Par Jean Claude Manifacier

 

Non aux guerres de l’OTAN
« Encore un siècle de journalisme
et tous les mots pueront »
Friedrich Nietzsche :
Fragments posthumes (1882)

« Eh bien là, les non-vaccinés, j’ai très envie
de les emmerder. Et donc on va continuer de
le faire, jusqu’au bout. C’est ça, la stratégie. »
Emmanuel Macron, 4 Janvier 2022

Quelques informations concernant deux personnages importants, Ursula von der Leyen et Volodymyr Zelensky, rarement données dans la presse mainstream

Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne annoncera le 27 février linterdiction des médias russes, Russia Today (RT) et Sputnik : « Ils ne pourront plus diffuser leurs mensonges pour justifier la guerre de Poutine et pour semer la division dans notre Union. J’ai parfois regardé RT et CNN et il ne fait aucun doute que CNN est infiniment plus critiquable que RT concernant la désinformation.

Non, RT et Sputnik ont été interdits car ils risquaient de conduire à des comparaisons peu flatteuses pour l’information fournie par nos grandes chaînes, propriétés de quelques familles du milieu ultra-libéral et cosmopolite. Certainement, lorsque Ursula précise que ces médias « ne pourront plus diffuser leurs mensonges … pour semer la division dans notre Union » elle garantit une unité médiatique totale qui n’était encore que relative au moment des dernières guerres criminelles d’Irak, de Libye, de Syrie etc. Ursula ne donne comme exemple que : « l’attitude positive russe de 95 % de la population favorable à un rattachement de la Crimée à la Russie ». On rappellera à ce sujet que un point essentiel de la doctrine Wilson lors du Congrès de Versailles en 1919 : « Le libre droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » ne sera  appliqué que pour les colonies allemandes, peu nombreuses, et qui seront généreusement distribuées aux vainqueurs.

Si on consulte sa page Wikipédia, on apprend que l’opposition allemande a publié un rapport d’enquête accablant sur sa responsabilité dans un scandale au ministère allemand de la défense qu’elle dirigeait avant de partir pour Bruxelles. Pendant ces années où Ursula a dirigé le ministère allemand de la Défense, celui-ci a accumulé les problèmes de gestion, les dizaines de millions d’euros dilapidés sans contrôle pour payer des consultants, conseillers et autres sous-traitants privés. « Il y en a pour près de 100 millions« , affirme l’hebdomadaire Focus en se basant sur un rapport d’enquête qui vient d’être rendu public et qui s’avère « dévastateur » pour l’ex-ministre.

Pire encore, rappelle Politico, Ursula von der Leyen a semblé tenter de faire obstruction à l’enquête parlementaire, quand on s’est rendu compte que ses deux téléphones portables professionnels saisis pour les besoins de l’enquête avaient été consciencieusement expurgés de tout message avant d’être livrés à la commission.

D’autre part, le site internet anti-plagiat VroniPlag Wiki déclare avoir trouvé des « passages avec du plagiat » dans 27 pages de sa thèse de doctorat. Par la suite, la presse rendra public qu’elle prétendait avoir fréquenté l’université Stanford en tant « qu’auditrice invitée », alors que ce poste n’existe pas.

Ursula von der Leyen, doit se mordre les doigts d’avoir confié au New York Times, en avril 2021, qu’elle correspondait par SMS avec Albert Bourla, le directeur général de Pfizer, alors que les Vingt-Sept négociaient l’achat de vaccins contre le Covid-19 avec le laboratoire américain. Vous pouvez voir ici la complicité d’Ursula avec Albert Bourla. Voir en plus détaillé André Bercoff surSud Radio. Média part s’interrogera : les messages ont-ils été supprimés par les intéressés ?

Ursula Von Der Leyen, un moment VRP pour des labos pharmaceutiques, se retrouve dans le trafic d’armes. La présidente de la Commission et le chef de la diplomatie, Josep Borrell, ont lancé pour 450 millions d’euros d’achat d’armes à destination de l’Ukraine, en utilisant avec un cynisme froid la ligne budgétaire « Facilité européenne pour la paix ».

Enfin, Renate Weber, juriste et ancienne député européenne de Roumanie a déclaré le 15 mars : « La guerre a chassé le Covid, plus personne ne s’occupe des dépenses effectuées durant la pandémie. Il y avait pourtant de fortes accusations envers le chef de la Commission européenne, Ursula von der Leyen ? c’était un scandale mondial de vouloir divulguer ses conversations sur WhatsApp avec le chef de Pfizer. Est-ce que quelqu’un en parle encore ? »

            Le président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky

On parle beaucoup de lui dans la presse. Depuis le 4 mars le comité de rédaction du « Prestigieux » New York Times présente dans sa version en ligne un article dont le titre est « Je Veux la Paix. La Résistance Héroïque de Zelensky Est un Exemple pour le Monde ». Ce 18 mars le même article est encore en ligne (la répétition). La presse américaine NYT, WaPo, Walt Street Journal décrit d’ailleurs Poutine comme un Hitler incarné et l’OTAN le défenseur du monde libre.

Mais sur sa page Wikipédia, les Pandora Papers dévoilent un tout autre personnage. Il possède de nombreuses affaires dans beaucoup d’anciens pays soviétiques et ses sociétés de production sont gérées via des sociétés offshore implantées à Chypre dont certaines lui versent des dividendes (au montant resté inconnu). Selon le site d’investigation Slidstvo, il a omis de déclarer en 2017 qu’il possédait une villa valant près de quatre millions d’euros à Forte dei Marmi, une commune de Toscane très prisée des oligarques russes. Ces révélations mettent à mal l’image de transparence affichée par le président ukrainien.

En février 2021 il fermera les trois chaînes de télévision de l’opposition pour des raisons de « sécurité nationale ». Elles ont disparu cette nuit-là. En mai 2021, l’homme politique d’opposition Viktor Medvedchuk, pro-russe, a été assigné à résidence pour trahison.

Les relations de Zelensky avec le gouvernement israélien sont très solides. Ainsi malgré la violence israélienne à Gaza en mai 2021 et le massacre de nombreux enfants, il déclarera que c’est Israël qui avait connu une tragédie. Dans cette vidéo de la Corporation Turque de Radio et Télévision (TRT), Zelensky présente Israel comme une victime.

D’autres personnes sont beaucoup plus critiques. Ilan Pappé, auteur de « The Ethnic Cleansing of Palestine », est professeur à l’université d’Exeter. Il était auparavant maître de conférences en sciences politiques à l’université d’Haïfa. Il note que le gouvernement ukrainien est pro-israélien de manière inquiétante. L’une des premiers décisions du président Volodymyr Zelensky en janvier 2020 a été de retirer l’Ukraine du Comité des Nations unies pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien, un tribunal international qui veille à ce que la persécution des palestiniens ne soit pas niée ou oubliée.

De nombreuses associations internationales pour les droits de l’Homme, y compris des associations israéliennes, Yesh Din, B’Tselem, Human Rights Watch et Amnesty International dénoncent un « système d’apartheid » en Israël. Le rapporteur de l’Onu qualifie également l’occupation israélienne des territoires palestiniens d’apartheid. Présentant son rapport final au Conseil des droits de l’Homme de l’Onu à Genève, cet expert indépendant a estimé que : « l’occupation israélienne, à présent dans sa 55e année, et dont on est loin de voir la fin, est devenue de plus en plus ancrée et répressive« . Dans Haaretz, un parallèle est fait entre l’occupation israélienne, depuis 50 ans, de la Palestine et l’intervention Russe en Ukraine. Concernant la Palestine les médias et le monde politique occidental détournent prudemment le regard, pour l’Ukraine, c’est un déferlement d’invectives, de mensonges et de manipulations venant des mêmes personnes, jusqu’à un appel public pour l’assassinat du Président Poutine.

Guerre Russie-Ukraine, opérations psy-ops, fake-news et baguette magique

La maternité de Mariupol

Le président ukrainien a accusé la Russie d’être responsable d’une frappe aérienne, la qualifiant d’atrocité, et a de nouveau appelé la communauté internationale à fermer le ciel de l’Ukraine. « Mariupol. Un coup direct des troupes russes sur une maternité. Des gens sous les décombres, des enfants sous les décombres, c’est une atrocité. Combien de temps le monde sera-t-il complice de l’ignorance de la terreur ? Fermez immédiatement le ciel de l’Ukraine ! Arrêtez les meurtres immédiatement ! Vous avez le pouvoir, mais vous semblez perdre votre humanité« , a écrit M. Zelensky sur Twitter. Le point de vue russe est très différent : L’attaque aérienne russe contre la maternité de Mariupol était en réalité une mise en scène. On peut se demander si on ne nous refait pas le coup des bébés koweïtiens sortis des incubateurs en 2000, ou des jeunes filles belges violées ou des mains coupées des enfants par les allemands pendant la grande guerre (WWI). Aucun enfant ayant perdu une main n’a été trouvé après la guerre. Si les allemands n’ont pas coupé de mains, par contre il existe des crimes et atrocités commis par les concessionnaires du caoutchouc montrant des noirs amputés d’une main lors de la récolte d’hévéa dans le Congo Belge pendant les années 1900

            Le théâtre d’art dramatique de Mariupol où 1000 personnes s’étaient réfugiées a été bombardé Les autorités ukrainiennes ont affirmé que la Russie avait détruit, mercredi, le Théâtre dramatique de Mariupol, dans lequel s’étaient réfugiées plus d’un millier de personnes, dont de nombreux enfants. Pourtant, dans le journal Le Monde vous pourrez lire : L’abri anti-bombes du théâtre, où « un millier de personnes » avaient trouvé refuge, n’a pas été détruit par les bombardements selon deux députés ukrainiens, qui ajoutent que la majorité des personnes qui y étaient réfugiées vont bien. Il est souvent difficile de s’y retrouver dans toutes ces informations où la parole de Zelensky est d’or et celle venant des russes, absente dans les grands Médias.

Dans le journal « Point de vue Suisse », Jacques Baud s’exprime. Il a travaillé pour le Département fédéral des Affaires étrangères (DFAE) et a été détaché pendant cinq ans auprès de l’OTAN pour lutter contre la prolifération des armes légères. Il a géré des projets en Ukraine après 2014. Parlant russe il a ainsi eu accès à des documents que peu de gens en Occident consultent. Il précise que l’intervention russe n’est certainement pas dirigée contre la population ukrainienne. Cela a été dit et redit par Poutine, mais on le voit aussi dans les faits. La Russie fournit toujours du gaz à l’Ukraine. Les Russes n’ont pas arrêté leur approvisionnement en énergie. Ils n’ont pas coupé Internet. Ils n’ont pas détruit les centrales électriques ni l’approvisionnement en eau. Bien sûr, il y a certaines zones où l’on se bat. Mais on constate une approche très différente de celle des Américains, par exemple en ex-Yougoslavie, en Irak ou même en Libye. Lorsque les pays occidentaux ont attaqué ces derniers, ils ont d’abord détruit l’approvisionnement en électricité et en eau ainsi que toutes les infrastructures. Le ministère russe de la Défense indique plus de victimes parmi les militaires russes que parmi les civils du côté ukrainien. En comparant avec l’Irak ou la Libye, c’est exactement l’inverse dans la conduite de ces guerres occidentales. Une déclaration l’a particulièrement révolté, celle du ministre français de l’économie qui cherche à détruire celle de la Russie dans le but de faire souffrir la population russe.

            Babi Yar En février 2022, les médias accuseront les Russes d’avoir détruit le mémorial de Babi Yar. Zelensky reprendra cette accusation à l’occasion de ses interventions auprès de différents parlement européens. Or, d’après Le MondeJuif.info, le site est intact, Le président ukrainien Zelensky a menti : le Mémorial juif de Babi Yar n’a pas été détruit par les Russes.

Deux sujets rarement abordés :

            Ukraine, laboratoires biologiques de recherche subventionnés par une agence US

Dans ce qui peut apparaître une gaffe, la sous-secrétaire d’État Victoria Nuland témoignera au Sénat que l’Ukraine possède des « installations de recherche biologique« . Le sénateur Marco Rubio lui demandera alors si l’Ukraine possède des armes biologiques ou chimiques. Elle répondra craindre que la Russie ne les obtienne, mais elle ajoutera vite qu’elle est sûre à 100% que s’il y a une attaque biologique, cela viendra de la Russie.

Pour essayer de faire oublier « la gaffe » de Victoria Nuland, les démentis se sont multipliés. Le porte-parole du Pentagone a déclaré que « les accusations russes sont absurdes et risibles », le porte-parole du Département d’État a dit que « la Russie invente de faux prétextes dans sa tentative de justifier ses propres horribles actions en Ukraine », et la secrétaire de presse de la Maison Blanche a rejeté les « affirmations fallacieuses » des Russes.

Les activités du Pentagone dans les biolabs ukrainiens ont été financées par la Defense Threat Reduction Agency (DTRA). La DTRA a alloué 80 millions de dollars à la recherche biologique en Ukraine au 30 juillet 2020, selon les informations obtenues auprès du Federal Contractor Registration américain. La société américaine Black & Veatch Special Projects Corp. a été chargée du programme.

Mme Tulsi Gabbard, ancienne représentante des États-Unis, a présenté des preuves de l’existence de laboratoires biologiques liés au Pentagone en Ukraine. Elle a publié une vidéo appelant l’administration Biden à travailler avec la Russie pour établir un cessez-le-feu en Ukraine afin que les dangereux agents pathogènes détenus par les laboratoires de recherche biologique financés par les États-Unis dans le pays puissent être détruits. Or, selon les données publiées par les États-Unis eux-mêmes, ils disposent de 26 laboratoires biologiques et d’autres installations connexes en Ukraine.

Malgré les preuves indéniables de l’existence de laboratoires biologiques liés au Pentagone en Ukraine, le sénateur Mitt Romney l’a qualifiée de « traîtresse ». Une question se pose : Biden a prévenu que l’OTAN interviendrait si la Russie employait des armes chimiques. Le prétexte cherché, monté et financé, par les Américains étant déjà là, une opération sous faux drapeau est donc possible comme elle a eu lieu plusieurs fois en Syrie.

Trafic humain en Ukraine, Scandale Biotexcom, GPA et abandon de mère porteuse.

La vidéo de La Manif pour tous alerte sur un scandale :Elle atteste hélas de l’ampleur de ce trafic humain international. Elle témoigne de la marchandisation d’enfants, emmenés loin de leur mère dès les instants de leur naissance pour être livrés à des inconnus. Dans l’urgence de toucher le prix de ces enfants, ces trafiquants ne réalisent même plus la monstruosité de ce qu’ils diffusent ! Sur des plateaux TV, les commanditaires sont reçus avec empathie quand des femmes, exploitées comme mères porteuses parce que très pauvres, dont personne ne questionne les conditions de (sur)vie, sont retenues à Kiev, sous les bombardements, pour assurer la livraison du bébé commandé et attendu. Biotexcom, agence de GPA ukrainienne réalise une campagne publicitaire scandaleuse attestant de l’ampleur de ce trafic international de bébés. On voit ainsi, alors que la guerre s’installe en Ukraine, des couples australiens, français, allemands etc. qui s’épanchent dans la presse sur leur inquiétude à pouvoir récupérer leur enfant né par GPA. On réalise une fois de plus les problèmes éthiques insondables de cette pratique.

La mère porteuse doit transmettre le nouveau-né à ses parents après l’accouchement. Elle n’a pas le droit de contester cela devant le tribunal. Ces mères porteuses ukrainiennes sont séquestrées à Kiev et à Kharkiv, séparées de leur famille, maintenues de force dans les hôpitaux en attendant d’accoucher, sans la possibilité de fuir.

Ce commerce est lucratif, si dans certains pays vous ne pouvez devenir une mère porteuse que pour des motifs altruistes et donc gratuitement. En Ukraine, il y a une cinquantaine de cliniques spécialisées. Il faut compter en moyenne entre 40.000 et 60.000 euros pour une GPA, dont 15.000 – soit 50 fois le salaire mensuel ukrainien moyen – seront versés à la mère porteuse.

Les professionnels évoquent une fourchette de 3.000 à 3.500 contrats signés chaque année pour des parents en mal d’enfant. Il existe différents programmes de GPA : “Soin” : 36 000 €, “Victoire” : 39 000 €, “Succès” : 40 000 € et Garantie” : 50 000 €. Il est précisé qu’une sélection rigoureuse est faite des candidates concernant le rôle de mère porteuse. Les prix variant suivant que vous utilisez vos ovules ou les ovules d’une donneuse. Il y a des frais supplémentaires pour l’accouchement par césarienne, grossesse multiple, maintien de la grossesse. Vous rencontrerez un médecin, laisserez un échantillon de sperme. La sélection du sexe par DPI (Diagnostic Préimplantatoire) est possible. Les prix varient beaucoup suivant les cliniques et les pays : États-Unis, :110 000 € – 160 000 €. Grèce : 75 000 € – 85 000 €. Canada : 100 000 € – 110 000 €. Ukraine : 50 000 € – 60 000 €. Russie : 60 000 € – 80 000 €. Géorgie : 50 000 € – 60 000 €.

Une autre vidéo montre à quel point cette « maternité de substitution » est contraire à la plus élémentaire humanité. Plus d’une centaine de nouveau-nés attendaient leurs commanditaires, bloqués par la fermeture des frontières liée au confinement Covid.

La situation démographique de l’Ukraine est désastreuse. L’Ukraine n’a plus d’enfants sinon pour l’exportation. Commanditaires et intermédiaires profitent du dénuement des femmes ukrainiennes pour les dépouiller même de ce qu’elles ont de plus intime et précieux, la maternité. Ces enfants bloqués dans un hôtel de Kiev nous obligent à regarder en face la réalité : la maternité de substitution signifie la production d’enfants comme des marchandises pour satisfaire le désir d’adultes fortunés. Elle implique l’exploitation de femmes pauvres. Cruelle et destructrice pour les enfants et les mères, cette pratique doit être éradiquée.

Officiellement, seuls les couples hétérosexuels mariés et reconnus comme infertiles peuvent en bénéficier. Mais l’absence d’une loi exhaustive laisse en réalité la porte ouverte à tous ou presque, tandis que les mères porteuses peuvent se retrouver victimes d’abus.

Très souvent, des Ukrainiennes ont dû mal à obtenir l’argent promis. La majorité des femmes, payées au noir, cachent leurs activités à leur entourage et des « intermédiaires malhonnêtes » en profitent pour les « manipuler » et s’accaparer une partie de la rémunération ou de la compensation prévue en cas de complications médicales. Certains parents biologiques sont aussi victimes d’escroqueries financières, voire découvrent que leurs enfants n’ont pas de lien génétique avec eux, « C’est le chaos total ». Dans ce flou légal, les forces de l’ordre soupçonnent certaines cliniques d’utiliser la GPA pour couvrir la vente d’enfants. En avril, la police a ainsi annoncé avoir démantelé à Kiev un groupe criminel ayant vendu environ 150 bébés. L’Ukraine devient un magasin de bébés en ligne.

La photo des nouveau-nés de GPA dans un abri anti-bombes en pleine guerre d’Ukraine a fait le tour du monde, montrant le revers du marché de la GPA. Fuyant l’occupation du Donbass, de nombreuses femmes … sont devenues mères porteuses pour nourrir leurs enfants. On peut choisir une mère porteuse selon l’âge, la taille, le poids, la couleur des yeux, le visage… Mais elles n’ont plus de nom, elles portent un numéro ! Les agences de la GPA « font passer ces demandes pour vertueuses alors qu’elles ne sont là que pour l’argent ». Ni l’appât du gain, ni une idéologie d’État ni même la souffrance de ne pas avoir d’enfants ne justifient qu’un enfant s’achète comme une chose, que le corps d’une femme soit loué comme un objet. Il ne peut donc exister de GPA éthique.

En Ukraine, la GPA apparaît dans toute sa noirceur. Celle des regards rétrécis d’Occidentaux refusant de voir au-delà de leur désir personnel, l’appât du gain d’une industrie avide. Pas un mot, pas une phrase pour ces « mères porteuses » dont on ne souhaite la survie provisoire que pour qu’elles livrent leur « marchandise » et qui pourront ensuite retourner à leur sort, plus tragique encore que celui de l’indigence financière qui les a poussées à porter un enfant pour d’autres afin de nourrir les leurs.

En France, Des Young Leaders, mondialistes, et OTAN compatibles nous dirigent

De nombreux ministres entourant E. Macron sont soit Young Leaders de la French American Foundation, Young Global Leaders du Forum économique crée en 2004 par Klaus Schwab ou Young Leaders China. Ils sont totalement compatibles avec le mondialisme et l’ultralibéralisme US. On constatera, par exemple, que les trois membres du gouvernement qui venaient souvent nous parler du vaccin anti-COVID19 : Gabriel Attal, Agnès Pannier-Runacher et Olivier Véran sont tous trois Young Leaders. Une mention spéciale pour Emmanuel Macron qui a réussi l’exploit d’appartenir aux trois groupes et d’être ainsi trois fois Young Leader, https://reseauinternational.net/ou-va-le-monde-2/. Cette oligarchie financière a ses marionnettes, des individus formatés et uniquement préoccupés par la réussite financière. L’OTAN est une organisation criminelle dont nous voyons les méfaits aujourd’hui en Ukraine mais qui ont été précédés par des opérations en Irak, Libye etc.

Voir l’article complet sur https://reseauinternational.net/non-aux-guerres-de-lotan/

Source : Entre la Plume et l’Enclume
https://plumenclume.org/…