l’Est à l’Ouest. Avec un penchant violent en ce qui concerne la composante noire d’Afrique.

 

La Libye baigne dans une déchéance béante : Point de sanction envisagée ! L’Égypte est plongé dans une anomalie institutionnelle et dénie de l’expression populaire : Point de sanction scandée !  La Tunisie  s’embourbe dans un fatras infect : Point de sanction ambitionnée ! Le Maroc, l’Algérie sont intentionnellement pris en otage : Point de menace de sanction exprimée ! Mais alors ailleurs en Afrique dite subsaharienne, le moindre mouvement contraire aux vues de l’international occidental : Que de sortilèges de menaces et sanctions prônées de mise au pas !

 

Un fait est : On ne peut être indépendant de qui finance….ainsi l’Union Africaine, dans sa conception et représentation actuelle, financée à pas moins 77% par l’Union Européenne, ne saurait être au service même infime de l’Afrique et des Africains.

 

Si révolution doit être portée en Afrique, tout comme l’on neutralise la bête en lui coupant la tête, c’est assurément en neutralisant cette institution qui se dit et se voudrait majeure de la représentation internationale africaine.

 

Reste à poser la question à quelconque progressiste en Afrique : dans quel acte se retrouve t-il des faits concrets et non intentionnels ou scandés de l’Union Africaine !?

 

Peut-il raisonnablement être dit de révolution des actes concourant au conservatisme ?

 

Comment comprendre autrement le ballet des leaders président africains et émissaires internationaux se déplaçant « dit-on au chevet » du Burkina Faso (malade du fait de ses populations ?), à la suite de la chute ou renversement populaire (…) du fuyard prétendument patriote Blaise Compaoré, si ce n’est spécifiquement s’assurer de continuité au changement -clamer et réclamer- à faire valoir l’attribut leur collant (triturant) en esprit de veille en dévotion : à rendre impossible l’impossible !?

 

En quoi des personnes qui en interne chez eux n’écoutent guère à n’en n’ont cure de leurs propres populations peuvent-ils être d’un secours positif ailleurs ? Que peuvent-ils porter de meilleur que le conservatisme dont-ils prospèrent (en maléfique perdurant) ?

 

Les Africains étant de béant absent à toute emprise de maîtrise à leur propre évolution ! Et de pire, d’actuel, dans le concours humain aux évolutions sociétaires, sociales, etc !

 

L’illustre défunt modèle Africain, anciennement jeune fringant avant-gardiste président du Burkina Faso, Thomas Sankara, clamant et réclamant la nécessité de sortie progressive des dépendances et autres obstacles à l’expression africaine, ne le fut-il pas assassiné (prime) du fait qu’il encouragea les populations à se mouvoir autrement d’eux-mêmes, de propres faits, dignement de salut, au point d’en effrayer de contagion au delà des frontières du Burkina Faso et outre Afrique !? Du moins rendre possible ce que l’on voudrait et s’inoculerait d’impossible de faits Africains.

 

Quel(s) intention(s) autre(s) que perpétrer l’impossibilité de l’impossible changement de la représentation populaire définie ailleurs et rejetée des jeunesses africaines à l’instar de celle du Burkina Faso accablées, s’activent, alors que non sollicités, ces voyageurs de conseils méprisant à insulte les aspirations populaires !?

Rendre impossible l’impossible…tel se dévoile être la sangle arrimée sur l’essor africain.


Falsification des consciences….

 

Qu’est-ce dont ou comment qualifier l’ébauche chantonnée de miracle en vue en Afrique par l’évocation glorieuse d’Émergence sociétaire, quand cette poursuite s’instruit dans un degré de dépendance totale à l’aide extérieure à quelconque majeure réalisation ?

 

L’Émergence pensée et construite de la sorte sert-elle les populations africaines !?

 

En quoi serait-il malheur pour l’Afrique à ce que sa construction s’instruise à piétine d’apprentissage ouverte à l’expérience de ses propres moyens en toutes sortes !? En quoi l’assistance extérieure est-elle positive ou nécessaire à indissociable à l’indépendance africaine dans le concours de la maîtrise africaine de sa construction !?

 

Ce qui en outre s’enracine de déroutant en est de la portée de l’Émergence sous l’aide extérieure, dont l’ambition n’a de vue que la ressemblance à l’obsolescence programmée des sociétés occidentales….la fierté s’enracinant en analogie d’être aussi consommateur des réalisations subsidiaires et non déterminantes extérieures !

 

Ce à quoi contribuent désolément les enchantés thuriféraires africains en souffrance de glorification, assurément convaincu d’inaptitudes personnelles, se dévoyant de scande à la gloire de Chine en Afrique, s’époumonant de fierté criarde à quelconque annonce de copie technologique chinoise dans l’apprentissage concurrentiel de l’évolution sociétaire, participant toute honte non bue allègrement au processus de falsification des consciences africaines en louant l’action substitutionnelle !

 

Le retard persistant d’attardement de l’Afrique ne réside t-il pas principalement dans la profusion d’une certaine mentalité d’Africains en souffrance…dira t-on de solidité d’esprit ?

 

Joseph Tapa

Afrique-Chef d’État | Qu’en est-il de leur légitimité !
le 04 Nov 14À la suite de la prétendue éviction du pouvoir au Burkina Faso, de Blaise Compaoré, par le peuple et des composantes de forces vives et armées de cette nation,après méditation au su des déclarations

Internationales (françaises entre autres sur le déroulement -issue- sans drame pour le président déchu), des exhortations et ultimatum de l’international dont l’Union Africaine sous la coupole de l’Union Européenne sa principale financière : L’Interpellant en serait pour les Africains, nous dirons aussi les progressistes s’il en est, à savoir quel dirigeant en Afrique n’est pas arrivée au pouvoir par la volonté étrangère ?

 

Quel dirigeant en Afrique fut sincèrement porté au pouvoir par la saine et non manipulée volonté populaire ? Ceci pour qu’il puisse être imaginé que le peuple en Afrique puisse être vecteur de la déchéance d’un dirigeant qu’il ne lui doit rien !

 

Compaoré n’a t-il pas sitôt parti « sans drame » exprimé sa reconnaissance à la France  et les États-Unis et sa simple gratitude -de formalisme- à l’Union Africaine et  la CEDEAO  : Le message n’en dit-il pas assez sur la représentation ou la dévolution et le revers de déchéance du pouvoir en Afrique !?

 

Quel dirigeant en Afrique, scarifié de jeunesse et vécu de colonisé pour l’essentiel, fut porté au pouvoir par la simple volonté populaire africaine pour qu’il puisse être envisagé des réjouissances à espérance de répercutions à propagation d’effet domino dans l’éviction prétendument populaire d’un des obligés outre Afrique ?

 

L’Afrique peut-elle, si moyen existe, veut-elle, se passer de l’adoubement outre Afrique ? Ne sont-ils pas légions ces prétendants au pouvoir en Afrique qui n’ont qu’à Cœur de séduire et de servir en préalable outre Afrique.

 

Joseph Tapa

Ps: Du plus ou moins politisé africain, du plus ou moins politique africain, des populations africaine (d’ensemble), se dégagent-ils ancrées des convictions portées d’absolues : Pour s’imaginer y voir émerger, dans la représentation actuelle, une quelconque maîtrise africaine trempée de soucie de dignité et marquée de volonté propre dans l’organisation sociétaire et le choix du principal ou premier représentant institutionnel !?

L’Afrique sciemment et volontairement malmenée d’acceptation africaine.
le 04 Nov 14N’en déplaise: il est un fait que l’Occident a sciemment détruit l’Afrique et ses enfants, par nécessité à neutraliser le prospérant de la civilisation africaine et ses Hommes, pour en être en conséquence maître des tribulations africaines et états d’âmes des enfants d’Afrique !

L’Occident en est de succès à diligenter à gouverner à diriger, les spasmes d’excitations au larmoyants des enfants d’Afrique. Ebola apparaît à réapparaît, la stupeur bien illustrée par la médiatique occidentale attriste les enfants d’Afrique assaillis de toutes parts de lacunes à carences propres non conforme à la représentation sociétaire occidentale. Le coup d’humiliation, en mise en projection à renouvellement d’avilissement, se tempère d’une orchestration bien plus humiliante, en prolongation d’asservissement, de libéralisation par l’enchantement de s’être débarrassé (l’Occident indubitablement) d’un ponte dictateur de la gouvernance occidentale en Afrique.
Si les peuples se libéraient d’eux-mêmes des dictatures, indéniablement l’organisation sociétaire de conception occidentale n’aurait à jamais été existante. Et tout au moins, il reviendrait alors aux populations occidentales à/de libérer l’Afrique de la gouvernance occidentale !

 

En somme tant que l’Afrique et ses enfants verront et laisseront juguler les tribulations et états d’âmes, de la déception au jouissif, par l’Occident : à jamais ils (Afrique et enfants d’Afrique) ne seront à jamais libre et maître de leurs évolutions….ce qui fatalement pour l’Afrique ne gène guère que du bout des lèvres, celles et ceux qui ont inoculé de salutaire la représentation du meilleur de l’Afrique dans le profit secondaire des tourments occidentaux et d’autres en herbe tel l’Asie et la fameuse Chine.

 

Le comble d’ignominie en est de voir certains enfants d’Afrique, pour qui l’on argumentera d’esquive « en décharge » de déficit de condition à bonne compréhension, s’esclaffer à scander à revendiquer le victorieux de manipulation étrangère…assombrissant encore plus l’absence fatale de dignité.

 

Le pire en est d’entrevoir de la représentation africaine actuelle, qu’aucuns actes et faits internes ou d’enfants d’Afrique ne soient en mesure de faire vaciller à s’approprier le diktat de la direction occidentale et en vue asiatique de l’expression d’état d’âmes des enfants d’Afrique.

Si révolution libératoire puisse en être de salut africain, et par conséquent de l’Afrique, se peut-il quelle le soi autrement que manifestation d’un hiatus d’avec l’Occident et autres en herbe (Chine) de leurs emprises multiples sur l’Afrique ? Autrement un rejet populaire de tout ce qui de près ou de loin renverrait à infiltrer à perpétuer l’avilissement à l’asservissement aux desideratas en satisfaction outre Afrique de bonne représentation africaine ? Et au premier duquel s’impose le modèle organisationnel sociétaire qu’est la prétendue démocratie et ses avatars confinés de dictature et autres sous ensembles !

 

Joseph Tapa

28/10/14Afrique-Chine: L’entente Bénéfique !?

Que dire de la pratique d’entente à partenariat, que porte  la Chine  en Afrique, sous préalable conditions à obligations de respect de la nature et l’environnement local africain duquel par ailleurs sont tirés les contreparties d’investissements chinois, volontairement bafoué de non respect de l’écho système africain et la santé actuelle et future des populations locales par le partenaire chinois : qui par la suite se dispose favorable à s’acquitter de pénalités financières ?

Nul doute qu’un partenaire qui sciemment trahi la confiance à lui porter, dévoile la marque de considération qu’il portait de départ d’entente au partenariat à l’égard de l’autre partenaire et marque de considération qui l’anime et parcoure. Nul doute que des pénalités non rédhibitoires ne peuvent et ne sauraient pas conduire à un changement d’attitude du félon partenaire (chinois).

 

À moins qu’il soit intronisé une infâme pratique d’enrichissement illicite ! Qui voudrait que le procédé mécanique des pénalités de non respect grossier au détriment de cessation de partenariat, soit consenti et prévu de départ à aménagé tout au long d’exécution du partenariat : au profit d’un groupuscule (partenaires dirigeants/responsables Africains) avec des contreparties de récupération (partenaire asiatique/chinois) des pénalités allouées et échelonnées de nouveaux partenariats de même esprit !

 

Que dire de telle pratique à concussion…Que la chine se porte favorablement au secours de l’Afrique !?

 

Joseph Tapa

Ps: Le propos ci-dessus découle d’une volontaire transgression de partenariat d’exploitation pétrolière par l’entremise chinoise au Tchad qui se conclurait par l’acquittement de simples pénalités.

 

Manipulation-désinformation: Quelle nécessaire à inconditionnelle sanction africaine s’impose ?

Quelle attitude opte t-on pour se démarquer d’une situation à laquelle on était pleinement partie prenante et dont-on ne souhaite quelle vous éclabousse une fois l’affaire devenue puante…: ?

 

Invraisemblablement avec la montée en puissance dans l’information et manipulation des nouvelles technologies de communication avec le concours en renfort de complicité des médias : L’accablement de l’ex autre partie de façade en serait la norme d’une amicale ironie.

Dans la chute de fuyant ex président Burkinabé, Blaise Compaoré ;  la France  se drapant de mérite d’action eu d’aussitôt, d’auréole recherchée, la fuite enclenchée à aboutie, à communiquer sur son rôle déterminant sans drame eût-elle à appuyer sur l’exfiltration de Compaoré. Ce denier se gargarisant pourtant de patriotisme exacerbé, tel un rat quittant le navire chancelant, abandonna le pouvoir contenu dictatorialement avec la complicité étrangère.

 

La France qui s’accommoda fort agréablement depuis pas moins de vingt sept années des fourberies du faiblard fuyant, que l’on voudrait à certains égards présenter de noble pour n’avoir pas usé de la force et du feu des armes contre la population assaillant le palais où il s’était retranché avant sa carapate, comme s’il avait de réel une autorité sur les forces en armes qui l’ont concrètement lâché à pourrir seul….:  La France  se sentant menacée d’accusation de complicité directe des méfaits innombrables du lâche fuyard Compaoré, use de la diabolisation de son séide putatif pour en distraire les esprits de son fait malsain, avec le concours manipulateur des médias à sa solde sous certainement le fumant de solidarité d’intérêt général ! Cet ainsi qu’un média radiophonique dont il serait de fétide honneur d’en faire suivre les notes, et qui s’affuble de l’appellation radio france internationale, s’en prend d’un empressement dilatoire ou du moins de fuite en avant à tailler au travers de publications assassinent un costume maléfique au fuyard déchu Compaoré.

 

Ce média qui n’avait et éprouvait grande joie et éloge à couvrir tapageusement et d’idolâtrie émoustillante à seriner de modèle en enchantement les sorties du lâche fuyard, blaise Compaoré ; Cet infecte média, de propagande malsaine, en service certainement recommandé à moins d’incohérence abjecte, se découvre un talent caché, au travers de publications dont-il fut ici sain choix à ne pas en faire le relais, à révéler les fioritures et décevantes facettes du fuyard Compaoré accablé soudainement de nombres de méchancetés enfouies et propres.

 

Qui se sent morveux se mouche dit-on…sans en omettre que qui veut se séparer d’une chose et masquer sa malfaisance complice l’accuse ou autrui dont la séparation est prônée !

 

En somme, une fois de plus se révèle qu’être en affaire ou complicité avec de sournois mesquins ne génère point d’amitié. Enfin, il ne saurait pour peu que l’on veuille bien faire les choses et investiguer de juste instruction judicaire sur le néfaste bilan et les méfaits de l’ère Compaoré, le faire honnêtement sans en accoler ses soutiens de puissances étrangères et démembrements de toute sorte en complicité notamment les médias, fussent-ils et surtout outre Afrique.

 

Joseph Tapa

La dernière et puissante roublardise de Blaise Compaoré se peaufine.le 31 Octobre 14Le contexte de brouillard politique à faire croire que le pouvoir soit vacillant ou transmis et/ou en voie de l’être, subitement sans contrôle,

susurrant d’impression un coup fatal porté à victoire contre le pouvoir, resplendit de manigances (que les discours argumenteront républicain) dont s’est jusqu’ici montrées fort à l’aise en maître Blaise Compaoré ! Il serait se laisser bercer de chansonnette que de croire résout d’un coup de menace ou de désapprobation de la société civile, le sort de l’Homme qui se construit tapis dans l’ombre de la trahison.

 

Trahison dont Blaise Compaoré dit le Blaiso, d’une expression variante africaine du syndrome dit de Stockholm, sacrifiée en lui au départ de sa prise de pouvoir par l’assassinat d’une icône africaine, Thomas Sankara. Et irisant son parcours de médiateur international (choisi à nommé de l’étranger non africain) dans de nombreux conflits post-coloniaux africains, ne s’offusquant point à jouer l’intermédiaire porteur des vues étrangères à l’Afrique, soucieux de s’affubler défendre de proximité locale africaine les intérêts primordiaux transversaux étrangers à l’Afrique, en usant à succès la manipulation de roublardise.

 

Le Blaiso s’est au fil des temps nuageux que connurent à maintes reprises le Burkina Faso, à travers nombres de manifestations à mécontentements violent que stimulent d’encouragement la pauvreté endurcie d’un peuple jeune en souffrance d’expression de vaillance ; le Blaiso, d’endurance de maîtrise de la gestation au savoir faire d’assèchement de la trahison, s’est taillé une carapace épaisse de pachyderme sous un déambulement de mollusque : Pour que soit simplet de croire que la mise en avant de la cohorte de séides militaires, bombardés officiers supérieurs, s’ambitionnant à se porter à la tête d’une transition fixée arbitrairement et envisagée par qui (?) puis repris dans une adresse à la nation par le Blaiso, officiers obligés à l’égard du Blaiso dont-ils sont bien plus redevable que du prestige pompeux des étoiles !

 

Le Blaiso étant suffisamment averti de la qualité des Hommes à s’entourer, depuis son fait de trahison à l’endroit de son Éternel meilleur Ami Sankara : Pour qu’il soit simplet de croire à se laisser berner de chansonnette, de changement conquis à envisagé, que Blaise Compaoré non mis aux arrêts ni destitué par ses acolytes en responsabilités majeures dans les institutions de l’État et notamment l’armée dont la frange la plus habile lui est dévouée : ne soit pas de toute liberté accompagné de ceux de l’étranger dont-il défend depuis plus d’un quart de siècle les intérêts en Afrique, à l’œuvre des manigances actuelles dont l’important serait la mise sous contrôle de la nature et du cadre de la prétendument alternance offerte aux populations….!

 

Blaise Compaoré d’une habilité à détendre l’atmosphère (gagner du temps) entend laisser croire qu’il contente (use de la duperie de l’illusion de contentement) tous les camps….le médiateur international expert en roublardise serait une fois de plus entrain de noyer les contestations vaincues de passées à plusieurs reprises, y compris de nombres de mutineries touchant même sa garde républicaine.

 

L’important étant à déceler le nécessaire ou l’absolue teneur prônée d’intérêts supérieurs de la nation, à sauvegarder (si propre à l’interne Burkinabé ou de rayonnement africain), et qui fasse que Blaise Compaoré soit et reste en fonction pour quelconque durée (transition envisagée de douze mois) au delà de l’expiration de son dernier mandat constitutionnel en cours d’exercice et à terme de 2015.

 

La révolution, la rectification, le changement, ne pouvant être pour peu que cela ait un sens et une portée sincère à crédible être habitée par les personnes qui sont désavouées ! En somme la clique mise en place et portée de complicité par le régime Compaoré et notamment les militaires qui jouent du clairon d’assurance et distraction des populations avides de débarrasser le plancher du sommet des institutions de l’odeur de Blaise Compaoré.

 

Blaise Compaoré Démission ou Départ Forcé…

 

Après avoir réalisé la trahison d’abandon des forces armées en soutien des institutions, laissant les populations s’adonner à la destruction et aux pillages des aménagements et ouvrages publics, alors qu’au début de traîtrise, Blaise Compaoré, aurait tenté un coup de force en s’appuyant sur une partie de l’armée qui ne se prononça pas sur sa destitution…il aura fallu une nuit de calme d’une journée agitée diplomatiquement avec les rencontres de différentes forces de l’ambassadeur français local, et de tractations -que l’on dira- internationales sanctionnées de l’appel du président français, François Hollande, invitant le président Burkinabé encore en exercice à prendre les bonnes décisions : Pour que soit officialisé le départ en abandon du pouvoir en ce jour par Blaise Compaoré.

 

Qui donc obtint le départ du président du Burkina Faso de ses fonctions ? La France  ou le peuple Burkinabé ? La souveraineté en Afrique est-elle existante, sous-traitée ou sous-tutelle ?

Se pose tout aussi envers qui les forces en armes en Afrique expriment leur loyauté et allégeance ? Les institutions ou les formateurs outre Afrique ?

 

Est-il étonnant ou diablerie que les medias occidentaux et spécifiquement français s’adonnent généreusement de couverture de tour d’édition des événements au Burkina Faso ? Quelle crise institutionnelle africaine mérita un tel traitement ? N’est-ce pas au travers du cas Burkinabé réinvestit de reprise sournoise les brides marges de libertés consenties aux africains et chantonnées d’indépendances données par les anciens colons en souffrance de réinvestir de nouveau d’enrichissement propre l’Afrique ?

 

Le Burkina Faso n’étant pas connu pour ses richesses tels les deux Congo (Brazzaville, Kinshasa) où les présidents actuels souffrent de la tentation de se maintenir au pouvoir en dépit d’interdictions constitutionnelles : N’est-ce pas de ce contexte de menace de déchéance brutale, sur fond de transfèrement tel Laurent Gbagbo (Côte d’Ivoire) devant la cours pénale internationale, invité les dirigeants africains en souffrances de continuité d’exercice du pouvoir institutionnel suprême à mieux courber l’échine aux desideratas instigués outre Afrique ? La souveraineté africaine est-elle existante ?

 

Blaise Compaoré n’est certes pas fort aimé auprès des populations africaines, et nombres de progressistes de tous horizons, s’intéressant aux questions politiques, du fait de sa propre trahison fatale à l’endroit de son éternel ami dont-il cautionna l’assassinat, l’illustre icône Thomas Sankara ! Toutefois, l’ivresse de joie de son départ -de la sorte présentée sous diktat outre Afrique- se devrait d’être mesurée et relativisée d’excitation….les marionnettes ne se trouvant voire retrouvant pas outre Afrique !

 

Joseph Tapa

Ps: La Chine prendra certainement enseignement en ce qui concerne l’Afrique avec comme bel sauve conduite qu’elle ne se mêle pas des questions d’ordres de politiques interne aux États africains.

Afrique-indépendance| Compaoré se voudrait porte étendard !le 28 Octobre 14L’Africain en est et serait encore à toujours réduit à rechercher être accepté, aimé, apprécié, écouté, respecté, tout simplement à exister dans l’autorisation et encadrements d’autres et spécifiquement non Africain.

Ci-dessous reproduit un « stupéfiant » morceau choisi, non sorti à détourné de son contexte, d’une interview accordée récemment à média non africain (BBC) de l’encore actuel président, Blaise Compaoré, du Burkina Faso :

« Vous ne voyez pas le Burkina se mêler de comment on organise la vie politique, en France ou aux Etats-Unis. CE QUE NOUS SOUHAITONS, C’EST D’AVOIR cette liberté d’organiser notre vie politique, de construire, par nos valeurs et nos choix, la démocratie et la vie républicaine », a affirmé M. Compaoré. »

 

Le désolant, de balivernes réchauffées poursuivant plutôt subtilement l’inénarrable mise à disposition (soumission) de vues étrangères à l’Afrique, en est de s’interpeller sur ce qui fût à est fait voire entrepris -de positif- à quelconque niveaux institutionnels et infrastructurels en interne en Afrique pour matérialiser ce souhait et cette volonté de liberté !

 

Joseph Tapa

Afrique-Révolution| les enfants actuel d’Afrique en sont-ils instigateurs, capables, ou pions !le 12 Nov 14

Touché par l’enthousiasme jouissif enivré se dégageant de cette image de liesse venue d’Afrique à la destitution d’un président en exercice, selon le modèle organisationnel occidental importé tout du moins imposé sans gêne ; Surpris d’étonnement de la portée et puissance de telle représentation : Vient tout bonnement à l’esprit à savoir de quel succès s’est-il agit ? Avec comme frein interpellant en poursuite d’interrogation poussée à savoir de quel succès les populations africaines peuvent-elles concrètement se prévaloir dans la construction actuelle de leur société et environnement ?

 

Se gargariser du départ d’un Homme tout en conservant et perpétuant le système dont-il jubilait en méconnaissance et maltraitance des peuples d’une nation : Sonne t-il de cohérence ? Ne renvoi t-il pas à s’interpeller de la réalité de l’impact populaire dans l’enchantement célébré ?

 

L’insulte se devant d’être saisi tel un défi…

 

Afrique-Changement : l’hydre a aussi pour tête la dite Union Africaine.

 

Tout porte de certitude que l’organisation dite internationale africaine dénommée Union Africaine, dans la droite ligne de la persévérance de l’humiliation à l’asservissement des Africains, comme naguère au temps des colonisations…si tant est qu’évolution soit ou puisse en être, poursuit l’insécurité et l’affaiblissement intellectuel des Africains qu’il soit du Nord au Sud ou de l’Est à l’Ouest. Avec un penchant violent en ce qui concerne la composante noire d’Afrique.

 

La Libye baigne dans une déchéance béante : Point de sanction envisagée ! L’Égypte est plongé dans une anomalie institutionnelle et dénie de l’expression populaire : Point de sanction scandée !  La Tunisie  s’embourbe dans un fatras infect : Point de sanction ambitionnée ! Le Maroc, l’Algérie sont intentionnellement pris en otage : Point de menace de sanction exprimée ! Mais alors ailleurs en Afrique dite subsaharienne, le moindre mouvement contraire aux vues de l’international occidental : Que de sortilèges de menaces et sanctions prônées de mise au pas !

 

Un fait est : On ne peut être indépendant de qui finance….ainsi l’Union Africaine, dans sa conception et représentation actuelle, financée à pas moins 77% par l’Union Européenne, ne saurait être au service même infime de l’Afrique et des Africains.

 

Si révolution doit être portée en Afrique, tout comme l’on neutralise la bête en lui coupant la tête, c’est assurément en neutralisant cette institution qui se dit et se voudrait majeure de la représentation internationale africaine.

 

Reste à poser la question à quelconque progressiste en Afrique : dans quel acte se retrouve t-il des faits concrets et non intentionnels ou scandés de l’Union Africaine !?

 

Peut-il raisonnablement être dit de révolution des actes concourant au conservatisme ?

 

Comment comprendre autrement le ballet des leaders président africains et émissaires internationaux se déplaçant « dit-on au chevet » du Burkina Faso (malade du fait de ses populations ?), à la suite de la chute ou renversement populaire (…) du fuyard prétendument patriote Blaise Compaoré, si ce n’est spécifiquement s’assurer de continuité au changement -clamer et réclamer- à faire valoir l’attribut leur collant (triturant) en esprit de veille en dévotion : à rendre impossible l’impossible !?

 

En quoi des personnes qui en interne chez eux n’écoutent guère à n’en n’ont cure de leurs propres populations peuvent-ils être d’un secours positif ailleurs ? Que peuvent-ils porter de meilleur que le conservatisme dont-ils prospèrent (en maléfique perdurant) ?

 

Les Africains étant de béant absent à toute emprise de maîtrise à leur propre évolution ! Et de pire, d’actuel, dans le concours humain aux évolutions sociétaires, sociales, etc !

 

L’illustre défunt modèle Africain, anciennement jeune fringant avant-gardiste président du Burkina Faso, Thomas Sankara, clamant et réclamant la nécessité de sortie progressive des dépendances et autres obstacles à l’expression africaine, ne le fut-il pas assassiné (prime) du fait qu’il encouragea les populations à se mouvoir autrement d’eux-mêmes, de propres faits, dignement de salut, au point d’en effrayer de contagion au delà des frontières du Burkina Faso et outre Afrique !? Du moins rendre possible ce que l’on voudrait et s’inoculerait d’impossible de faits Africains.

 

Quel(s) intention(s) autre(s) que perpétrer l’impossibilité de l’impossible changement de la représentation populaire définie ailleurs et rejetée des jeunesses africaines à l’instar de celle du Burkina Faso accablées, s’activent, alors que non sollicités, ces voyageurs de conseils méprisant à insulte les aspirations populaires !?

Rendre impossible l’impossible…tel se dévoile être la sangle arrimée sur l’essor africain.


Falsification des consciences….

 

Qu’est-ce dont ou comment qualifier l’ébauche chantonnée de miracle en vue en Afrique par l’évocation glorieuse d’Émergence sociétaire, quand cette poursuite s’instruit dans un degré de dépendance totale à l’aide extérieure à quelconque majeure réalisation ?

 

L’Émergence pensée et construite de la sorte sert-elle les populations africaines !?

 

En quoi serait-il malheur pour l’Afrique à ce que sa construction s’instruise à piétine d’apprentissage ouverte à l’expérience de ses propres moyens en toutes sortes !? En quoi l’assistance extérieure est-elle positive ou nécessaire à indissociable à l’indépendance africaine dans le concours de la maîtrise africaine de sa construction !?

 

Ce qui en outre s’enracine de déroutant en est de la portée de l’Émergence sous l’aide extérieure, dont l’ambition n’a de vue que la ressemblance à l’obsolescence programmée des sociétés occidentales….la fierté s’enracinant en analogie d’être aussi consommateur des réalisations subsidiaires et non déterminantes extérieures !

 

Ce à quoi contribuent désolément les enchantés thuriféraires africains en souffrance de glorification, assurément convaincu d’inaptitudes personnelles, se dévoyant de scande à la gloire de Chine en Afrique, s’époumonant de fierté criarde à quelconque annonce de copie technologique chinoise dans l’apprentissage concurrentiel de l’évolution sociétaire, participant toute honte non bue allègrement au processus de falsification des consciences africaines en louant l’action substitutionnelle !

 

Le retard persistant d’attardement de l’Afrique ne réside t-il pas principalement dans la profusion d’une certaine mentalité d’Africains en souffrance…dira t-on de solidité d’esprit ?

 

Joseph Tapa

Afrique-Chef d’État | Qu’en est-il de leur légitimité !
le 04 Nov 14À la suite de la prétendue éviction du pouvoir au Burkina Faso, de Blaise Compaoré, par le peuple et des composantes de forces vives et armées de cette nation,après méditation au su des déclarations

Internationales (françaises entre autres sur le déroulement -issue- sans drame pour le président déchu), des exhortations et ultimatum de l’international dont l’Union Africaine sous la coupole de l’Union Européenne sa principale financière : L’Interpellant en serait pour les Africains, nous dirons aussi les progressistes s’il en est, à savoir quel dirigeant en Afrique n’est pas arrivée au pouvoir par la volonté étrangère ?

 

Quel dirigeant en Afrique fut sincèrement porté au pouvoir par la saine et non manipulée volonté populaire ? Ceci pour qu’il puisse être imaginé que le peuple en Afrique puisse être vecteur de la déchéance d’un dirigeant qu’il ne lui doit rien !

 

Compaoré n’a t-il pas sitôt parti « sans drame » exprimé sa reconnaissance à la France  et les États-Unis et sa simple gratitude -de formalisme- à l’Union Africaine et  la CEDEAO  : Le message n’en dit-il pas assez sur la représentation ou la dévolution et le revers de déchéance du pouvoir en Afrique !?

 

Quel dirigeant en Afrique, scarifié de jeunesse et vécu de colonisé pour l’essentiel, fut porté au pouvoir par la simple volonté populaire africaine pour qu’il puisse être envisagé des réjouissances à espérance de répercutions à propagation d’effet domino dans l’éviction prétendument populaire d’un des obligés outre Afrique ?

 

L’Afrique peut-elle, si moyen existe, veut-elle, se passer de l’adoubement outre Afrique ? Ne sont-ils pas légions ces prétendants au pouvoir en Afrique qui n’ont qu’à Cœur de séduire et de servir en préalable outre Afrique.

 

Joseph Tapa

Ps: Du plus ou moins politisé africain, du plus ou moins politique africain, des populations africaine (d’ensemble), se dégagent-ils ancrées des convictions portées d’absolues : Pour s’imaginer y voir émerger, dans la représentation actuelle, une quelconque maîtrise africaine trempée de soucie de dignité et marquée de volonté propre dans l’organisation sociétaire et le choix du principal ou premier représentant institutionnel !?

L’Afrique sciemment et volontairement malmenée d’acceptation africaine.
le 04 Nov 14N’en déplaise: il est un fait que l’Occident a sciemment détruit l’Afrique et ses enfants, par nécessité à neutraliser le prospérant de la civilisation africaine et ses Hommes, pour en être en conséquence maître des tribulations africaines et états d’âmes des enfants d’Afrique !

L’Occident en est de succès à diligenter à gouverner à diriger, les spasmes d’excitations au larmoyants des enfants d’Afrique. Ebola apparaît à réapparaît, la stupeur bien illustrée par la médiatique occidentale attriste les enfants d’Afrique assaillis de toutes parts de lacunes à carences propres non conforme à la représentation sociétaire occidentale. Le coup d’humiliation, en mise en projection à renouvellement d’avilissement, se tempère d’une orchestration bien plus humiliante, en prolongation d’asservissement, de libéralisation par l’enchantement de s’être débarrassé (l’Occident indubitablement) d’un ponte dictateur de la gouvernance occidentale en Afrique.
Si les peuples se libéraient d’eux-mêmes des dictatures, indéniablement l’organisation sociétaire de conception occidentale n’aurait à jamais été existante. Et tout au moins, il reviendrait alors aux populations occidentales à/de libérer l’Afrique de la gouvernance occidentale !

 

En somme tant que l’Afrique et ses enfants verront et laisseront juguler les tribulations et états d’âmes, de la déception au jouissif, par l’Occident : à jamais ils (Afrique et enfants d’Afrique) ne seront à jamais libre et maître de leurs évolutions….ce qui fatalement pour l’Afrique ne gène guère que du bout des lèvres, celles et ceux qui ont inoculé de salutaire la représentation du meilleur de l’Afrique dans le profit secondaire des tourments occidentaux et d’autres en herbe tel l’Asie et la fameuse Chine.

 

Le comble d’ignominie en est de voir certains enfants d’Afrique, pour qui l’on argumentera d’esquive « en décharge » de déficit de condition à bonne compréhension, s’esclaffer à scander à revendiquer le victorieux de manipulation étrangère…assombrissant encore plus l’absence fatale de dignité.

 

Le pire en est d’entrevoir de la représentation africaine actuelle, qu’aucuns actes et faits internes ou d’enfants d’Afrique ne soient en mesure de faire vaciller à s’approprier le diktat de la direction occidentale et en vue asiatique de l’expression d’état d’âmes des enfants d’Afrique.

Si révolution libératoire puisse en être de salut africain, et par conséquent de l’Afrique, se peut-il quelle le soi autrement que manifestation d’un hiatus d’avec l’Occident et autres en herbe (Chine) de leurs emprises multiples sur l’Afrique ? Autrement un rejet populaire de tout ce qui de près ou de loin renverrait à infiltrer à perpétuer l’avilissement à l’asservissement aux desideratas en satisfaction outre Afrique de bonne représentation africaine ? Et au premier duquel s’impose le modèle organisationnel sociétaire qu’est la prétendue démocratie et ses avatars confinés de dictature et autres sous ensembles !

 

Joseph Tapa

28/10/14Afrique-Chine: L’entente Bénéfique !?

Que dire de la pratique d’entente à partenariat, que porte  la Chine  en Afrique, sous préalable conditions à obligations de respect de la nature et l’environnement local africain duquel par ailleurs sont tirés les contreparties d’investissements chinois, volontairement bafoué de non respect de l’écho système africain et la santé actuelle et future des populations locales par le partenaire chinois : qui par la suite se dispose favorable à s’acquitter de pénalités financières ?

Nul doute qu’un partenaire qui sciemment trahi la confiance à lui porter, dévoile la marque de considération qu’il portait de départ d’entente au partenariat à l’égard de l’autre partenaire et marque de considération qui l’anime et parcoure. Nul doute que des pénalités non rédhibitoires ne peuvent et ne sauraient pas conduire à un changement d’attitude du félon partenaire (chinois).

 

À moins qu’il soit intronisé une infâme pratique d’enrichissement illicite ! Qui voudrait que le procédé mécanique des pénalités de non respect grossier au détriment de cessation de partenariat, soit consenti et prévu de départ à aménagé tout au long d’exécution du partenariat : au profit d’un groupuscule (partenaires dirigeants/responsables Africains) avec des contreparties de récupération (partenaire asiatique/chinois) des pénalités allouées et échelonnées de nouveaux partenariats de même esprit !

 

Que dire de telle pratique à concussion…Que la chine se porte favorablement au secours de l’Afrique !?

 

Joseph Tapa

Ps: Le propos ci-dessus découle d’une volontaire transgression de partenariat d’exploitation pétrolière par l’entremise chinoise au Tchad qui se conclurait par l’acquittement de simples pénalités.

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