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23 novembre 2024

La diabolisation du Noir en Occident sert trop que bien l’Occident !


La diabolisation du Noir en Occident sert trop que bien l’Occident !

Joseph TAPA

La diabolisation du Noir en Occident sert trop que bien l’Occident !

Le 13 nov 13

De nouveau le Noir est une fois de plus mis face la réalité de sa représentation qu’il ne sait ou ne saurait défendre autrement qu’à travers le courage d’autres que lui !
 
À la faveur de diverses menaçantes difficultés écofinancières qui traversent l’Europe et dont la conséquence le sera de ricochet plus horrible en Afrique, soutenant les mécontentements populaires en Europe, comme cela s’enracine de pratique coutumière européenne, la colère, d’expression dite minoritaire sans être sujette à la sincérité de véritable sondage, prend racine et embellissement dans l’agression directe du Noir. La perspicacité de l’expression de la colère en une évolution dans le courage de sa présentation, se dévoile de la substance à s’en prendre ouvertement à celles et ceux d’essence noire se distinguant dans un dévouement à servir ces sociétés européennes.
 
C’est ainsi que de la persistance des difficultés en Europe, s’est de concert en rémanence du rejet de qualité humaine au Noir conduit en esclavage et codifié au rang d’animal sauvage à domestiquer, au point que richesses s’en trouvait dans la conquête des territoires d’Afrique, s’est réactualisé des stratagèmes ouvrant à toute une série d’actes de nature à détourner l’attention et à nos jours dits racistes…sous le couvert de la liberté et son revers de défense de l’expression tant chère à ces sociétés. Ainsi le souci d’importance des dérives sociétaires européennes, au loin de responsabilité des auteurs, serait de s’insurger de commune entente et par-dessus tous bords politiques ou communautés sur le rejet indéboulonnable de ce qui fut le socle de la richesse européenne par l’emploi du racisme.
 
Pour ce faire, il est mis en avant le fait que de haut responsables européens dit de couleur ou de type négro-africain, la ministre italienne de l’intérieur Cécile Kyenye ou encore la ministre de la justice française Christiane Toubira, aient été sujettes des attaques portées particulièrement à leur essence noire. Bien qu’il soit à coup sûr inévitable que bien d’autres, de type négro-africain arborant l’identité administrative de pays européens, bien moins célèbre au regard de leur positionnement en interne européenne, soient habituellement sujet à des attaques et contraintes de diverses natures en raison de leur essence ; il est déroutant de constater que les victimes européennes à l’essence noire se laissent duper en vigueur de protestation porter par d’autres sous le fallacieux de leur défense.
 
D’une belle capitalisation, cela devrait susciter émoi chez majorité de Noirs de tous horizons (en occurrence en Afrique empreinte à la rébellion généralisée et point de chute des difficultés économiques européennes) et galvaniser les mécontentements en quête de futile succès du genre déclaration universelle ; et en poursuite capitaliser sur la jovialité de futile succès et l’épuisement des esprits en découlant au point de manquer vitalité à l’opposition à la supercherie de déportation en terre africaine les conséquences des errements européens et de surtout la recherche de nouveau souffle dans une Afrique endormie.
 
L’actualité française pour ce qui est de ce pays où madame Toubira, ministre de la justice, se fit traité de guenon (femelle du singe) invitée à manger des bananes, est trop souvent marquée, et par ailleurs récemment encore, de contestations populaires se matérialisant en des occupations des rues afin de porter la raison à l’entendement collectif. Au fait de cette particularité française et à l’observation de l’indolence des populations noires constituantes cette société : que d’étonnements ouvrant à multiples interrogations !  À en croire qu’elles reprennent à leur compte le dit syndrome de Stockholm, qui voudrait que la victime d’un fait en arrive épouser la cause de son bourreau au point d’en finir par méconnaître son état de victime. Autrement d’admettre de justifiable le fait subit et de denier véritable importance à celui-ci ! Serait-donc cela qui fasse que la contestation en France n’est d’envergure ou d’origine remarquable du fait des populations dites d’essence noire ?
 
Qu’il est étonnant qu’il soit soutenue que les attaques soient le fait d’une minorité aisément rattachée aux extrêmes de cause politique, et qu’à l’image d’autres minorités qui imposent leur entendement au collectif ; que celle dite d’essence noire n’y voie occasion au salut de son respect par son fait ! À se demander si le concret du noir soumis à l’intégration des sociétés européennes, dans le cadre de l’expression en défense de leurs attributs dits républicains (en reprise des sermons des autorités françaises), ne se résume qu’à s’empoigner entre eux dans l’ombre des sociétés pourtant devenues leurs. Qu’il est de la sorte fréquent en interne européenne, de constater la virulence de noirs à l’endroit d’autres noirs s’osant à dénoncer l’attitude d’ensemble du noir…à cet effet, d’aucuns soutiendront qu’il soit contreproductif de s’ouvrir ou se dénigrer à la connaissance ou à la face de l’européen ; quand d’autres assénerons qu’il ne devrait être porté de compassion au malheur prévisible de la non affection étrangère, à l’endroit de celles et ceux qualifiés d’ineffables aliénés esclaves ou faire valoir de circonstance. Impossibilité s’entreverrait d’eux d’une aptitude d’unité en la défense de l’identité noire et n’osons pas dire à protéger l’Afrique. Par contre, d’un phénoménal consternant, invraisemblable est de constater l’ardeur des mêmes à s’entredéchirer en parti pris et soutien de camps politiques opposés et au courant de pensée les reléguant aux marges…
 
D’un regard lointain, le noir l’Africain ne serait en principe pas concerné par cette particularité française et européenne : si ce n’est qu’il est de forme le principal visé, et que de fond s’intronise en une machiavélique étape à la déportation des souffrances européennes en Afrique déjà lourdement parcourues.
 
Si le racisme que l’on ne peut pas éradiquer chez l’Homme, quelque soit la beauté des discours, tout comme l’aptitude humaine à tirer profit de la duperie d’autrui, s’avère être un crime…qu’en est-il de l’intention et son usage pour en arriver à des fins inamicales ?
Il n’est visiblement pas d’un autre temps l’entêtement à se servir du Noir et ses aspects physiques pour auréoler de mieux être d’autres sociétés…ce qui en est de plus répugnant, est là encore tonitruante ferveur des Noirs à se disposer de la sorte.
 
Joseph TAPA
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